Travestissement

l’aiment chaud insiste plus sur le côté brulant du film et non sur le Hot jazz. Une ambigüité sexuelle Tout le film de Billy Wilder est basé sur des ambigüités. Notamment une ambigüité sexuelle que l’on retrouve dans le film même si le travestissement des deux personnages principaux est abordés de manière humoristique la plupart du temps. Grace notamment aux costumes, le réalisateur peu aborder le sujet de l’homosexualité. En effet, lors de certains passage on peut voir les deux personnages

Marceline devient à la toute fin "Marcel" sans aucune raison) et l'intrigue (La profession de Gabriel est en effet de se travestir le soir dans un Club pour exécuter un numéro de cabaret). - déguisements / travestissement des personnages (Pedro surplus / Marceline) Ce même travestissement est présent chez d'autres personnages qui perdent ainsi leur identité au fil du roman. Le personnage de Pedro Surplus incarne en effet 3 personnages différents qui apparaissent et disparaissent au cours de l'aventure

ANALYSE LINEAIRE: MARIVAUX - LES FAUSSES CONFIDENCESANALYSE LINEAIRE: MARIVAUX - LES FAUSSES CONFIDENCES Mouvement 1 : Araminte maîtresse du jeu L1 didascalie ‘Araminte poursuit’ : non response de Dorante = mauvaise volonté, déstabilise, perdu, confus L1 didascalie ‘poursuit’ : verbe action au participe présent = entreprenante, exerce autorité, maîtresse de situation L1 'Êtes vous prêt à écrire ?’ : interrogation = Araminte se place dès le début comme l'instigatrice en questionnant Dorante L2 ‘Madame

fantasme : "l'immigré-délinquant-par-nature", le "pêcheur-débauché", la "putain" ou la "femme-inférieure-soumise" sont, à leur insu, comme le diront plus tard Nietzsche et Freud, des traductions et des travestissements des désirs, des "fantasmes", des manifestations de l'inconscient, des travestissements ou symptômes des instincts du faible et des mécanismes de défense du névrosé." Eric Blondel - La morale "La révolution féminine doit maintenant compléter la révolution prolétaire, comme celle-ci

mariage contrarié, mais ici obstacle = peur de Silvia (cf. juste avant le passage « cela m'inquiète »). Situation femme au XVIII = toujours « mineure » (sous la coupe du père, puis du mari). – Crainte du mariage permettra de justifier le travestissement futur de Silvia/Lisette (fonction dramatique). – Deux conceptions du mariage s'affrontent : – Lisette privilégie l'apparence physique (« bien fait, aimable, de bonne mine » l.3, « il a raison d'être beau » l.24) et Silvia les qualités

Introduction Le théâtre de Marivaux est caractérisé par le goût du travestissement, utilisé en général dans des intrigues amoureuses. Dans L'Ile des Esclaves au contraire, ce thème est exploité de façon originale, puisqu'associé à une réflexion plutôt politique: l'échange maîtres / valets sur l'ordre de Trivelin a pour but le fait que les maîtres changent de comportements envers les gens. Dans cet extrait, Trivelin s'est retiré pour un moment, les valets prennent le rôle des maîtres dans une parodie

masculins et féminins : la beauté de l’hermaphrodite. Le travestissement : Le thème du travestissement est central dans le roman. Madeleine de Maupin se travestit pour devenir le beau cavalier Théodore de Sérannes. Ninon est déguisée en Isnabel, le page de Théodore. Mais le thème est aussi important dans le chapitre XI où les protagonistes sont déguisés pour incarner les personnages de la pièce shakespearienne Comme il vous plaira. Le travestissement permet de révéler des vérités : Madeleine découvre les

l’élément de séparation étant l’aveu que fait Arlequin à Lisette comme quoi il n’est pas celui qu’il prétend être. La première partie laisse place à un énorme quiproquo entre Arlequin et Lisette. Effectivement le spectateur est au courant du travestissement qu’il y a entre les 2 personnages Lisette ayant pris le rôle Silvia et Arlequin celui de Dorante tandis que nous sommes complice de cette farce les personnages sur scène ne sont pas au courant se qui entraîne un effet comique à la pièce.

référence à la pureté et l’innocence. Ruy Blas est une pièce construite sur le travestissement et le jeu des doubles. Dans la mise en scène, nous avons choisi de montrer tous les ministres dans le même costume afin de développer encore un peu plus l'importance de cet habit et de ceux qu'il incarne. Les masques qu'ils portent les rendent anonymes. Les costumes ont été créés en fonction de cet enjeu majeur du double et du travestissement. A la fin de la pièce, Ruy Blas meurt en quittant son costume et par là

monsieur » au bagne. FANTASME ET IMAGINAIRE : Pour échapper à leur quotidien, les deux sœurs s'amusent à se "déguiser" en Madame à tour de rôle afin d'une part de rejouer leur relation ancillaire et d'autre part pour s'échapper de leur identité. Le travestissement en Madame leur permet de fuir le sort de domestique mais aussi leur ressemblance : "Je n'en peux plus de notre ressemblance" dira Solange. Cette" cérémonie" ritualisée met en abyme leur relation avec Madame et invite le spectateur à explorer leur