Titrisation Opa

rentabilité et beaucoup de personnes ont suivis le mouvement, si bien qu’en 2006 les biens immobiliers ont perdu de leurs valeurs et les couts des crédits s’envoler Les banques et les assurances sont particulièrement touchées car ils ont investi via la titrisation de ces subprimes. Les banques perdent la confiance publique, ne trouvent plus d'investisseurs qui sont inquiets, ils ne connaissent pas l'exposition aux subprime des différents acteurs financiers, ils n'apportent/ne prêtent plus d'argent aux banques

DEUXIEME PARTIE : LA TITRISATION DES CREANCES HYPOTHECAIRES : EST-ELLE UN INSTRUMENT DE REFINANCEMENT EFFICACE ? Depuis plusieurs années le système financier international est entré dans une phase de profondes mutations qui a été déclenché par deux forces principales : la déréglementation et les nouvelles technologies. Sous l’effet de ces deux forces combinées, on a ainsi assisté à une véritable explosion de la sphère financière et à une floraison de nouvelles activités

deuxième partie, nous verrons comment cette crise s’est propagée à travers le monde entier. Et enfin, en troisième partie, nous verrons pourquoi et comment les banques et les assurances, qui ont investi dans les subprimes par l’intermédiaire de la titrisation de ces crédits à risques, ont été elles aussi touché par cette crise. Première partie : Le déclanchement de la crise Le déclenchement de la crise est dû à deux phénomènes : un taux d’intérêt très instable et des prix de l’immobilier très bas

TITIRISATION AU MAROC Problématique : Les premières opérations de titrisation furent réalisées aux Etats-Unis au début de la décennie 1970 par la Federal National Mortgage Association (Fannie Mae) et la Federal Home Loan Mortgage Corporation (Freddie Mac), deux institutions financières privées contrôlées par l’Etat fédéral américain1. Au Maroc, la première loi 10-98 sur la titrisation a été promulguée en août 1999 et mise en application en janvier 2002 dans un contexte de

Chapitre3: cas de la BIAT Les seules opérations de titrisation en Tunisie ont été faites par la BIAT sur des actifs immobiliers en 2005 et 2007. Pour le montage de ces opérations la BIAT a choisi : - Maghreb Titrisation pour l’Arrangement et la structuration. - Moody’s: pour l’appréciation des parts. - Gide Loyrette Novel pour la validation de la documentation juridique. - le cabinet KPMG pour l’audit des créances. Les frais fixes liés au montage des deux opérations se sont

décloisonnement Informations récentes (en vue d’accroche, d’illustration) Le marché financier représente aujourd'hui 60% du mode de financement des agents économiques non financiers. Les États Unis et l'Europe représentent environ 95% du marché mondial de la titrisation, qui a été multipliée par 5 depuis le milieu des années 90. Suite aux événements proches de la crise financière sans précédents d’octobre 2008 il convient de s'interroger pour mieux comprendre pourquoi nous en sommes arrivés à ce niveau de crise

immobilières augmente fortement. Les institutions financières cherchent à réduire le risque associé à ces crédits en les regroupant, transformant et redirigeant dans les circuits des banques mondiales et elles ont ainsi engendré le phénomène de titrisation, c'est-à-dire l’émission de titre qui s’est considérablement développé sur le marché. Les investisseurs sous-estiment alors les risques de ces crédits subprimes titrisés. La crise s’installe peu à peu, les institutions financières octroient de

Titrisation au Maroc Bilan et perspectives icham KARZAZI aghreb Titrisation – Groupe CDG Sommaire • • • • • • • • • Août 1999, point de départ Mise en application en janvier 2002 Evolution timide Bilan opérationnel Nouveau contexte Réforme du cadre juridique Applications Perspectives Conclusion Août 1999 point de départ • • • Date de promulgation de la loi 10-98; Dont le but était de dynamiser le financement de l’habitat; En facilitant l’accès aux ressources longues à des coûts

rapprochements, de partenariats, d’acquisitions ; - un enrichissement de l’offre de produits proposés aux différentes catégories de clients ; - un développement des opérations complexes. Les opérations de financement structuré comme celles de titrisation pour compte de tiers faisant appel à des véhicules AD Hoc se sont ainsi multipliées ; l’usage de nouveaux instruments sophistiqués s’est fortement développé au cours des dernières années ; - une expansion géographique des implantations et des

mécanique s'est enclenché. Les ménages n'ont plus été capables de rembourser leurs emprunts, et les établissements de crédit qui les avait accordés se sont effondrés. La crise s'est ensuite diffusée à tout le système financier par le canal de la titrisation, cette technique née dans les années 1970 consistant à transformer des prêts bancaires en obligations achetées par les investisseurs du monde entier. Pourquoi la crise n'en finit-elle pas ? La crise dure parce qu'elle concerne désormais l'ensemble