Tout Homme Est Il Philosophe

Lecture analytique n°1 : Le philosophe Scythe​ , Jean de La Fontaine Introduction : e​ Le 17​ siècle, au cours duquel Louis XIV assoit la monarchie absolue, est marqué sur le plan littéraire par la querelle entre les anciens et les modernes. Jean de La Fontaine (1621-1695) se positionne en faveur des anciens et prône la supériorité et l’imitation des auteurs antiques. C’est d'ailleurs ce qu’il fait dans la fable qui nous est proposée. Ce texte constitue la fable 20 du dernier recueil publié en 1694

conte, ou plutôt du roman sentimental et larmoyant alors à la mode pour répandre dans les intelligences les plus simples quelques idées philosophiques. Tout d’abord, il égratigne la suffisance de ses compatriotes : "sans l’aventure de la tour de Babel, toute la terre aurait parlé français", et plus loin : "L’Abbé de Saint-Yves supposait qu’un homme qui n’était pas né en France n’avait pas le sens commun". Puis, il se livre à quelques attaques personnelles : il critique une partie de l’œuvre de Malebranche

Voltaire, Diderot sont avant tout des écrivains. Tous partagent les mêmes convictions fondamentales mais chacun a une personnalité marquée : en matière de religion Voltaire est déiste, Diderot et Helvétius sont matérialistes (proches de l’athéisme). Le plus connu pour son engagement est Voltaire (affaire Calas), mais tous sont, à leur façon, des militants. Qu’est-ce qu’un « philosophe » au XVIII° siècle ? : Dumarsais dans l’article « philosophe » de l’Encyclopédie le définit

rôle d’un homme sage? Et la thèse : Le rôle d’un homme sage, ou d’un philosophe, est de veiller sur la Justice. Paragraphe d’argumentation principale : Tout d’abord, Platon qui était l’élève de Socrate prétend qu’un philosophe doit veiller sur la Justice car elle permet l’équilibre de la société. Un philosophe peut vraiment se prétendre sage s’il a de bonnes intentions comme faire le Bien, éclairer les décisions des gens et faire des choix honorables. D’ailleurs, son principe «du philosophe-roi et

Commentaire détaillé I. Un récit d’oppositions 1. Des personnages différents par nature A. Le Scythe « Philosophe austère » -> Philosophe -> « Qui aime la sagesse » -> renvoie directement à son approche du bonheur par la sagesse et la mesure -> amplifié par « austère » -> Intellectuel -> Loin de la vie -> déjà mort -> la fin est annoncée dès les premiers mots -> « Ils font cesser de vivre avant que l'on soit mort » -> fatalité -> Condamné à ne pas trouver le bonheur bien qu’il

des livres de citations, car les citations, lorsqu’elles sont gravées dans la mémoire, vous donnent de bonnes pensées. » bes : chacun en sent le prix. Penser sur des maximes, c’est se reconnaître et reprendre le gouvernement de soi. » Pour le philosophe Alain, « Chacun se redresse aux maximes et aux proverSocrate considérait qu’« Un trésor de belles maximes est préférable à un L amas de richesses » tandis que pour Goethe « Une collection d’anecdotes et de maximes est pour l’homme du monde le plus

PHILOSOPHIE : Apprendre a penser par soi même Kant a expliqué un jour qu’on n’apprend pas « la » philosophie comme on apprend l’histoire ou la geographie , on ne peut qu’apprendre a philosopher L’acte de philosophie celon socrate se fait par le questionnement . Si l’ont en croit le dictionnaire Larousse , Philosopher serait l’action d’argumenter , de raisonner ainsi que de mediter . Quand au verbe penser , il est ecrit que ce cerait le fait de concevoir , reflechir et comme precedemment, mediter 

LECTURE ANALYTIQUE I  « Philosophe » de Dumarsais Introduction : - Extrait de l’article de l’Encyclopédie, écrit par Dumarsais (avocat au parlement, a rédigé aussi articles de grammaire), publié en 1765 sous le nom de Voltaire qui ne révèlera le véritable auteur qu’en 1773. - L’Encyclopédie : de 1751 à 1772, sous la houlette de Diderot, avec double objectif, d’une part répertorier et diffuser toutes les connaissances, d’autre part ouvrir une réflexion critique.

Commentaire article « Philosophe » Dumarsais – Extrait de l’encyclopédie - Différents procédés par lesquels s’expriment les différences entre le philosophe et les autres hommes : Le passage s’ouvre d’une manière explicite sur une opposition l1 et l12« Les autres hommes », L 3 « le philosophe au contraire ». On retrouve cette construction dans la suite du texte l 11 « Les autres hommes » et l 14 « au lieu que le philosophe »). Ce texte nous montre que le philosophe est radicalement différent

ou plutôt du roman sentimental et larmoyant alors à la mode pour répandre dans les intelligences les plus simples quelques idées philosophiques. Tout d’abord, il égratigne la suffisance de ses compatriotes : "sans l’aventure de la tour de Babel, toute la terre aurait parlé français", et plus loin : "L’Abbé de Saint-Yves supposait qu’un homme qui n’était pas né en France n’avait pas le sens commun". Puis, il se livre à quelques attaques personnelles : il critique une partie de l’œuvre de Malebranche