Transitivité

l’identité «une fois donné un vrai énoncé d’identité» (From a Logical Point of View , p. 139; cf. aussi Set Theory and Its Logic , 1, et Word and Object , paragr. 30), dont il est possible de déduire les lois de l’identité: symétrie, réflexivité et transitivité (Set Theory , paragr. 1 et 6). Plutôt qu’un critère de l’identité, la substituabilité en est la signification logique fondamentale. Toutefois, à la différence de ce qu’il advient dans les controverses sur les critères de l’identité, souvent indécidables

fonctionnelle  avec  plusieurs  sources.  La  propriété  de  transitivité  de  la  dépendance  fonctionnelle est mise en œ uvre et cela crée des dépendances fonctionnelles redondantes.  La propriété de transitivité signifie que si A → B et B → C, alors A → C.  Contrairement à la nature humaine, notre objectif étant d’éviter les redondances de données, il ne faut pas suivre le  plus court chemin. Il faut conserver les deux branches initiatrices de la transitivité et éliminer la branche déduite, car  c’est elle qui induit les redondances

interminables, les syllogismes ou les métaphores poussées trop avant, les corrélations abusives, les statistiques non fondées, les associations de causalités inexistantes, le renversement du lien de causalité, l’affirmation erronée posé en axiome, les transitivités non arithmétiques, l’affirmation des réciproques, la généralisation d’un fait particulier... Dire trop ou trop peu Nous avons tous croisés des bavards impénitents qui trop content de prendre la parole, nous abreuvent de mots, de synonymes,

certaines exigences. 1.2.1 Axiomes de la théorie des préférences A.1 (Ordre total) Pour tout couple x1, x2 ∈ X, ou bien x1 ≥ x2 ou bien x2 ≥ x1. Tous les complexes de biens peuvent être comparés entre eux. A.2 A.3 (Réflexivité) Pour tout x ∈ X, x ≥ x (Transitivité) Si x1 ≥ x2 et si x2 ≥ x3 alors x1 ≥ x3. Cet axiome nous assure qu’il y a un meilleur élément dans l’ensemble, ce qui est nécessaire pour les problèmes de maximisation. Les axiomes A.1, A.2 et A.3 définissent un préordre sur X 1.2.2 Lien entre

nomEmployé, ville donc on obtient par augmentation numEmployé, numLaboratoire  nomEmployé, ville, numLaboratoire donc on obtient par décomposition numEmployé, numLaboratoire  nomEmployé (2) Et on a numEmployé, numLaboratoire  ville. Par transitivité de DF1 et DF3 on obtient numEmployé, numLaboratoire  nomProjet (3) D’après (1) , (2) et (3) on peut conclure que (numProjet, numEmployé) détermine tous les autres attributs de la relation Employé. Donc elle est la clé primaire. IT Learning

définition générale ; mode, temps, aspect, personne, nombre, « voix » ou « tournure » ; « étude » des temps de l’indicatif. Chapitre 10 : Les constructions verbales / la « valence » verbale (étude des différents types de complément) : transitivité, intransitivité, emploi absolu, verbes locatifs (/attributifs) ; les compléments circonstanciels : complément de verbe et complément de phrase. Chapitre 11 : Les propositions subordonnées. Chapitre 12 : Conclusion 5. Aide méthodologique :

8 . C’est le célèbre paradoxe de Condorcet. Si trois individus X, Y et Z doivent choisir entre trois possibilités A, B et C, et si X et Z préfèrent A à B, X et Y préfèrent B à C, A devrait donc être préféré à C, or Y et Z préfèrent C à A. La transitivité des préférences individuelles ne se retrouve pas à l’échelle collective. 9 . C’est ce que montre, désabusé, K. J. Arrow [1951]. 10 . Selon K. Polanyi [1944]. 11 . Mais la conséquence est terrible puisqu’en niant cette spécificité – l’homme est

héros racinien est essentiellement verbale, et le verbe se donne pour une conduite, donc le discours est un mouvement immédiat : l’homme racinien est jeté devant nous. Le logos racinien ne se détache jamais de lui-même, il est expression et non transitivité, il reste toujours tautologie épuisante, langage du langage. ------------------------------------------------- Logos et praxis Le langage absorbe toutes les fonctions dévolues ailleurs à d’autres conduites : c’est presque un langage polytechnique

interminables, les syllogismes ou les métaphores poussées trop avant, les corrélations abusives, les statistiques non fondées, les associations de causalités inexistantes, le renversement du lien de causalité, l’affirmation erronée posé en axiome, les transitivités non arithmétiques, l’affirmation des réciproques, la généralisation d’un fait particulier... Dire trop ou trop peu Nous avons tous croisés des bavards impénitents qui trop content de prendre la parole, nous abreuvent de mots, de synonymes

fonctionnelle par une fl`che simple : X → Y . e e Par exemple, si X est le num´ro de client et Y le nom de client, alors on a bien X → Y . Par contre, e on a pas Y → X, car plusieurs clients de num´ros diff´rents peuvent porter le mˆme nom. e e e Transitivit´ : si X → Y et Y → Z alors X → Z. e Par exemple, on a num´ro de commande → num´ro de client → nom de client, donc on a aussi e e num´ro de commande → nom de client. Mais la d´pendance fonctionnelle num´ro de commande → nom e e e de client