Toyotisme

des principes mêmes du fordisme . Ou l’on voit que des considération sociales peuvent avoir des répercussions économiques directes ! Face aux problème que pose le fordisme ; au japon un nouveau mode de fabrication se met en place : c’est le toyotisme Un changement fondamental de logique L’approche industrielle Le couple production de masse-consommation de masse Valeur clé: la quantité La rationalisation le management scientifique Incapacité de comprendre l’homme en tant qu’acteur

contre la « flânerie » des ouvriers, les gestes inutiles et les temps morts grâce à l'Organisation Scientifique du Travail (OST). I- Du taylorisme au toyotisme A. Le taylorisme : la réorganisation scientifique du travail B. Le toyotisme : la recomposition du travail II- Les similitudes et les différences entre le taylorisme et le toyotisme A. D'un coté les changements paraissent réels et profonds B. D'un autre coté, il est légitime de s'interroger sur l'importance réel de ces changements

(travail collectif stimulant) 3) Un exemple de N.F.O.T. : Le toyotisme a Les principes du toyotisme Ce procédé naît au Japon dans les années 50 mais s’inspire des supermarchés américains et de l’enseignement de W.E Deming. Ces 2 principes de base sont : Le « pilotage par l’aval » (la production est déclenchée par la demande du client) Le « juste-à-temps », ce mode de gestion vise à supprimer les stocks grâce à la livraison des pièces. Le toyotisme retourne donc la pyramide du fordisme qui déclenchait

Toyota | Fondateur | Enzo Ferrari ancien pilote de F1 ce servant de son prestige de pilote pour créer à lui seul un empire en ayant comme idées de créer des voitures citadines en restant sur un look sportif. | Taiichi Ohno père de l’ohnisme ou du toyotisme ayant réussi à construire son image de marque sur un moyen de production certes risqué mais efficace en créant ces voitures avec pour objectif 0 stocks. | Image de marque | Luxe (produit fait à la main), Rareté du produit (Production limité) |

tard, les méthodes ont changé. Elles reposent sur une adaptation de la production à une demande variable et diversifiée et sur une flexibilité des travailleurs. Problématique = En quoi ces nouvelles formes d’organisation du travail, dérivées du Toyotisme, ont-elles modifiées les conditions d’emploi et de vie des salariés ? Ont-elles améliorées le statut des salariés ? Ont-elles contribuées à rendre le travail plus intéressant, plus motivant et moins fatiguant ? Ont-elles améliorées les qualifications

processus dont les tâches sont détaillées pour être exécutées sans qualification particulière, à un rythme accéléré et contrôlé », G. DUVAL, Alternatives Economiques. Le Toyotisme pourrait dés lors s’envisager comme un prolongement du taylorisme dans la mesure où il a encore intensifié le travail humain. Les coûts sociaux du Toyotisme existent car la pression des salariés est d’autant plus forte dans un système de production sans stock, dont l’objectif de flexibilité s’ajoute à celui de productivité

PLAN DU COURS : A. Organisation du travail, productivité et croissance. 1. 2. 3. La division du travail et les gains de productivité : taylorisme et fordisme. La crise du modèle tayloro-fordiste. Les nouvelles formes d'organisation du travail : le toyotisme B. Évolution du monde du travail. 1. L'évolution des contrats de travail. 2. Les mutations du travail et des emplois. NOTIONS À CONNAÎTRE : - Organisation du travail : système (structure, agencement, organisation des postes) mis en place

qui les a très tôt mis en œuvre, ont amené certains à parler de toyotisme . ➢ Flexibilité des machines et des hommes, robotisation et polyvalence multifonctionnelle , mobilisation des salariés par l’enrichissement des tâches, un travail plus autonome ; de petits collectifs de travail et une participation au sein de groupes de discussion : ces NFOT ont parfois été caractérisées de post tayloriennes . ➢ Les apports du toyotisme, à travers le juste à temps ou les flux tendus, la qualité totale

salaires moyens de l'époque. Il alimente ainsi la consommation de masse. Aujourd'hui on retrouve des exemples de W répondant aux critères du taylorisme → usines de production automobiles, caissières, plateformes d'appels, … II – Du Taylorisme au Toyotisme Une des principales critiques qui a été faite au taylorisme est qu'il déshumanise le travail. Cette vision part, de plus, du postulat que seul l'argent motive l'ouvrier. Elton Mayo va donc essayer de redonner au travailleur une place plus centrale

tayloro-fordien (production de masse qui ne prend pas en compte la demande, pénibilité du travail importante pour les salariés…). Dans les années 1980, les grandes puissances industrielles et développées reprennent, avec quelques modifications, ce toyotisme, et créent ainsi les NFOT (Nouvelles Formes d’Organisation du Travail). Au cœur de ces NFOT réside le concept de flexibilité, intégré au processus productif dans le but d’améliorer la réactivité de la production. Dans un premier temps, nous verrons