Tpe Morphine

ayant utilisé des stimulants : Dimitry Fofonov, Clément Lhotellerie Les narcotiques Les narcotiques sont des substances permettant la diminution de la sensation de douleur. Ils sont surtout utilisés en compétition. Exemples : • Héroïne • Morphine • Alfentanil Effets recherchés : • Diminution de la sensation de douleur Risques : • Accoutumance et dépendance • Dépression respiratoire, diminution du rythme cardiaque et de la capacité de concentration • Nausée, vomissement et constipation

est implicite dans la question : 1) effet morphine 2) danger des prises répétées. Ne pas parler donc des effets du sevrage. Intro : Morphine= opiacée analogue structural des enképhalines, donc mime les effets des enképhalines. Peut se fixer sur les récepteurs opioïdes du système de récompense Système de récompense= dans cerveau, fait intervenir la dopamine, donc joue un rôle dans la sensation de plaisir. 1) Mode d’action de la morphine sur le système de récompense. Un schéma

LES ECARTS La PCA permet l’auto administration de morphine par le patient à l’aide d’une pompe programmable. Les doses sont prédéterminées. Le mode d’administration peut se faire en intraveineux ou en sous cutanée. Indications : Douleurs intenses et/ou rebelles aux autres produits, notamment algies d’origine cancéreuse (où l’analgésie doit être totale et permanente et non réalisée à la demande). Contre indications : Hypersensibilité à la morphine, insuffisance respiratoire décompensée, épilepsie

pris isolément. Contre-indications : Maladie grave du foie ,asthme et insuffisance respiratoire, en association avec les médicaments contenant de la nalbuphine (antalgique puissant, son action est semblable à celle de la morphine), de la buprénorphine(substance proche de la morphine, utilisée chez les toxicomanes comme produit de substitution aux opiacés. Elle permet de supprimer les symptômes du manque) ou de la pentazocine (antalgique d'action similaire à celle des opiacés ; il peut favoriser les

la douleur. Des formations sont également proposées au corps médical et à leurs futurs membres sur la prise en charge de la douleur. Elle comprend l’utilisation du mélange équimolaire oxygène-protoxyde d’azote, des pompes PCA qui délivrent de la morphine ainsi que les outils qui permettent d’évaluer la douleur. L’UETD cherche chaque année à faire progresser la prise en charge de la douleur chez l’enfant en lançant toute sorte d’enquête dans les services concernés ainsi que des travaux de recherche

les psychostimulants et les opiacés. Les psychostimulants, comme leur nom l'indique, augmentent la vigilance et diminuent la sensation de fatigue et de sommeil : c'est le cas des amphétamines et de la cocaïne. Au contraire, les opiacés, comme la morphine ou l'héroïne, ont un effet d'endormissement. Bien que ces deux groupes de produits aient des effets opposés, les recherches actuelles ont montré qu'ils possèdent en commun la propriété d'augmenter dans le cerveau la libération d'une molécule fabriquée

vont associer l’alcool à d’autres substances comme : - Le tabac -La drogue : cannabis, héroïne , cocaïne … - Les médicaments : (en général des antidépresseurs) contenants de la codéine, qui est  transformé par les enzymes en faible quantité de morphine toute ces substances ajoutées à l’alcool peuvent avoir de mauvaises conséquences sur la santé du jeune et le moral de ses porches.   Pourquoi   Aujourd'hui, les jeunes à la recherche de "plaisir", d' "évasion" boivent de l'alcool moins régulierement

Observation : Il existe trois catégories de douleurs : * Les douleurs d’origine nociceptive : Elles sont dues à une stimulation excessive des récepteurs périphériques ce qui entraîne une douleur intense liée à des phénomènes mécaniques, inflammatoires, thermiques et chimiques. Ces douleurs sont continues ou intermittentes et varient en intensité. * Les douleurs d’origine neurogène : Ce sont des douleurs qui ne proviennent pas de lésions tissulaires. Elles sont dues à une interruption

central, stimulent la vigilance et l’attention séDaTiFs DU sNc oU psYcHolepTiQUes Ce sont des substances qui modèrent l’activité cérébrale. Elles calment la douleur et l’anxiété et luttent contre l’insomnie - Opiacés : • naturels : opium, codéine, morphine, pholcodine • de synthèse : Péthidine, fentanyl, buprénorphine, héroïne … - Anxiolytiques : benzodiazépines et autres perTUrBaTeUrs DU sNc oU psYcHoDYslepTiQUes Ce sont des substances qui provoquent des hallucinations et des délires proDUiTs NoN

UE 2.4 Processus traumatiques Et prévention - Douleurs nociceptives o o o Palier 1 : paracétamol (Doliprane, efferaglan) Palier 2 : codéïne (codoliprane, efferalgan codeïné), tramadol (contramal, topalgic, Ixprim) Palier 3 : Opioïdes forts (morphine, actiskenan, durogésic) Antidépresseurs Antiépileptiques - Douleurs neurogènes o o - Douleurs psychogènes Elles sont traitées par le recours à des psychotropes et à la psychothérapie. B) L’impotence fonctionnelle C’est l’incapacité