Tocqueville Despotisme Liberté Egalité

Aristote Périclès souligne le droit de chacun à la liberté d'expression, souligne les principes démocratiques. Hérodote va souligner la distinction entre monarchie et oligarchie, nombre de gouvernants et l'importance de l'isonomie (égalité de tous dans la confection de la loi) et souligne que les offices publiques sont confiées à des personnes tirées au sort, magistrats contrôlables à tout instant, insiste également sur la liberté d'expression et souligne les qualités et vertus de cette

prince, et c'est son action qui peut pallier à la méchanceté naturelle de l'Homme. Une fois que le prince est désigné, tout lui est permis sans qu'il ait à se justifier. Cependant, il parle déjà en 1513 d'élections pour la désignation de ce prince, de liberté de discussion, il ne s'agit donc pas non plus caricaturalement d'une proposition de régime sans aucune démocratie. Ce qu'il manque à sa théorie, avec du recul, c'est la notion de souveraineté, le principe en vertu duquel les gouvernants peuvent décider

pouvoirs (stricte ou souple, verticale ou horizontale) ne réside pas dans une simple classification juridique des régimes politiques. L'objectif de cette séparation des pouvoirs est d'avoir des institutions étatiques qui respecteraient au mieux les libertés des individus . La séparation des pouvoirs est donc devenue aujourd'hui un élément fondamental des régimes démocratiques, quoique les deux notions ne se recoupent pas entièrement (il n'y a pas de séparation des pouvoirs dans une démocratie directe)

INTRO : LA CONQUETE DE LA LIBERTE (1789-1799) Début XIX siècle, un juriste Français, Alexis de TOCQUEVILLE, a essayé de comprendre ce qui faisait les forces et les faiblesses de la démocratie en Amérique. Dans «De la démocratie en Amérique», son principal ouvrage (tome 2). Il fait des comparaisons entre le France et l’Amérique. A la fin de sa vie, il écrit « l’Ancien Régime et la Révolution ». Citation : « la Révolution n’a pas en seulement pour objet de changer un gouvernement ancien mais

même genre, de fournir aux collègues chargés de l'enseignement de spécialité un volant de textes qui puissent être utilisés en classe. Sa particularité vient du fait que nous avons voulu faire un outil prêt à l'emploi tout en laissant à chacun sa liberté pédagogique. Aussi, pour chaque thème du programme, nous nous sommes strictement conformés aux directives officielles : les professeurs de terminale ne trouveront ici que des les auteurs auxquels le programme de l'époque 2 fait explicitement référence

Le point commun est qu’ils sont dirige contre l’ordre établi (que ce soit un régime politique, un ordre social ou encore une domination étrangère (indépendance des états unis d’Amérique). Et d’autre part elles s’accomplissent toutes au nom de la liberté et de la démocratie. S’y ajoute parfois des motifs d’indépendance et d’unité nationale. Aucune partie de l’Europe n’y a échappée. b)Ces mouvements révolutionnaires sont l’ombre portée, l’effet de traîne de la révolution française de 1789. 1789 fait

Malthus tranche-t-elle par rapport aux autres auteurs classiques ? Thomas Robert Malthus est un auteur classique qui se distingue par son pessimisme et souligne la possibilité de crises de surproduction 19) Pourquoi y a-t-il forcément égalité entre épargne et investissement selon les néo-classiques ? L’égalité a forcément lieu, l’épargne étant un préalable à l’investissement, sa condition d’existence : elle est totalement investie. 20) Selon John Maynard Keynes, quel est

Koweït. Pas de corrélation IDH/PIB. Limites des chiffres de l’IDH : * IDH est une moyenne nationale qui ne traduit pas les écarts à l’intérieur des pays (entre sexe/régions/milieux sociaux) * Certaines indications ne sont pas pris en compte (liberté politique, respect droit de l’H…) Les classements évoluent. On distingue 3 groupes de pays : IDH élevé (70 pays) ; moyen (74 pays) ; faible (30 pays) - IPH : Indicateur de pauvreté humaine. Etablie par le Pnud depuis 97. Moyenne de 3 proposions :

est un principe né dans la Rome antique de la répartition des différentes fonctions de l'État, qui sont confiées à différentes composantes de ce dernier. L'objet de cette séparation est d'avoir des institutions étatiques qui respectent au mieux les libertés fondamentales des individus. La séparation des pouvoirs est ainsi devenue un élément essentiel des démocraties représentatives. La séparation des pouvoirs a été, pour l'essentiel, théorisée par Locke et Montesquieu ; on retient en France le plus

1848[modifier | modifier le code] Les élections d’avril 1848 sont doublement révélatrices : 1. La majorité du pays, qui s’est exprimée par le suffrage universel, est conservatrice. Elle ne veut pas de ces Révolutionnaires qui selon les remarques de Tocqueville et Marx singent la Grande Révolution sans la continuer effectivement. 2. Le suffrage universel marque la fin du monopole politique exercé par la capitale : la province peut désormais remettre en question une résolution parisienne. La Constitution