Tournure De Phrases

française) Introduction Les exigences fondamentales de la dissertation - Nécessité d’une rédaction personnelle : Ne pas réciter le cours ! - Nécessité d’avoir recours à des exemples. - Nécessité d’être clair et cohérent. Éviter les termes difficiles, les phrases trop longues. - Problématiser. Le plan thèse-antithèse-synthèse ne convient pas toujours. Par contre, une dissertation est toujours organisée autour d’un problème. Si le problème n’est pas explicitement formulé dans le sujet, c’est au candidat de

« le pas réglé de nos chameaux les ferait tomber en syncope » - les marques de l’étonnement : début des paragraphes « Tu ne le croirais peut-être pas » l. 10, « Ne crois pas que » l. 19, « ce que je te dis […] ne doit pas t’étonner » l. 32 ; des tournures intensives « les maisons sont si hautes qu’on jugerait qu’elles ne sont habitées que par des astrologues » l. 6 ; « il n’y a pas de gens au monde qui » l. 11 ; métaphores « un grand magicien » l.26, « prodige » l. 24, « un autre magicien » l. 32

»1 Il justifie ce qu’il appelle le style un peu trop âpre du Rouge et le Noir par sa hantise de la verbosité inutile. Dans son Journal, il parle souvent des goûts de Dominique, c’est-à-dire de lui-même : « L’horreur de Dominique pour les longues phrases emphatiques des gens d’esprit de 1830 l’a jeté dans l’abrupt, dans le heurté, le saccadé, le dur. »2 Baudelaire est tout dans le dépouillement et l’âpreté : en témoignent les spasmes de ses vers, la rareté de sa production poétique, et surtout l’idée

(sujet sérieux dans un style bas)- Articulations logiques explicites (hypothèse, cause, conséquence, opposition, but) - Argumentation serrée, raisonnements concessifs - Interrogations (adressées à soi-même ou a autrui)- Lexique de la pédagogie - Tournures de l’ordre et du conseil (impératifs et futur à valeur injonctive) - Progression logique du propos (expression de la cause et de la conséquence), style clair facilement compréhensible - Recours à l’exemple- Implication du destinataire : apostrophe

indices cette critique est elle perceptible ? a) Il le suggère dès la première phrase : « Les sages du pays n'avaient pas trouvé un moyen plus efficace ... que de donner au peuple... » La phrase utilise une tournure d'atténuation classique (la litote) pour signifier que le moyen trouvé n'est pas efficace. Voltaire exprime son point de vue à mots à peine couverts. b) A la fin du 1°§ du texte, on trouve la phrase : « le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu, en grande cérémonie

est le fruit d’un travail très concerté qui aboutit à une écriture hybride dont la «vérité» linguistique serait à discuter. Contrairement à ce que pourrait laisser croire le résumé, le roman n'est pas tant une suite d'événements qu'une suite de phrases, la pensée de Bardamu se déroulant devant nos yeux de manière continuelle, à l’intérieur d’un présent continuel, sans retours en arrière ni bonds en avant, avec, comme résultat, toute l'émotion de la parole en gestation. On est retenu ligne à ligne

République) Allitération : (féminin) répétition d’une même consonne pour produire un effet sonore. Anaphore : (féminin) répétition d’un même mot ou d’une même expression (au moins trois fois), au commencement de plusieurs phrases ou de plusieurs vers ou de membres de phrases. Antiphrase : fait entendre par ironie l’opposition de ce qu’on dit. Exemple : « C’est du joli ! » Antithèse : opposition de deux termes de sens contraires mis en parallèle. Exemple : « être ou ne pas être ». Assonance

pluriel "nous", ou du pronom indéfini "on", qui en appellent à la complicité du lecteur. 2 - L'insistance La répétition : la répétition d’un mot ou d’une tournure de phrase donne du rythme au texte. Quand cette répétition porte sur un mot en tête de phrase, on l’appelle une anaphore. Le parallélisme : c’est la construction à l'identique de phrases, de propositions. L'accumulation : c’est l’accumulation de termes synonymes, dans le cadre d’une gradation. Elle permet d'énoncer une idée avec force. 3

écrit avec un style parlé. - Ce passage illustre cette utilisation d'un langage presque familier - discours mal mené, comme celui d'un enfant : répétition de la première personne et de tournures emphatiques : "moi d'abord" l. 9 ou l'oubli de certaines négations : "j'ai jamais pu la sentir" (l.10) - Tournures orales : "faut que je le dise tout de suite" : comme si le narrateur comptait à l'oral ce qui était en train de se produire. Le lecteur s'attend à une révélation étonante, en rapport avec

directement le vœux de son père qui est celui de voir son fils entrer dans la vie active. … La promesse effectuée a son père implique une entrée prochaine dans la vie active et présente un jeune personnage arriviste. L’auteur résume en une longue phrase les ambitions futures d’Adolphe a la ligne 9. Sa rupture avec Ellenore marquerait alors une grande étape dans sa vie. Cependant, cela nous montre aussi qu’Adolphe est encore un personnage en manque d’experience qui apprend de la vie. Il commet donc