Tout est fatal

compris. Elle ne se maîtrise plus du tout (" Eh bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur. " v. 672). Puis nous retrouvons le complexe de sa dualité : elle se sent victime et en même temps coupable (vv. 673-674). Prise dans son discours, elle en profite pour rappeler toutes ses vaines actions pour se libérer de cet amour (vv. 675-676) ainsi que l'origine divine de son sort fatal, comme de celui de sa famille " ...les dieux... ont allumé le feu fatal à tout mon sang ..." vv. 677-682) ; mais aussi

compris. Elle ne se maîtrise plus du tout « Eh bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur. » (v. 672). Puis nous retrouvons le complexe de sa dualité : elle se sent victime et en même temps coupable (v. 673-674). Prise dans son discours, elle en profite pour rappeler toutes ses vaines actions pour se libérer de cet amour (v. 675-676) ainsi que l'origine divine de son sort fatal, comme de celui de sa famille « Les dieux [...] ont allumé le feu fatal à tout mon sang » (v. 677-682) ; mais aussi,

La deuxième phrase au contraire met en valeur le caractère exceptionnel et unique de l 'amitié qui liait Montaigne à La Boétie. L'amitié semble dictée d'après le début du second paragraphe par une volonté divine : « qu'elle force inexplicable et fatale », « par quelque ordonnance du ciel ». L'amitié est un destin, une fatalité, une nécessité, les deux hommes devaient s'apprécier. L'amitié des deux hommes s'élèvent au-dessus des relations humaines, elle est mythique. La première rencontre est

principalement la version de Béroul et de Thomas mais sans écarter, bien sûr, les autres versions qui concernent cette légende comme, par exemple, la version de René Louis et le roman de Joseph Bédier. Comme on verra plus tard, ces versions ne sont pas du tout pareilles. Elles sont très différentes dans quelques aspects. L’histoire, par exemple, de la version de Béroul ne commence pas de la même façon que la version de René Louis ou la version de Bédier. (La version de Béroul, par exemple, commence in

Dans cette tirade, Arnolphe semble incarner avant tout l’homme amoureux. Arnolphe ne raisonne plus, c’est un homme amoureux et qui ne parle qu’avec une rhétorique sentimentale. Le champ lexical de la galanterie est dense et bien réparti tout au fil du texte : « mari », « femme », « galant », « plaisir », « objet », «cœur », « rival ». Son amour le rend vulnérable et son tourment est nettement représenté par le style heurté et la sur-expressivité de sa tirade. Il s’interroge à de nombreuses reprises

changement de ton. Dans le première partie de la première tirade, jusqu’au vers 20, Phèdre décrit son amour pour Thésée. Au vers 21, elle avoue son amour pour lui à Hippolyte, et c’est une nouvelle Phèdre qui parle. Dans cette deuxième partie, elle raconte tout ce qu’elle aurait fait pour Hippolyte. Dans la seconde tirade qui commence par « Ah ! Cruel ! Tu m’as trop entendue », Phèdre se désespère d’avoir avoué son amour à Hippolyte. Elle dit se détester encore plus qu’il ne la déteste. C’est la fatalité

montre qu’elle a tout fait pour lutter et ne pas aimer Hippolyte. En disant tout cela, elle avoue sa culpabilité et demande une sanction. Phèdre est obsédée, elle marque le pouvoir d’Hippolyte sur elle-même. Elle est sous la domination de 3 forces : → Les Dieux (métaphore de l’amour (immatériel, sentimental)) → Hippolyte → son enfant : symbole du drame politique. 3/ Images de la passion et lyrisme v. 677 « objet infortuné de vengeance céleste » v. 680 « le feu fatal... » v. 688

voir du pays elle est enlevée dans les airs par deux canard. Usant de toutes les ressources poétiques, le fabuliste annonce notamment la curiosité et la vanité. Comment le récit prépare t-il progressivement par l’action plusieurs enseignement, nous étudierons d’abord un récit plaisant d’un voyage insolit, tragique et fatal puis nous verrons une triple dénonciation. I- Un récit plaisant d’un voyage insolite, tragique et fatal 1) Orchestration du récit singulier v.1 à 4 : v.1 et premier hémistiche

la fin du XIXème siècle, le statut de femme fatale de la princesse Salomé a su inspirer aussi bien les écrivains que les peintres et musiciens, Gustave Flaubert s’intéresse à ce mythe en 1877 avec Hérodias tandis qu’Oscar Wilde fait de Salomé l’héroïne de sa pièce éponyme 16 ans plus tard en 1893. Comment expliquer l’intérêt de ce mythe fin de siècle chez ces deux auteurs? Tout d’abord en résultat au gout du XIXème siècle pour l’exotisme ainsi que tout trait relatif à l’orientalisme qui a suscité

ménagère 2. La femme «  objet » 3. La « blonde » 4. La femme « fatale » II) Conséquences néfastes 1. Le sexisme 2. La dictature de l’apparence III) Evolutions du phénomène. 1. Causes et raisons 2. Réactions et moyens mis en place Depuis les années 50, la publicité n’a cessé de s’étendre et d’évoluer avec la société. Pour attirer sa cible, la publicité use d'images préconçues, toutes faites, que l'on appelle des stéréotypes, ou encore des clichés