Travail Educatif Cannabis

sport et du sportif est péjorative et pourvue de stéréotypes (le sportif, avoir besoin d’avoir un beau corps pour exister). De ce fait, son engagement corporel est altéré par des facteurs internes et environnementaux. Dans la première partie de ce travail, nous verrons tout d’abord l’histoire de la toxicomanie à travers le temps et l’espace, les étapes du toxicomane ainsi que les lois et soins qui interviennent dans ce cadre. Ensuite, nous nous intéresserons au corps du toxicomane, les effets des substances

climat délétère qu’apparaissent 2 hommes religieux importants : Jean Calvin et Ulrich Zwingli. Le premier va propager les valeurs protestantes dans la Suisse romande et plus particulièrement à Genève où grâce à ses idées axées sur les valeurs du travail et les bienfaits de l’enrichissement, le capitalisme va se développer et du coup augmenter la prospérité de la citée Genevoise. Le second va développer le protestantisme dans la Suisse alémanique. Persuadé que les fidèles doivent s’en tenir uniquement

être définie comme telle lorsqu’elle regroupe au minimum 3 des critères énoncés par le DSM IV. Afin de mener notre étude et le questionnaire qui y est lié et qui nous permet de répondre à nos questions vis-à-vis du sujet ; nous avons choisi des travailler autour de 3 critères : Critère 3 : Prise de la substance en plus grande quantité ou pendant plus longtemps que prévu. Critère 5 : Beaucoup de temps passé à utiliser ou à se procurer la substance. Critère 6 : Abandonner ou réduire ses activités

une centaine de pages. L’organisation concrète de l’autorégulation, et des comités de visionnage concerne essentiellement les chaînes de télévision, l’éducation à l’image que nous avons tenue à étendre à l’éducation aux médias, concerne le champ éducatif dans son entier et ses rapports avec l’ensemble des médias qui constituent l’environnement de l’enfant, parmi lesquels la télévision, mais aussi les jeux vidéo, les CD roms, les cassettes, la radio, l’Internet. L’articulation de la liberté d’expression

mises à jour et conduit à un travail pédagogique et de responsabilisation des citoyens. * Des valeurs humaines: respect et refus de toute stigmatisation des personnes. Ces valeurs accompagnent les actions d’information et de prévention. Elles sont animées par une vision humaniste de la société et des individus. B) Un rôle, des objectifs 1.1 Prévenir Les stratégies utilisées se situent simultanément à différents niveaux : législatif, environnemental, éducatif, familial et individuel. Pièce

volupté. INTRODUCTION Lors de mes deux premiers stages, et plus particulièrement lors de mon stage de deuxième année en association d’insertion socioprofessionnelle, j’ai pu rencontrer des personnes toxicomanes et travailler avec elles. En tant que future professionnelle du travail social, j’ai à la fois pu prendre conscience du phénomène de la toxicomanie, en repérant son importance au cœur de nos pratiques, mais aussi constater avec surprise, à quel point cette problématique était délicate

qui éprouvent des difficultés d’insertion socioprofessionnelle. Durant ce stage, j’ai pu observer le fonctionnement de ce type de structures, appréhender les difficultés des personnes accueillies et m’impliquer en tant que professionnel dans le travail effectué par les travailleurs sociaux. J’ai pu remarqué, contrairement à mon idée de départ, que le public accueilli au sein du foyer est très jeune. Depuis le début de mon stage, la majorité des personnes qui arrivaient au CHRS, avaient entre

LE TRAVAIL SOCIAL AUPRES DES JEUNES EN DIFFICULTE DANS LEUR ENVIRONNEMENT Rapport – Tome I/II présenté par : Sylvie BOUTEREAU-TICHET, Danièle JOURDAIN-MENNINGER et Christophe LANNELONGUE Membres de l’Inspection générale des affaires sociales Rapport n° 2005 013 Juillet 2005 1/3 Résumé du rapport n° 2005013 présenté par Sylvie BOUTEREAU-TICHET, Danièle JOURDAINMENNINGER et Christophe LANNELONGUE, membre de l’Inspection générale des affaires sociales. Le présent rapport, qui a

drogues. 45 B. L’intervention sociale de groupe : 49 C. La médiation familiale : 50 D. L’information comme outil de bienveillance pour la famille : 52 E. La prévention : 52 F. Travail en réseau et travail en partenariat 53 1. Le travail en réseau : 53 2. Le travail en partenariat : 54 G. Usagers, ex usagers, professionnels: quelle articulation?: 55 H. Le soutien à l’environnement familial : 56 I. L’action locale et communautaire : 56 Conclusion

SOMMAIRE INTRODUCTION I / MISE EN ŒUVRE DE LA PROTECTION JURIDIQUE A ) PRESENTATION D’UNE SITUATION 1° CONTEXTE DE LA MISE SOUS MESURE DE PROTECTION 2° MISE EN PLACE D’UNE CURATELLE RENFORCEE B ) LE MAJEUR PROTEGE AU CENTRE DU DISPOSITIF 1° LE DIPM 2°TRAVAIL EN RESEAU D’UNE EQUIPE PLURIDISCIPLINAIRE II / LE PARADOXE DE LA MESURE DE PROTECTION FACE A LA RECHERCHE DE L' AUTONOMIE DU MAJEUR PROTEGE A ) L’ACCOMPAGNEMENT TUTELAIRE 1° MODALITES 2°CHAMPS D’ACTION B ) PARADOXE DE LA MESURE DE PROTECTION 1° BILAN