Transition Démographique Au Xviiième Siècle

THEME 12 : LES STRATEGIES DE DEVELOPPEMENT *Qu'est-ce que le développement ? Selon la définition classique de F. Perroux (L'économie du XXeme siècle, 1961), le développement est la "combinaison des changements mentaux et sociaux d'une population qui la rendent apte à faire croitre, cumulativement et durablement, son produit réel global". Dans cette optique, le développement qui articule des transformations économiques et financières et des transformations psychologiques, sociales, politiques

Mercantilisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher [pic] Le Lorrain, Port de mer avec la villa Médicis, 1638 Le mercantilisme est une conception de l'économie qui prévaut entre le XVIe siècle et le milieu du XVIIIe siècle en Europe. Les penseurs mercantilistes prônent le développement économique par l'enrichissement des nations au moyen du commerce extérieur qui permet de dégager un excédent de la balance commerciale grâce à l'investissement dans des

(production en baisse de près de 15 %). Avec une part de 13 % dans le PIB et surtout de 40 % dans la population active, ce secteur reste déterminant. Il expose désormais l’ensemble de l’économie à un risque climatique important : alors qu’au début du XXème siècle on comptait en moyenne une sécheresse par décennie, on en est actuellement à quatre2. Toutefois, l’élément positif dans ce tableau est qu’avec un résultat attendu de l’ordre de 3,1 % (contre 4,7 % en 2004), la croissance non-agricole a été moins affectée

territoires (comme le réseau de villes moyennes en Bretagne). Les villes ont toujours été les lieux d’organisation de la vie sociale. C’est autour d’elles que se structurent les territoires et les services. Cette fonction s’est accrue au cours des siècles pour arriver à une situation où elles tendent à amoindrir le rôle des autres territoires. En Bretagne, une forte spécificité rurale s’est progressivement effacée pour laisser place à une population en très grande majorité urbaine. Pour autant, les

Introduction : Le XXème siècle est le siècle de rupture. L’ordre est établit sur le primat du religieux. Au cours de ce siècle, il y a un éclatement des valeurs familiales et morales, une uniformisation de la culture et de l’économie. De plus, il y a un déplacement du centre géopolitique du monde. Au XIXème siècle, c’était l’Europe, puis au XXème siècle, les USA sont le nouveau centre géopolitique du monde. Il y a une émergence de nouvelles puissances régionales marquées par des idées démocratiques

géographique et historique. C’est une observation (frontières, histoire). L’Europe ne constitue historiquement ni une communauté raciale ni une communauté linguistique. Les populations européennes sont le fruit d’un brassage millénaire. Pourtant au 18ème siècle, certains auteurs vont véhiculer l’idée selon laquelle les nobles auraient appartenu à une race de peuple conquérant. Tandis que le peuple aurait été issu des populations conquises. L’origine historique de l’Europe est difficile à situer. On peut

mettre en scène un individu citoyen dans sa pleine capacité à décider pour lui-même. Le peuple se gouverne lui-même à l’abri de l'influence du passé. La démocratie contribue à ce phénomène. Ce constat, c'est un auteur important qui le fait au XIXème siècle. Il s'intéresse plus particulièrement à l'Amérique. « De la démocratie en Amérique » est un ouvrage dans lequel il jette une lumière sur cette culture démocratique (américanisation des mœurs). TOCQUEVILLE. « La démocratie fait oublier à l'Homme ses

mais toujours au sein d'une autre forme de pensée: au sein de la philosophie pour la pensée grecque, au sein de la théologie pour le Moyen-Age européen, au sein de l'histoire ou de la philosophie de l'histoire dans la pensée arabe jusqu'au XIVème siècle. L'étude des autres modes de production était reléguée au second plan, voire ignorée comme c'était le cas pour les marginalistes. L'économie politique se comportait à leur égard, selon l'expression de K. Marx «plus ou moins comme les pères de

Construction…………………………………………………………………………………….25 IV. La politique de la Roumanie……………………………………………………………25 IV.1. Régime politique………………………………………………………………………… ……...25 IV.2. Evolution politique………………………………………………………………………………27 IV.3. Une transition démocratique…………………………………………………………… ………28 V. L’économie de la Roumanie……………………………………………………………...30 V.1. Généralités…………………………………………………………………………………………30 V.2. Leu roumain……………………………………………………………………………………….30 V.3. Taux de change……………………………………………………………………………………30

84 Chapitre préliminaire. Les naissances du droit dans l’Antiquité : quelques monuments du droit 87 I. La Mésopotamie 87 II. Les Hébreux 90 PREMIERE PARTIE : LE DROIT ANTIQUE ( VIIIème siècle av. – VIème siècle ap. J.-C. ), UN LEGS A L’OCCIDENT 95 Chapitre Ier. Le droit public : les institutions 97 Section I. La Cité grecque 97 Paragraphe 1. L’invention de la Cité et du citoyen 97 Paragraphe