Transsibérien Cendrars

Corrigé de dissertation Sujet : « On ne peut transporter partout avec soi le cadavre de son père […] Mais nos pieds ne se détachent qu’en vain du sol qui contient les morts. » Cette réflexion d’Apollinaire vous permet-elle de définir la modernité poétique ? Vous développerez votre argumentation en vous appuyant sur l'œuvre, les textes étudiés, ainsi que vos connaissances personnelles. INTRODUCTION [Accroche] Apollinaire est très souvent présenté comme un poète moderne rompant avec les différentes

qui contraste avec le rouge (couleur de l’enfer) + Présence des sistres (--> cérémonies funéraires) --> L’homme semble avalé, absorbé par cet espace hostile. Ce paysage transfiguré expose une vision du monde extrêmement pessimiste ( / Blaise Cendras). En revanche il y a dans ce poème une illustration du titre de la section et un rapprochement avec la peinture. III. Rapprochement avec la peinture impressioniste a) Le fond au service de la forme - Utilisation du tétrasyllabe qui hache les

Hurni Sylvain semestre été 04 2ème année Littérature Française moderne III J. Meizoz Attestation La Banlieue de Paris Cendrars est un écrivain suisse dont la carrière s’amorce à Paris, à l’Hôtel des étrangers, et comme il tient à le préciser, dans la maison où fut écrit le roman de la Rose. Cendrars n’est pas un écrivain qui revendique une appartenance nationale, sociale ou littéraire. Sa volonté d’être au cœur du monde, son goût d’errance et de vagabondage, font de lui

OU Guillaume Apollinaire , Alcools, 1913 Classico lycée, Belin Gallimard OU Blaise Cendrars , Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France, 1914, Classico Lycée, Edition Belin/Gallimard A lire pendant les vacances de Pâques : fiche

l’Orient et notamment par la Chine qui sera sa principale source d’inspiration. Il est médecin de la marine et archéologue. Il écrit Stèles en 1912 à Pékin. Cendrars 1887-1961 Passionné par la culture moderne et ses prouesses techniques. Il quitte le pays pour voyager… Russie et moyen orient qui lui inspira la prose du transsibérien. Il s’engage dans la légion étrangère lors de la deuxième guerre mondiale malgré ses origines suisses puis se retire pour écrire ses Romans Poèmes autobiographiques

stylistiques au sein des sens, le poète fait des tableaux que lorsque la personne fait la lecture, si elle se soumet au contenu, elle arrive à voyager mentalement à l'endroit décrit ; que ce soit réel ou fictif. Notamment, Cendrars fait de nombreux tableaux visuels dans La prose du Transsibérien, pour ainsi inspirer le lecteur à imaginer les lieux dont il parle comme le Mexique.

sorte de dette morale à laFrance. Ainsi Ossip Zadkine s’engage comme brancardier, Blaise Cendrars rejoint carrément la Légion étrangère.  Des femmes artistes: elles sont peu nombreuses dans le monde artistique à cette époque . Il conserve une amitié avec Marie Laurencin, la romancière américaine Gertrude Stein installée à Paris, Sonia Delaunay artiste peintre qui a illustré La Prose du transsibérien de Cendrars, Anna Akhmatova grande poète russe, Kiki de Montparnasse une jeune danseuse qui fut

I. Une poésie de la modernité a) Baudelaire : aux origines de la modernité b) les découvreurs du modernisme poétique : Verhaeren, Larbaud, Romains et l’Unanimisme c) Les chantres de l’esprit nouveau : Apollinaire, Cendrars, Max Jacob I. Une poésie de la Modernité a) Aux origines de la Modernité - Baudelaire Au début du XXème siècle, de nombreux mots tournent autour de la notion de modernité : modernisme, moderne... Ces mots s’associent

que la tourbillon d'images, de bruits, d'odeurs mais aussi la poésie de ces voyages en chemins de fer. Commencé par Vigny, ce thème de la poésie et de la modernité sera repris à de nombreuses reprises et avec beaucoup de succès par Blaise Cendras (le Transsibérien), Appolinaire (Calligrammes) ou Valéry Larbaud.

“Après le procès des Fleurs du Mal en 1857 et l’élaboration d’une nouvelle section « Tableaux parisiens », Charles Baudelaire adopte une nouvelle forme poètique, le poème en prose. « Le port » est le 42ème de ces poèmes publiés à titre posthume en 1869 dans le recueil « le Spleen de Paris ». Constitué d’un seul paragraphe, il décrit un paysage maritime à la manière d’un tableau de son ami peintre Eugène Boudin. Fasciné par le spectacle, le poète évoque à la fois sa quête de l’idéal et le spleen