Tragique L étranger

concret/Inerte/mort  Vers 6 : « lourde armature » Créer une beauté idéale et abstraite.  Passer du concret au spirituel Résultat forcément impossible à atteindre. Condition de l’artiste misérable : création impossible II- Une condition tragique et pathétique 1) Le tragique L’artiste ne peut abandonner sa condition • V5/6 : « nous userons » et « nous démolirons ». Détermination à continuer  futur Nous = généralisation des artistes/ unanimité. • Destin fatal : forme

fait les frais à partir de sa rencontre avec Manon Lescaut, une jeune femme séduisante aux mœurs pour le moins légères. Mais, fait étrange, le titre du roman a évolué pour ne plus se réduire qu’au nom de cette femme. Comment l’expliquer ? Il convient d’abord de rappeler la fonction même du titre, qui nous mènera à la double lecture possible, au double aspect tragique et comique du roman, lui-même fortement lié au personnage désormais seul éponyme du roman : Manon Lescaut. Pour toute œuvre, littéraire

vivent. Commentaire : Ainsi, elle se fait donc illégalement et les personnes se trouvant dans cette situation sont des étrangers en situation irrégulière appelées « clandestins » ou « sans-papiers ». Une situation d'immigration illégale se résume donc, notamment, à deux situations : soit un étranger n'ayant pas obtenu le renouvellement de leur titre de séjour, soit un étranger qui est entré de manière clandestine sur le territoire. Commentaire : En France, elle constitue la part de l'immigration

tragi-comique de l’œuvre. Dom Juan, qui s’est moqué du Ciel par ses infidélités et ses comportements immoraux, est amené à la mort. On peut noter que ce dénouement est teinté de surnaturel. (Questionnement par rapport à ce texte) Pourquoi une fin si tragique pour Dom Juan ? Qu’est-ce qui rend le dénouement si ambigu ? Quelle sont les caractéristiques de la pièce, qui ont mené à la censure ? (Présentation du plan) Dans un premier temps, nous observerons la personnalité de chaque personnage et l’ambiguïté

tragi-comique de l’œuvre. Dom Juan, qui s’est moqué du Ciel par ses infidélités et ses comportements immoraux, est amené à la mort. On peut noter que ce dénouement est teinté de surnaturel. (Questionnement par rapport à ce texte) Pourquoi une fin si tragique pour Dom Juan ? Qu’est-ce qui rend le dénouement si ambigu ? Quelle sont les caractéristiques de la pièce, qui ont mené à la censure ? (Présentation du plan) Dans un premier temps, nous observerons la personnalité de chaque personnage et l’ambiguïté

de l’absurdité de la condition humaine et de la révolte qui lui donne du sens. Selon l’auteur « l’étranger » appartient au cycle de l’absurde. C’est un roman. La souffrance du héros peut provoquer la pitié chez le lecteur. Mais c’est un texte tragique : Le héros est soumis à une fatalité, à un destin injuste. Point de vue interne à la 1ère personne : Meursault « je » raconte au lecteur. Des sensations variées : Peu de sentiments mais beaucoup de sensation : - Visuelles : Meursault fixe l’arabe

Albert Camus, intilulé L'étranger, paru en 1942, c'est a dire en plein mileu de la la seconde guerre mondiale. Cette extrait nous racontre l'histoire d'un personnage ou ne nous connaissons pas son présom, et où il commettra un acte complètement « étranger » de sa personne, a cause des éléments qui l'entoure c'est a dire le soleil. En quoi cet extrait peut-il illustrer le titre de l'oeuvre, L'Etranger ? Dans un premiers temps, nous verrons comment le narrateur est un personnage très sensible au soleil

touchée par la Rhinocérite, une maladie qui atteint tous les habitants et les transforme en rhinocéros. Dans la scène de dénouement, Bérenger, le personnage principal, résiste à la transformation. En quoi cette scène est-elle représentative du tragique de la condition humaine ? Un monologue révélateur de la tragédie de la condition humaine par le dilemme de Bérenger Le dilemme de Béranger consiste à être tiraillé entre la métamorphose et la résistance. Symbole de la glace = Objet scénique

progressivement, lorsque l’homme prend conscience d’une différence entre lui-même et tout ce qui l’entoure, qui lui apparaît comme étranger, voire hostile. D’où la référence à Aristote, mettant en évidence le rapport entre étonnement et naissance de la philosophie. D’où (aussi) la distinction entre l’étonnement philosophique, qui porte sur l’habituel devenant étrange et l’étonnement du savant, qui porte sur des phénomènes rares, mais explicables. Enfin, l’étonnement suppose un certain degré

ce texte pour en étudier l’enjeu : Comment Giraudoux met-il en scène la mort d’Egisthe dans la narration du mendiant ? (Axes de lecture) Nous pourrons d’abord étudier la narration et ses procédés pour rapporter la mort d’Egisthe ; Puis le tragique et son expression par la voix du Mendiant. (Développement) A la première lecture, c’est la narration de la mort d’Egisthe qui est remarquable dans le texte. 1 Les premiers mots du Mendiant « Alors voici la fin. » sont lourds de sens.