Trois Champs Lexicaux

littéraire. Analyse : I) Expression d'un paradoxe révélateur Premier paragraphe : idées de vie et de mort qui s'affrontent à travers le champ lexical : "chance", "déporté". Il y a également le champ lexical de la terreur : "déporté", "Auschwitz", "pénurie", "prisonniers", éliminer", "exécution arbitraire". Dès l'ouverture du texte, deux champs lexicaux opposés : d'un côté la terreur, de l'autre la vie : "vie", "croissante", "allongent", "améliorant". C'est une phrase longue, un peu à l'image

joie à cette soirée. On peut aussi remarquer la présence d'un champ lexical du bonheur des lignes 1 à 15, « gaïté » l.2, « agréables » l.3, « joie » l.4, « amusait » l.10 ou bien encore « plaisanterie » l.15 qui montre aussi bien que le début de la soirée se passe dans une atmosphère agréables et joyeuse. Dans la fin de l'extrait, des lignes 80 à 84, que l'on peut appeler « une situation finale morbide ». On retrouve le champ lexical de la mort, « cadavres » l.80, « carreau » l.80, « tordus » l

LES GRANDS PROCEDES DE CET INCIPIT : - Un passage descriptif.  - Verbes d'action, scène en mouvement, vivante - Imparfait « semblait, faisait »= lenteur de la scène - Une nature omniprésente grâce au champ lexical de la nature « rocaille, champs, olivier; terre (trois fois) ».  -Le champ lexical de la chaleur et du soleil est également très présent dans tout l'extrait : « soleil, août, brûlé, chaleur ». La scène se passe donc dans un milieu naturel dominant - La focalisation est externe et progressive

l'intrigue. Tout d'abord au centre nous avons M.Roland, le personnage principale, celui autour du quel les autres se fixent avec un lien familial. C'est un homme passionné de pêche on peut le prouver avec le champ lexical de la pêche, il est colérique on peut le montrer avec le champs lexical de la colère, il est misogyne on peut le démontrer avec les paroles rapportés ainsi que bourgeois on peut le voir avec les figures de rhétoriques. Les femmes, elles sont plutôt à l'écart , à l'arrière , elles

se trouve dans le poème « Cage d’oiseau » dans Poésies complètes d’Hector de Saint-Denys Garneau. Nous nous intéressons à ce thème en analysant le symbolisme de la métaphore le long du poème, les champs lexicaux de l’enfermement et du malheur et le point de vue du poète. En regardant en détail ces trois aspects qui se trouvent dans le poème, on va conclure que ce poème est une réflexion de la souffrance interne du poète. Ce poème-ci se compose d'une grande métaphore, au premier vers du premier

l'auteur s'adresse directement à la jeunesse. C'est un discours on pourrait presque entendre la voix de zola. La répétition exprime ici le désespoir: elle attire l'auditoire, le choque pour réveiller la jeunesse. La répétition «  jeunesse » revient trois fois comme une exhortation ( = chercher à forcer l'action ). cette structure de texte revient comme un refrain. L'emploi de l’impératif avec : » souviens-toi » fait référence au passé, à l'héritage légué par les anciens à la jeunesse pour que celle

vos noms sont difficiles » rappelle l’origine étrangère des résistants, indiquée sur l’affiche. -Le rappel des évènements avec une indication de temps « onze ans » (v.3), « fin février » (v.17), le champs lexical de la guerre « armes » (v.4), « couvre-feu » (v.13) et « fusils » (v.31), le champ lexical de la mort «  agonisants » (v.2), « mort » (v.5) et « tache de sang » (v.8). L’auteur a voulu remettre en contexte des évènements. - L’échec de la tentative de manipulation des nazis « MORT POUR LA

 Ce corpus est composé de trois poèmes datant du XIX et XXème siècle. Ils parlent tout les trois de liberté du peuple plus ou moins explicitement. Les trois poètes veulent faire passer un message au peuple à travers ces poèmes engagés. Nous verrons donc les places qu’occupent les poètes dans leur propre société. Dans un premier temps nous verrons que les poètes veulent dénoncer plusieurs choses appartenant a leur société. Tout d’abord, nous pouvons voir que les poètes

l’opposition entre l’aspect insipide du lieu réel et le désir d'évasion du poète. Ce poème, dans un premier temps, relate la monotonie du quotidien du poète. Son sentiment de lassitude est projeté sur la nature comme l’atteste le champ lexical d’une nature triste et morne (« le grand bois jaunissant » (v. 4), « l’automne décline » (v. 5), « le soleil est la pluie ont rouillé la forêt » (v. 6), « déchire ce brouillard » (v. 12)). Ses émotions sont aussi projetées sur le climat qui, lui

une impression d’enfermement dans lequel se trouve Rodrigue. Dans ce texte on peut aussi relever le champ lexical de l’honneur : « noble » vers 22, « gloire » vers 23, « indigne » vers 24 et honneur répété trois fois vers 12, 44 et 49 montres bien que l’honneur de son père et le sien compte beaucoup. Cependant l’amour de Rodrigue pour Chimène est très fort. On le voit grâce au champ lexical de l’amour extrêmement développé : « amour » vers 12, « aimable » vers 22, « amoureuse » vers 26 et « bonheur »