Tragédie Plaire Instruire Toucher

Les buts de la tragédie (vision diachronique) - Emilie L'évolution des buts de la tragédie au cours du temps. La tragédie connaît sa première définition dans La Poétique d'Aristote socle fondamental de la dramaturgie occidentale.Il définit le théâtre du point de vue philosophique alors que les théoriciens du 1è° siècle le définissent en dramaturges, d'un point de vue pratique. Aristote définit et distingue tout d'abord trois genres théâtraux qui sont la comédie, la tragédie et l'épopée dans

Imiter, n’est pas simplement plagier mais s’inspirer d’un auteur connu pour rivaliser avec lui. La Fontaine tire beaucoup de ses fables des recueils d’Esope (auteur grec connu au V°s avant J.C) ou de Phèdre (auteur latin du I°s. après J.C). Phèdre, tragédie de Racine est la troisième version d’un mythe déjà utilisé par Euripide (dramaturge grec du V° siècle) puis par Sénèque (auteur latin du I°s ap. J.C). 2. Le souci de l’ordre rationnel et de la perfection L’esthétique classique se définit en architecture

La tragédie classique Elle se caractérise par : un sujet noble, puisé dans l'histoire antique, grecque, romaine ou biblique essentiellement ; des personnages historiques ou légendaires de condition élevée (rois, héros mythologiques) une action simple et grande. Obéissant aux règles des trois unités, de la vraisemblance et de la bienséance, l'action tragique doit : servir une intrigue centrale unique ; s'achever dans le chagrin ou le deuil ;  une structure stricte. Une tragédie doit :

Apparue lors de fêtes burlesques en l'honneur de Dionysos, la comédie existe depuis l'Antiquité. Elle a désormais perdu de sa signification religieuse pour remplir pleinement d'autres fonctions : divertir et instruire. est ce que la conception du genre t"de" Beaumarchais est la même que celle de toutes les pièces de théâtre comique. Pour répondre a cette problématique Nous verrons d'abord la comédie "de Beaumarchais", puis nous étudierons la comédie en général. Nous utiliserons pour cela Le mariage

suivre. Les influences Le modèle de l’Antiquité gréco-latine est prépondérant : • La Poétique d’Aristote contient les préceptes qui vont nourrir les règles du classicisme. La catharsis, purgation des passions, deviendra ainsi le modèle des tragédies de Corneille et de Racine. • Les classiques reprennent trois types de sujets : les sujets bibliques (en poésie, en peinture) qui racontent la vie du Christ ; les sujets mythologiques (théâtre, peinture) puisés surtout dans Les Métamorphoses d’Ovide

I. La comédie sert à faire rire A. La devise de la comédie classique (c'est-à-dire du XVII) est de « plaire et de toucher » donc une comédie réussie est une comédie où le spectateur aura trouvé du plaisir. C'est pourquoi Molière a beaucoup de succès, y compris auprès du roi, au même moment où la tragédie avec Corneille et Racine est à son apogée. B. La comédie varie les sources et la nature du comique. Les procédés sont multiples. (Comique de caractère, de gestes, de mots, de situation : analysez

La tragédie et la comédie au XVIIe siècle, le classicisme< Les principes du classicisme Les classiques partagent une même vision de l'art et de l'homme. Les théoriciens élaborent les règles du beau, fondées sur la lecture des œuvres de l'Antiquité. Plaire et instruire. L’art doit d'abord émouvoir, c'est-à-dire provoquer le rire ou les larmes. Mais il doit également apporter un enseignement moral de manière à corriger les hommes. Rechercher la clarté. Pour l'écrivain classique, la beauté passe

theatron » qui signifie « le lieu où l’on regarde ». En effet, c’est dans l’Antiquité Grecque, grâce au développement du culte du Dieu Dyonysos, fils de Zeus et de Sémélé, assimilé au Bacchus romain, dieu de l’ivresse et créateur de la comédie et de la tragédie, qui organisait des fêtes où l’on se déguisait, jouait la comédie, en buvant et en pratiquant la transe mystique, qu’on voit apparaître les premières représentations théâtrales. Le théâtre désigne à la fois l'art de la représentation d'une œuvre

peut avoir des conséquences. Mode comique : registre plaisant, utilisation du rire. « Plaire » pour mieux mener leur réflexion, argumenter et « instruire ». I) Thèse : 1) L’humour détend, évite l’ennui et touche un public plus large. Plus plaisant Le public préfère écouter une argumentation sur un sujet grave de manière comique (donc en étant divertit) plutôt que d’une manière sérieuse dans une tragédie (en étant affligé). 2) Le rire introduit une distance et atténue la gravité d’un sujet

réflexion révélatrice et un moyen d’instruire ? instruire le lecteur tout en le confrontant a une satire de son comportement en société. Tout d’abord, nous étudierons la volonté de l’auteur à instruire le lecteur et corrigé les mœurs de l’homme. Puis nous nous intéresserons à la satire qu’il expose sur le masque et la dissimulation de la nature. Premièrement, la bruyère souhaite à travers la satire des mœurs dissolues de l’Homme instruire le lecteur. En dévoilant les faux dévots de l’hommes