Trame narrative

personnages et se dégage alors de sa charge utilitaire pour signifier en-dehors de sa détermination fonctionnelle. Ces objets servent de supports signifiants aux personnages et à l'action, ils déploient des interprétations qui servent à tisser la trame romanesque dans ce qu'elle a d'essentiel. Ce sont là les objets dont, en tant que lecteur, on se souvient, les seuls auxquels on accordera spontanément le nom d'objets romanesques. Balzac, en conclusion de sa description de la maison Vauquer et de

aventure), le remake (nouvelle version d’un récit qui a eu du succès), la série (association de personnages secondaires variés donnant une impression de changement à des personnages centraux immuables dans une situation fixe alors qu’en fait la trame narrative ne change pas), la saga (présentation de la généalogie d’une famille où les acteurs se succèdent de lignée en lignée dans une histoire inchangeable) et le dialogue intertextuel (référence à des textes antérieurs, d’abord racontée typiquement comme

formes de discours : les discours narratif, descriptif, explicatif et argumentatif. NB : ces différents discours peuvent se combiner au sein d’un même texte. I. Discours narratif - Rapporte des événements qu’il situe ds le temps (trame narrative d’un récit) - Le + svt, accent mis sur les faits racontés ; le narrateur (= voix qui produit le récit et qui n’existe qu’au sein de celui-ci. NB : ne pas confondre ac la figure de l’auteur, personne réelle qui tient la plume. Le narrateur

Passage du mot à l'image qui transforme la portée de certains éléments. Ex: l'humour. Passage d'un comique de mot (sur l'écriture de "Bingo crépuscule"/"Bing au..." par exemple) à un comique visuel (les dérapages du facteurs). Autre exemple : La trame narrative. Les règles de l'écrit permettent une manipulation plus facile du lecteur, on peut cacher des choses et libérer l'immagination. Comme le fiul dont il est question dans le premier chapitre, à la foi fil conducteur et corde pour se pendre (citation

Personne ne l’attendait à l’aéroport, ni chez lui d’ailleurs. A lui les déambulations solitaires dans les ruines d’un passé écoulé à jamais et au lecteur, guidé par le style de l’auteur qui reste fidèle à la poésie tout en s’inscrivant dans la prose narrative, la navigation dans l’âme et l’esprit erratiques de Mamoun. De plus, on a l'impression que le temps est suspendu, or, lorsque l'on parle de fin du monde, le temps est bloqué : on a tout d'abord des expressions qui marquent un ralentissement du

caricature et accumule en une seule figue indéterminée les marques superlatives de la goinfrerie et de l’égoïsme ; le texte de Hugo s’inscrit dans un cadre autobiographique (Choses vues), le texte de Prévert recourt à une forme poétique dont la dimension narrative et la rupture finale à valeur consécutive ne sont pas sans rappeler la construction des fables. Les différences se situent également sur le plan de l’implication : distanciation pour La Bruyère ; implication directe chez Hugo, qui intensifie l’effet

terminal 2.1.1 Lire de courts textes à dominante expressive (message personnel ou lettre de remerciement) et à dominante narrative (anecdote, récit de voyage ou d’aventure). Notions Éléments du discours • Idées • mots clés révélant circonstances et personnages ou personnes en cause (dominante expressive) • éléments d’information • action au cœur du récit (dominante narrative) Organisation du discours • Éléments de la présentation matérielle • auteur ou auteure • titre • provenance • division

oublier de parler des ' uvres essentielles de l’auteur. ATTENTION de citer TOUTES les sources bibliographiques, et de ne pas reprendre telles quelles des informations tirées d’un ouvrage ou d’internet. 2) Le résumé Il s’agit de s’en tenir à la trame du roman et donc d’éviter de se noyer dans les détails. A noter qu’il est parfois intéressant d’établir au préalable un tableau reprenant les personnages principaux. 3) Le genre Il existe plusieurs genres romanesques : - le roman d’intrigue[1] :

Lynch, la séquence du générique du film est souvent très révélatrice de ce qu’on peut s’attendre du film. Le réalisateur meuble ainsi symboliquement cette séquence d’ouverture telle une annonce de ce que le spectateur peut espérer de la structure narrative et peut également, comme dans le cas de Lost Highway, fournir des indices sur la caractérisation du protagoniste, et de son état psychologique plus particulièrement. Mulholland Drive n’échappe pas à cette règle alors que l’analyse du générique

it. The camera eye is also autobiographical for the most part, and illuminates phases of the author's life. It seems that this section succeeds in expressing the author's innermost feeling about life and people which he could not do in his narrative proper. Résumé des Camera-Eye : In The 42nd Parallel, one sees him as a child in Tidewater Virginia, traveling in Europe, at school in England, his "four years under the ether cone" at Harvard, his presence at protest meetings and cafes in New