Transfiguration

du poète ? Ainsi, Baudelaire propose sa conception de la poésie qui consisterait à descendre dans le monde , au milieu des hommes pour s'inspirer de la laideur, du mal environnant, des pires aspects de la vie pour y puiser la matériau d'une transfiguration, une source d'inspiration dans le but de le tranformer en beauté, en quelque chose de merveilleux, d'enchanteurs. Aisin nous allons étudier de quelle manière le poète parvient à puiser dans ce mal qui l'entoure pour donner naissance à la beauté

les Arts plastiques de figer la réalité. Hegel lui dit qu'ils fixent la réalité. Ils éternisent le fugace, fugitif (moment qui passe trop vite) Ils éternisent le mouvant. 2) La transfiguration L'art est une transfiguration de la réalité. Transfiguration, l'art quand il est création (≠ imitatif) fait apparaître la réalité plus haute( → réalité quotidienne au naturelle) a) « Une beauté naturelle est une belle chose, la beauté artistique est la belle représentation

Une vie malgré lui : -Saltimbanque -> Il divertit les autres mais ce divertissment est une conséquence .c) Un homme torturé : -Gwynplaine est un héros qui pleure a l'intérierur mais qui ne peux que rire a l'extérieur . II – Une transfiguration de l'ecrivain : a)Un appel de l'écrivain : Répétition de la 3éme personne du sing et de la 1ére du pluriel -> le poéte s'implique dans son oeuvre et veut nous montrer sa condition . b)L'évolution de sa condition : On ne

/présente MAIS détonateur pour l'AVENIR 2.2. Un choix définitif : réussir ! Transfiguration de la CAPITALE • personnification et interprétation de "tortueusement" • allégorie de la "ruche bourdonnant" • choix révélateur des lieux : haute société, beaux quartiers Position symbolique du conquérant, bras croisé, dominant, regard en plongée Transition : Mais derrière cette description, ces transfigurations, => regard et jugement de Balzac 3/ Le romancier face à son personnage, à son

proportions parfaites, Qui touche à peine au mur. Il a la grâce d’une bête En éveil dans sa fixité calme : c’est un oiseau. » Réda, La bicyclette. L’écriture poétique s’éloigne d’une représentation réaliste pour aller vers une transfiguration des choses de la vie. Tout d’abord, nous pouvons remarquer que l’écriture lyrique transforme la vision de la poésie. Elle permet au poète, notamment Rimbaud, d’avoir un pouvoir de vision ou de voyance qui métamorphose la réalité. De plus, la musicalité

déambulation du poète dans les rues de Paris. * Une collision poésie/peinture : intégration des mêmes éléments de modernité ; libres associations qui apparentent ce texte à un tableau cubiste. 2/Ouverture * FONCTION DE CE RENOUVEAU : LA TRANSFIGURATION POETIQUE DE LA REALITE QUOTIDIENNE Elle se fait par : * Les images qui transforment le réel Transformation de l’inanimé en animé * Par les métaphores et comparaisons animales (v.2 mét, v.20 mét, v.22 comp) : la ville se transforme

sorte de quête du Graal - dimension surnaturelle, décor - oxymore : Moïse et le mont Horeb B. La quête des Bohémiens, détenteurs d'un message - référence à l'Exode du peuple Juif d'Israël : détenteurs d'un message divin - 2e tercet = transfiguration des Bohémiens en messagers prophétiques, porteurs d'espérance (aspiration à l'Idéal) - porteurs des valeurs et difficultés du poète - symbolisme : sublime la nature qui s'éveille, musique des grillons… - "chanson" : au départ la poésie était

nauséabondes se mêlent. C’est plutôt l’odeur nauséabonde qui prime avec l’exclamation de dégoût, l’haleine, l’odeur corporelle (« sueur h. ») --> Cette évocation du paysage minier se distingue par des faits réalistes mais surtout par une volonté de transfiguration (métamorphose de ce qu’il voit en ce qu’il ressent). II. Un paysage transfiguré et lugubre a) Présence du locuteur ? Sa présence est + suggérée qu’explicite (aucun « je »). Présences d’indices : - Utilisation du pronom indéfini « on »

œuvres d'art Baranski (Sandrine), "Manières de créer des sons : l'œuvre musicale versus le dispositif musical", Revue Déméter, novembre 2009, Université Lille 3, Danto (Arthur C.), The Transfiguration of the Commonplace, New York, Harvard University Press, 1981. Tr. fr. de Hary-Schaeffer(Claude), La Transfiguration du banal - Une philosophie de l’art, Paris, Le Seuil, coll. Poétique, 1989, 330 p. Françoise Chaudenson, À qui appartient l'œuvre d'art ?, Paris, Armand Colin, 2007, 309 p. Genette (Gérard)

œuvres d'art Baranski (Sandrine), "Manières de créer des sons : l'œuvre musicale versus le dispositif musical", Revue Déméter, novembre 2009, Université Lille 3, Danto (Arthur C.), The Transfiguration of the Commonplace, New York, Harvard University Press, 1981. Tr. fr. de Hary-Schaeffer(Claude), La Transfiguration du banal - Une philosophie de l’art, Paris, Le Seuil, coll. Poétique, 1989, 330 p. Françoise Chaudenson, À qui appartient l'œuvre d'art ?, Paris, Armand Colin, 2007, 309 p. Genette (Gérard)