Toute Verité Scientifique Est Elle Un Acquis Pour Toujours

Parce que dire qu'une opinion est un avis qui prétend être vrai, cela ne signifie pas du tout que cette prétention est toujours illégitime. Il est après tout possible, à s'en tenir à cette définition, que tout ou partie des opinions aient des prétentions légitimes. Or, par ailleurs, on ne voit pas ce qui pourrait justifier le mépris dans lequel les philosophes et les scientifiques tiennent l'opinion, si ce n'est précisément qu'elle est loin de dire vrai. Donc, d'un côté, il se pourrait que certains

sciences exactes, et la plupart des gens voient la science comme une démarche précise, appuyée sur des expériences, des faits, des données. Certains politologues ont voulu alors utiliser la méthode des sciences exactes, une méthode quantitative. Toute une partie des sciences sociales relèvent ainsi de sciences quantitativistes. Les approches quantitativistes sont très importantes (ex : sondage pour les présidentielles), on peut mesurer l’appréciation par le peuple de la politique menée. Mais les

loi) par rapport au corps ce qui le conduit à une connaissance claire. Il faut se détacher de son corps qui est la principale source de nos erreurs. L'affirmation du Cogito L'objectif de Descartes est de fonder la science pour trouver la vérité absolument indubitable. Il applique donc le principe du moindre doute à tout ce qui peut être remis en cause (c'est une hypothèse, Descartes sait qu'il ne peut pas tout rejeter) : -Les sens qui peuvent parfois être trompeurs. -Le raisonnement qui

le module 2) 3.2 Homework 2 (à rendre 3 jours avant le module 3) 3.3 Homework 3 (à rendre 3 jours avant le module 4) II La notion de recherche scientifique 1 1. La notion de “science” ..................................................................................................... II2 1.1 Eléments qui caractérisent une recherche scientifique .............................................................. II2 1.2 Qu’est-ce que la science ? II-4 1.3 Qu’est-ce qu’une recherche intéressante

vision du monde où le poids du hasard détermine en grande partie la destinée. Voltaire en a fait un divertissement tout en interrogeant la question de la Providence et du Bonheur à travers le parcours de Zadig, dont le nom désigne «celui qui dit la vérité». L'extrait étudié va de «Vous êtes vraiment de grands ignorants ...» jusqu'à «... il n'y a pas là de quoi se quereller». Résumé: "Zadig" est un ouvrage écrit par Voltaire, philosophe du siècle des Lumières. Cet ouvrage est une histoire orientale

prétend concentrer dans son indivisible et mystérieuse unité la nécessité d’une destination dont les étapes jalonnent un itinéraire qui, censément, mène quelque part, à la vérité par exemple. Or, dans l’esprit même de son propos, il est incontestable que Canguilhem a suivi, non un itinéraire dont l’orientation eût été d’emblée toute tracée, mais un parcours accidenté au long duquel, tout en réaffirmant avec insistance et obstination ce qui vient d’être appelé des choix fondamentaux sur lesquels il n’a

« A vous Vénérable Maîtresse et à vous toutes mes sœurs en vos grades et qualités Ma recherche de la vérité, ma recherche de la perfection, voilà qui guide mes pas de compagnonne. J’ai dégrossi ma pierre, je l’ai débarrassé petit à petit de ses aspérités. J’agis, je suis sur le chemin de la connaissance et je m’interroge, je réfléchie. Je veux essayer de comprendre ce monde ; Pour cela je dois trouver un équilibre entre perception et raisonnement, entre vécu et expérience, certitude

à celle d'autrui, c'est précisément parce qu'autrui a pu lui-même se tromper, prendre un préjugé pour un savoir, une erreur pour une vérité. Mais voilà : au moment où il s'est trompé, autrui lui-même n'a-t-il pas accordé plus de confiance à sa raison qu'à celles des autres ? Les aurait-il écoutés davantage, peut-être se serait-il épargné un égarement pénible. Toute la difficulté vient ici de ce que chacun de nous est lui-même l'autre des autres : s'il faut se méfier des autres parce qu'ils peuvent

soin de lui à travers sa relation avec autrui • Vertus : 4 vertus cardinales - tempérance - courage - sagesse - justice (= vertu la plus haute) • Eudémonisme = fusion du bonheur et de la vertu L’homme atteint le bonheur par sa fonction propre.  « Toute action tend naturellement vers un bien » L’acte vertueux a un mouvement propre, immanent. L’action éthique a pour moteur l’agent lui-même. Le bonheur est la jouissance de l’acte bien accompli, qui fait le bien d’autrui.  « Les œuvres sont par nature

pas le plaisir. Le plaisir n’est qu’un artifice imaginé par la nature pour obtenir de l’être vivant la conservation de la vie ; il n’indique pas la direction où la vie est lancée. Mais la joie annonce toujours que la vie a réussi, qu’elle a gagné du terrain, qu’elle a remporté une victoire : toute grande joie a un accent triomphal. Or, si nous tenons compte de cette indication et si nous suivons cette nouvelle ligne de faits, nous trouvons que partout où il y a joie, il y a création : plus riche