Tocqueville Despotisme Liberté Egalité

d’amour propre, où les seuls comptes à rendre le sont avec sa conscience, son sens de l’honneur. D’où cela vient-il ? De très loin nous dit l’auteur qui s’inspire de Montesquieu et de Tocqueville ainsi que sur des incursions au moyen âge. Pour Montesquieu, un gouvernement monarchique ne tombe pas dans le despotisme car un principe s’impose autant au prince qu’au peuple : l’honneur. L’honneur, dit Montesquieu, est un "préjugé de chaque personne et de chaque condition", il est fondé sur la tradition

Montesquieu s'isncrit dans une perspective normative car il défend la séparation des lois. Il propose une analyse plus systématique des processus de formation des différents modes de gouvernement. Pour lui le sens démocratique est un esprit de liberté en amérique. Absence d'aristocratie sur le territoire américain. C. Quatre bonnes raisons de recourir au comparatisme Badie et Hermet) Comparer c'est connaître mais surtout se connaître. Comparer c'est comprendre Comparer c'est relativiser Comparer

force, les nobles eux–mêmes ne croient plus que faiblement à la société aristocratique. Enfin les corps intermédiaires sont critiqués au nom de l’égalité (égalité devant la loi), de l’intérêt général (supérieur aux intérêts corporatifs) et surtout d’une conception absolue de la liberté individuelle qui sera définie ainsi par Alexis de Tocqueville: «Chaque homme étant présumé avoir reçu de la nature les lumières nécessaires pour se conduire, apporte en naissant un droit égal et imprescriptible à vivre

Equilibre et séparation des pouvoirs Introduction : Le mot équilibre a deux sens. D’après le Petit Robert, ce mot d’origine latine signifie à la fois : a) égalité de force entre deux ou plusieurs forces qui s’opposent b) attitude ou position stable. Juste rapport entre des choses opposées et état de stabilité qui en résulte. La notion d’équilibre peut donc être liée soit à l’idée d’égalité, soit à l’idée de stabilité . La notion de séparation des pouvoirs, qui fut théorisée par

approche pluridisciplinaires mixant droit, histoire, économie, philosophie (même si ce nʼest pas une science sociale) et sociologie. - «la sociologie politique serait le produit dʼune hybridation lorsque la sociologie et la science politique seront à égalité» (Madeleine Grawitz); «on pourrait dire que la science politique, considérée globalement, se confond avec la sociologie politique, elle est le chapitre politique de la sociologie» (Raymond Aron). On va estimer que sociologie politique et science politique

proclamé par l’ordre des urnes que ces troubles sociaux disparurent, au dépend de certaines libertés octroyées quelques mois auparavant par le gouvernement provisoire. De 1830 à 1848, la monarchie sous Louis Philippe Ier reste censitaire et seuls les plus riches peuvent financer par impôt leur droit de vote, provoquant l’essor des mouvements républicains et des autres partis de gauche : l’esprit de liberté côtoie alors l’esprit utopique. En 1848, une révolte éclate à Paris le 22 février 1848

par un bouleversement d’ordre économique (la RI). La RI produit de l’exode rural, soit un bouleversement de la socialisation des individus (moins communautaire). I LES PRECURSEURS DE LA SOCIOLOGIE Tocqueville, Marx. 1) La démocratie, comme tendance historique fondamentale (Tocqueville) De la Démocratie en Amérique, il va chercher « plus que l’Amérique mais une image de la démocratie ». Il va chercher un modèle descriptif, voire analytique. Il définit la démocratie comme étant l’égalité

avant JC ; Un principe : principe d’identité entre les gouvernants et les gouvernés, c’est-à-dire qu’ils sont identique. La démocratie est donc le gouvernement du peuple par le peuple. 3 grandes caractéristiques sortent de ce principe : * La liberté : les athéniens sont libres, ils ne peuvent être entravés sinon il ne pourrait être des souverains * L’égalité de parole entre les citoyens : conséquence logique, s’il y avait une inégalité de parole cela vaudrait dire qu’il y a un groupe supérieur

système monarchique (droit divin, car les sociétés étaient portées par la religion) ; un système despotique (pas légitime par rapport à la religion. Prise de pouvoir militaire : dictateur) ; un système républicain. Pour que tout le monde soit à égalité il faut que les lois soient les mêmes pour tous. « Tout Homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ». « Il faut que par la nature des choses le pouvoir arrête le pouvoir ». → par la nature des choses : les lois, l'organisation qui dit que les pouvoirs

essentielle, à laquelle on s'épuise à chercher des réponses : comment concilier - mieux, harmoniser - l'exigence légitime d'autono- mie avec la nécessité de l'autorité, ou des autorités politiques? Ou encore, puisque nous ne voulons sacrifier ni la liberté d'autonomie ni le « bien commun » ou « intérêt général »', comment les placer respectivement au service l'un de l'autre? C'est justement à cette question que l'idée de subsidiarité s'efforce de répondre : on comprend dès lors pourquoi le principe