Tocqueville Despotisme Liberté Egalité

déconcentration et la décentralisation Napoléon III (élu président de la république en 1848) disait : « On peut gouverner de loin, mais on administre bien que de près ». A son époque on adopte une constitution très proche du modèle américain. Penser à Tocqueville. La première élection du président de la république au suffrage universel direct en France, est en 1848, celle de Louis Napoléon Bonaparte. V.H. Disait « Napoléon le petit ». Napoléon III est élu président de la république, la constitution prévoit

perfusion et le gavage sont mal tolérés, la motivation et la curiosité d’esprit sont les clés de l’« apprendre à apprendre » et les gages de la réussite, notamment professionnelle, nous dit-on. Car sous nos latitudes, s’il pèse encore des menaces pour la liberté de penser, ce n’est plus tant du fait de forces politiques oppressives que par rétrécissement des moyens de penser par soi-même, par renoncement du jugement face à la complexité. Les causes en sont nombreuses : difficultés à s’abstraire du contingent

constitutionnelle, puis par la Première République. Elle a mis fin à la royauté, à la société d'ordres et aux privilèges. Elle nous a légué la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, qui proclame l'égalité des citoyens devant la loi, les libertés fondamentales et la souveraineté de la Nation, apte à se gouverner au travers de représentants élus. Plusieurs centaines de milliers de personnes trouvèrent la mort durant cette révolution, notamment pendant la Terreur (16 594 personnes guillotinées[1])

interne, c’est le cas en Europe avec la construction de l’UE. § 3 : La souveraineté internationale. 1. Le fonctionnement traditionnel de l’ordre international. Tous les Etats, du fait de leur souveraineté, sont égaux entre eux. Cette égalité est une égalité de droit, ce qui signifie que aucun Etat ne peut imposer à un autre de décisions de règles ou de contraintes. La souveraineté implique une complète indépendance vis à vis de pouvoirs étrangers. Cette indépendance vise les Etats étrangers

et le gavage sont mal tolérés, la motivation et la curiosité d’esprit sont les clés de l’« apprendre à apprendre » et les gages de la réussite, notamment professionnelle, nous dit-on. Car sous nos latitudes, s’il pèse encore des menaces pour la liberté de penser, ce n’est plus tant du fait de forces politiques oppressives que par rétrécissement des moyens de penser par soi-même, par renoncement du jugement face à la complexité. Les causes en sont nombreuses : difficultés à s’abstraire du contingent

perfusion et le gavage sont mal tolérés, la motivation et la curiosité d’esprit sont les clés de l’« apprendre à apprendre » et les gages de la réussite, notamment professionnelle, nous dit-on. Car sous nos latitudes, s’il pèse encore des menaces pour la liberté de penser, ce n’est plus tant du fait de forces politiques oppressives que par rétrécissement des moyens de penser par soi-même, par renoncement du jugement face à la complexité. Les causes en sont nombreuses : difficultés à s’abstraire du contingent

aux mains d’un seul groupe de personnes. Cette concentration des pouvoirs mènerait au despotisme. Prise dans son acception la plus générale, cette doctrine exige que les organes législatif, exécutif et judiciaire, soient distincts et coopérant. En réalité « il s’agit non pas de formuler une théorie de la séparation des pouvoirs, mais plutôt de définir la forme que doit prendre le gouvernement qui respecte la liberté politique »14. Ainsi, c’est une limitation et non une véritable division des pouvoirs

le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif. Il s’intéresse, aussi, à la dévolution du pouvoir, à son exercice ainsi qu’à sa transmission. Le droit constitutionnel des libertés : le droit constitutionnel régit les relations entre les individus et la puissance publique, en conférant à ceux-là un certain nombre de droits et libertés fondamentaux. Le droit constitutionnel normatif : la création et le régime des normes juridiques forment le troisième objet du droit constitutionnel. En effet, la Constitution

9è éd., 1993. -LAVROFF (D.G.), Le droit constitutionnel de la Vè République, Paris, Précis Dalloz, 1999. - LECLERCQ (CL), Institutions politiques et droit constitutionnel, 4è éd., Paris, Litec, 1999. - OLIVA (Erica), Droit constitutionnel - Libertés, Paris, Sirey, Aide mémoire, 2 è éd., 2000. - PACTET (P.), MELIN-SOUCRAMANIEN (F.), Droit constitutionnel, Paris, A.Colin, coll. U, 23è éd., 2004. - PRELOT (M.) et BOULOUIS (J.), Institutions politiques et droit constitutionnel, Paris, Précis

Dalloz, 9è éd., 1993. -LAVROFF (D.G.), Le droit constitutionnel de la Vè République, Paris, Précis Dalloz, 1999. - LECLERCQ (CL), Institutions politiques et droit constitutionnel, 4è éd., Paris, Litec, 1999. - OLIVA (Erica), Droit constitutionnel - Libertés, Paris, Sirey, Aide mémoire, 2 è éd., 2000. - PACTET (P.), MELIN-SOUCRAMANIEN (F.), Droit constitutionnel, Paris, A.Colin, coll. U, 23è éd., 2004. - PRELOT (M.) et BOULOUIS (J.), Institutions politiques et droit constitutionnel, Paris, Précis, Dalloz