Toute Les Expériences Scientifique Sont Elles Legitimes

tendent à une conquête physique par l'intelligence, à une ascension spirituelle qui permette à l'esprit de dominer la matière. Mais il y a d'autre part un autre aspect de la science, aussi ancien que le premier : l'homme a le désir raisonnable et légitime de connaître les lois des phénomènes naturels afin de pouvoir les utiliser à son profit » Ainsi s'exprime Louis de Broglie (« Savants et découvertes »). Les faits nous prouvent que la science a deux visages : tandis que la science pure se tourne

hommes meilleurs, eu d’effet bénéfique en politique, résolu les grands mystères de la nature ni révélé les destinées de l’humanité. Le propos fit scandale aux yeux de tous ceux, nombreux à l’époque, qui voyaient dans la science la source unique de toute connaissance et de tout progrès. Aussi une riposte énergique fut-elle organisée. Notamment, l’un des plus célèbres savants de l’époque, le chimiste Marcelin Berthelot, répondit directement à F. Brunetière que « le triomphe universel de la science arrivera

(=ce qui s’élève au-dessus de toute limite ; qui est d’un ordre supérieur au monde empirique.) C’est ce sentiment qu’on désigne comme religieux. Si les formes extérieures de religiosité (les pratiques et les croyances) diffèrent selon les lieux et les cultures, ce qui semble constant c’est la croyance que le monde ordinaire dans lequel naissent, vivent et meurent les hommes n’a de sens qu’en rapport à une autre réalité infiniment supérieure qui est au fondement de toute existence. Cette croyance semble

chef d'entreprise LA première guerre mondiale entraine le besoin de trouver des moyens de production efficient à bas cout avec peu de main d'œuvre (qui se trouve sur le front). En 1911, il publie "La direction scientifique des entreprises". Lorsque Taylor fait ses différentes expériences professionnelles, il est amené à exercer des fonctions de contremaître dans lesquelles il rencontre une difficulté : la flânerie des ouvriers. Il considère que ces ouvriers ne travaillent pas autant qu'ils le pourraient

personnes par rapport à d’autres. Ex : poser plus de questions à une femme qu’à un homme lors d’un entretien d’embauche peut cacher une volonté de déstabiliser. Cette pratique discriminatoire est admise par la loi, si elle est justifiée par un but légitime et que les moyens pour réaliser ce but soit nécessaire et approprié. Ex : des testes physiques pour un métier pénible auquel serait soumis uniquement des femmes lors du recrutement pour tester leur résistance. Le fait d’ordonner à qqn de pratiquer

et transcendante (=ce qui s’élève au-dessus de toute limite ; qui est d’un ordre supérieur au monde empirique.) C’est ce sentiment qu’on désigne comme religieux. Si les formes extérieures de religiosité (les pratiques et les croyances) diffèrent selon les lieux et les cultures, ce qui semble constant c’est la croyance que le monde ordinaire dans lequel naissent, vivent et meurent les hommes n’a de sens qu’en rapport à une autre réalité infiniment supérieure qui est au fondement de toute existence. Cette croyance semble

n°97, 1993) : « La nature humaine est l’ensemble des traits communs à tous les représentants de l’espèce, qui les différencient des représentants des autres espèces ». Si Rabelais a noté que le rire était le propre de l’homme, philosophes et scientifiques ont pu distinguer différents aspects caractéristiques de notre spécificité parmi lesquelles on trouve entre autres le langage, la sexualité non reproductive, la vie sociale, la morale et la politique. Parce qu’elle est un type d’organisation politique

objecte qu’il est impossible de tester les hypothèses. Friedmann, en 1953, insiste sur ce point en disant que non seulement c’est impossible mais c’est erroné de le faire, car il ne sert à rien de tester des hypothèses fausses. (Plus elles sont fausses meilleurs elles sont) Blaug, en 1980, revient à Popper. Il faudra qu’on les juge nous-mêmes : on a appris qu’il n’y avait qu’une seule chose à faire pour faire de la bonne science, c’était critiquer empiriquement et logiquement. Ces personnes qui nous

I ] Pourquoi étudier les grands courants de la sociologie ? A ) Des lunettes pour comprendre le monde social Ce sont des problèmes qui se posent à toute une série de personne et qu'il s'agit de revisiter à partir de la sociologie. Etudier les personnes, le médiatique d'une certaine façon, avec une démarche scientifique ( = receuillir des données systématiques pour répondre à une question posée ). A partir de ces données, l'ambition est de faire des propositions qui vont dépasser un

hypothèse, au fur et à mesure que des conséquence ou théorèmes sont obtenus, par déduction, peut être considérée fausse si l'une des s s'oppose à cette hypothèse. Le vrai évolue ici en fonction de l'évolution de la perception du vrai. La recherche scientifique n'étant jamais terminée, on ne peut pas affirmer que ce qui est vrai aujourd'hui le sera demain. La réalité intervient donc dans cette définition du vrai, même si elle ne permet pas directement de définir le vrai. La notion d'existence permet de