Tirade De Thésée

et enfin dans "le mariage de figaro" c'est la scène où Marceline s'exprime sans complexes des défauts des hommes qui l'entourent, c'est une véritable tirade de dénonciation. Donc on peut voir que dans chaques textes, la scène choisie est à la fois un rebondissement et un dénouement. De plus, on peut voir que chaque extrait aborde une thèse importante : l'injustice. A chaque fois, c'est le mari dominé dont personne ne fait plus attention, ou encore un maitre qui n'est pas reconnaissant

de faire comprendre au personnage d’Hippolyte qu’elle na jamais voulu lui faire du mal malgré tout. Ainsi donc, Phèdre implore Hippolyte de causer sa mort soudaine avec son épée. Racine se sert du champ lexical de la brutalité a la fin de la 2iem tirade; <<venge-toi>> (v.699), <<Frappe>> (v.707). Phèdre sait qu’Hippolyte sera jamais comme son père, mais veut tout de même lui donner plus de prestige et se en la tuant puisqu’elle se considère comme un monstre. Elle essaye donc

méthodologiques: acquérir la méthode de l’analyse de texte, du commentaire composé et de la dissertation  Textes retenus : 1. I, 1 : le personnage de Sganarelle 2. I, 2 : tirade de la séduction 3. II, 2 : Don Juan et Charlotte 4. III, 1 Interrogations sur la foi: 5. III, 2 Don Juan et le pauvre 6. IV, 4 : tirade de Don Louis 7. Les trois dernières scènes Thèmes abordés : 1. représentation de l’homme au XVIIè s. : l’honnête homme, l’aristocrate, le libertin. 2. Contexte

nous prend », caractère impersonnel et universel. Ensuite, première personne du singulier : « Pour moi », « je cède facilement »…montre qu’il expose une conviction personnelle. ◾Progression et logique du raisonnement : il commence par exposer sa thèse : « La belle chose de vouloir se piquer d’un faux honneur d’être fidèle… », puis il avance un premier argument militant pour l’infidélité « toutes les belles ont le droit d’être charmées », ensuite un deuxième « le plaisir de l’amour est dans le changement

« qui nous prend », caractère impersonnel et universel. Ensuite, première personne du singulier : « Pour moi », « je cède facilement »…montre qu’il expose une conviction personnelle. Progression et logique du raisonnement : il commence par exposer sa thèse : « La belle chose de vouloir se piquer d’un faux honneur d’être fidèle… », puis il avance un premier argument militant pour l’infidélité « toutes les belles ont le droit d’être charmées », ensuite un deuxième « le plaisir de l’amour est dans le changement »

siècle du classicisme. Il puise son inspiration dans l’Antiquité et compose en alexandrins des pièces en cinq actes sur les grands thèmes mythologiques. Phèdre imite Euripide et Sophocle. Le personnage éponyme, fille de Minos et Pasiphaë, épouse de Thésée, ressent un amour incestueux pour son beau-fils Hippolyte. Pendant l’acte d’exposition, on apprend qu’elle s’enferme dans ses appartements et qu’elle se meurt. Œnone, sa nourrice et confidente, exprime son inquiétude à Hippolyte et lui annonce que

en scène la jeune héroïne Phèdre en proie au piège de son amour interdit pour son beau-fils Hippolyte fils de son époux Thésée roi d'Athènes. La scène soumise à notre étude est extraite de l'acte 1 scène 3. Phèdre dans une longue tirade avoue à Oenone son amour coupable pour le jeune homme. LECTURE VOIX HAUTE Problématique : nous nous demanderons en quoi cette tirade mais en avant une héroïne qui doit faire face à une crise personnelle et familiale ? Afin de répondre à cette problématique

lecture : quels sont les centres d’intérêt du texte ? Approfondir l’analyse ; observer les caractéristiques littéraires du texte ▪ Préciser le genre littéraire et la forme du texte : une fable, un conte, un essai, un dialogue théâtral, une tirade, un portrait, une description romanesque, un sonnet… – autant de genres et de formes qui ont des enjeux spécifiques. Le genre permet de comprendre les contraintes dans lesquelles s’inscrit le texte. Pour les caractéristiques formelles du texte : est-il

Phèdre lui oppose la passion dont elle a rêvé : «Ils s’aimeront toujours» et, dans la tirade des vers 1252-1294, elle passe du délire à la lucidité : n’est-elle pas capable de se voir elle-même comme «une amante insensée»? ne se demande-t-elle pas : «Que fais-je? Où ma raison se va-t-elle égarer?». Elle succombe moralement sous le poids de l’horreur qu’elle s’inspire à elle-même. Dans les vers 1257-1263, sa jalousie devient furie vengeressse, au nom aussi de son orgueil («je ne puis souffir un bonheur

le roman d’apprentissage est il en réalité en dénouement de comédie à la Sganarelle ? Plan étudié : I) Le comique de ce dernier chapitre. II) Quel est l’apprentissage de ce dénouement ? Piste… - Effet parodique de la longue tirade de Pangloss, Rythme cumulatif. On ne peut le prendre au sérieux. Il parle comme un évangéliste. Pangloss ne cite pas 2-3 rois, il en cite une vingtaine. Sonorité étrange, presque imprononçable. De plus il n’y a aucune logique. (mix mélange) -