Tragédie Comédie Plaire Instruire

Britannicus, Racine Acte III, scène 8 Objet d’étude : le théâtre, la tragédie classique (XVII°) Objectifs notionnels - les stichomythies, le style (le rythme des alexandrins) - la tension dramatique au cœur de la pièce (Acte III central) Objectifs culturels - le jeu des acteurs : le théâtre comme texte et comme spectacle (dynamisme) - le nœud de l’action et le conflit tragique inévitable - vers le dénouement tragique : la crainte grandissante du spectateur face au fatum (catharsis)

pour les descriptifs de Première ,à mémoriser donc ! DISSERTATION ​: « Une comédie est un poème ingénieux qui, par des leçons agréables,​ ​reprend les défauts des hommes.​ » Molière La critique des mœurs individuelles et sociales est une source d’inspiration essentielle dans la comédie telle que la définit Molière quand il écrit dans la ​Préface du ​Tartuffe​ 1664 ​: « S i l’emploi de la comédie est de corriger les hommes, je ne vois pas pour quelle raison il y en aura de de

reprend de la Renaissance. Les règles de ce courant sont : - Plaire, instruire et la morale. - Suivre la nature (aspect réaliste) - La bienséance pour ne pas choquer. L’esprit du classicisme est celui de la maîtrise, du rangement. Le théâtre est dominant ainsi que la comédie et la tragédie Le classicisme impose plusieurs contraintes au théâtre du 17ème siècle.

Âge et surtout à la renaissance, on a toujours admiré le génie des anciens. Les écrivains classiques les imitent car ils pensent que les grands auteurs de l'antiquité avaient atteint la perfection . L'imitation des anciens se retrouve dans les tragédies classiques, le plus souvent tirées de la mythologie grecque ou de l’Antiquité historique. Ce culte se retouve également avec l’établissement des règles classiques, exposées par Boileau dans l’Art poétique en 1679, et directement inspirées par Horace

"Placere et docere", plaire et instruire, tel pourrait être la devise des grands auteurs classique. Ce mouvement littéraire, en réaction contre l'exubérance du baroque, cherche à créer des modèles en fondant chaque genre littéraire sur des règles de construction claires et rigoureuses. Ils revendiquent l'usage d'un style simple et naturel. En témoin éclairé de cette époque, Molière, chef de troupe, cherche à faire rire en dénonçant les travers de la société. Dom Juan, rédigé en prose, en fait la

vont à l'encontre de l'esprit baroque. Ainsi, une œuvre ne doit pas procurer un plaisir gratuit mais s'inscrire dans une visée morale et didactique ; le mot d'ordre est d'« instruire et plaire » pour corriger les défauts humains. La tragédie, par exemple, doit inspirer au spectateur « terreur et pitié », tandis que la comédie dénonce les ridicules et les torts de ceux qui s'écartent du droit chemin. Le héros doit souvent choisir entre sa passion et son devoir ; il peut être soumis à un destin implacable

(Chapelain, Scudéry, Boileau, en France) s’appuient sur le grec Aristote et sur le Latin Horace. L’un des premiers principes du classicisme est celui de l’utilité de l’art: il faut plaire et instruire. C’est le projet même des Fables de la Fontaine. Les comédies de Molière corrigent les mœurs par le rire; dans la tragédie (Racine, Corneille), le spectacle des passions doit conduire à des émotions fortes (pitié, crainte, admiration…) et à la maîtrise de ces mêmes passions (« catharsis » - purgation

révélation du stratagème Les fourberies de Scapin, Molière :Intro : 17eme = age d’or du théatre / Corneille et Racine (tragédie) et Molière (comédie) / cherchent a atteindre deux obj du classicisme : plaire et instruire Prob : Nous montreront l’habileté avec laquelle le valet dupe son maitre 1er mvt : Géronte demande de l’aide a Scapin 2nd mvt : Le plan de Scapin 3eme mvt : la comédie du valet mise en abime La princesse de Clève, Mme de Lafayette Intro : la 1ere moitié du 17e voit paraitre de long roman

de la maison de Bourbon de la dynastie capétienne. Louis XIV est a la tête d’une monarchie absolue de droit divin, il met ainsi en place un état centralisé. Actions de Louis XIV dans le domaine artistique et culturel : - création en 1680 de la Comédie-Française. - Louis XIV accorde sa protection à de nombreux artistes, finançant (rôle de mécène) les grandes figures culturelles de l'époque tels que Molière, le musicien Jean-Baptiste Lully ou le décorateur Charles Le Brun ainsi que le jardinier

accommodants, ce sont les plus habiles : / On hasarde de perdre en voulant trop gagner. / Gardez-vous de rien dédaigner, / Surtout quand vous avez à peu près votre compte. ». « La Cour du Lion », fable 7 : « Ne soyez à la cour, si vous voulez y plaire, / Ni fade adulateur, ni parleur trop sincère  ; / Et tâchez quelquefois de répondre en Normand. ». « Les Vautours et les Pigeons », fable 8 : « Tenez toujours divisés les méchants ; / La sûreté du reste de la terre / Dépend de là : semez entre eux