Travailleurs Non Qualifiés Classe Sociale

économistes : Thomas MUN, Richard CANTILLON (il manifestera un mercantilisme "pessimiste" qui préfigurera les analyses critiques futures) et Antoine de MONTCHRESTIEN. Les mercantilistes partent d'abord d'une nouvelle conception de la finalité de la vie sociale : Richard CANTILLON déclare que : "Le bonheur des hommes consiste principalement en la richesse et la richesse dans le "travail" La richesse à laquelle il fait référence est essentiellement celle des gouvernants, des marchands, des artisans

(Durkheim en est le fondateur). * L a manière de regarder le travail dépend de la réalité sociale et des choix des personnes qui étudient celui-ci. ( ex : femmes ne travaillent pas on étudie puis on se rend compte qu’elles ont toujours travaillé à la maison champs, etc….). On a assimilé le travail au statut de salarié. * 4 grands présupposés dans l’étude du travail : - Travail est un fait social qui permet de comprendre la société - L’activité de travail a toujours une double dimension

Travail et emploi Introduction Le travail est l’activité productive des hommes. L’emploi est la tâche qui occupe le travailleur, c’est comment l’entreprise utilise le travail des hommes. La croissance dépend de la structure des emplois. 1- Organisation du travail et croissance Transformer l’organisation du travail augmente son efficacité. 1.1- Quelles ont été les transformations successives de l’organisation du travail ? Organiser le travail c’est le diviser en fonction de certains principes

entreprises. Un patron = deux ouvriers. 60% (coton, laine, soie) dans le textile sous Second empire , 20% dans mines. 1/3 des femmes dans pop active en 1856. Main d’œuvre enfantine dés 8 ans. 20% dans les mines de Carmaux. Travailleurs étranger (Belges, Italiens). Absence de Take off. Classe ouvrière reste donc marginale. 2. Une problème de nomenclature Statistiques peu fiables. Populations moins figés dans une seule activité professionnelle. II. Un monde ouvrier aux multiples visages 1. Les prolétaires

l'histoire est une perpétuelle lutte entre l'ordre et le désordre. Le travail est-il libérateur ou liberticide ? Comment Nietzsche parvient-il à trouver un lien entre la "glorification du travail" et le "culte de la sécurité" ? Le philosophe allemand qualifie le travail de liberticide, de facteur d'oppression. Il constate en effet, en analysant sa société, l'éternel retour de la problématique de l'ordre et du désordre. Et de ce constat, l'auteur explique l'aliénation des hommes par le travail, dans un

représente bien plus qu’un changement de comportement des chaînes de travail. Ce passage se fait par différentes césures d’une époque à l’autre et ne peux s’expliqué qu’en tenant compte d’un ensemble de critères, caractéristique du monde capitaliste, et non pas de quelques éléments pris séparément. Joseph Schumpeter nous fait remarqué que les révolutions industrielles surviennent toujours par grappes. Il insiste également sur le fait que depuis la première révolution industrielle ou du moins depuis

entraîne-t-elle un affaiblissement de la classe ouvrière ? Plan : II. La perte du collectif ouvrier II.1 La naissance de la concurrence Présence de tensions entre OP et OS. II.2 Aucun espoir d’ascension professionnelle mais « la peur d’être plus mal » Précarité du travail, insécurité de l’emploi, peur de perdre son poste et/ou d’être relégué dans un poste inférieur. II.3 L’individualisme en remplacement de la solidarité ouvrière et la fin d’une classe Retour sur la condition ouvrière. Enquête

verticale du travail. 2. Second principe: la division horizontale des tâches. 3. Troisième principe: salaire au rendement et contrôle des temps. 4. La coordination du travail au moyen de la hiérarchie fonctionnelle. II. Le taylorisme: une doctrine sociale. III. Le taylorisme: un âge du capitalisme, celui de l’OS. A. L’impact marginal du taylorisme avant 1914. B. 1914/1945: la révolution taylorienne inachevée. C. 1945/73 : l’âge d’or de l’OS en France. 1. Taylorisation généralisée et fordisme. 2. L’âge

Dissertation - Après avoir rappelé la différence entre les notions de catégories et de classes sociales, vous vous interrogerez sur l’existence d’une classe moyenne en France aujourd’hui. Il existe de nombreux moyens de regrouper des ensembles d’individus en unités collectives, selon l’approche et les caractéristiques que l’on souhaite traiter. Parmi eux, on retrouve notamment les catégories sociales, ou encore les classes sociales. On peut alors s’interroger sur les différences qui existent entre ces groupes

entre la conception du travail effectuée par les “cols blancs” et son exécution par les “cols bleus”, c’est-à-dire les “OS”, Ouvriers non qualifiés Spécialisés dans une seule tâche ; ? une division horizontale résultant de la parcellisation des tâches, c’est-à-dire de la division du travail en plusieurs tâches bien délimitées, chacune attribuée à un travailleur précis. ? une rémunération basée sur les pièces produites : le salaire aux pièces, assorti de primes en cas de dépassement des cadences