Trois Champs Lexicaux

bourgeoise”, « bourgeoise est utilisée péjorativement. Thérèse, en se décrivant, confesse qu’elle joue un rôle aux côtés de sa famille Elle est contrainte d’imiter sa tante et son mari, bien que sa vraie nature existe toujours. Le champ lexical de la violence “mordais”, “battais”, “traitais”, “déchiré” connote toute la colère de Thérèse. “Brute docile” souligne la contradiction entre sa nature et le milieu où Thérèse a grandi. On retrouve les reproches de Thérèse vis-à-vis des Raquin

décrivant ironiquement la mise en place de la bataille est évidente. Et voyons maintenant comment il va traiter la "boucherie héroïque" Tout d'abord on constate la présence du champ lexical de la mort avec les termes : "mourir", "éventré","bruler" et "couper" est si on prend appui sur les termes de ce champ lexical la mort est décrite comme violente et est un acte de barbarie. On constate une insistance sur l'horreur de la guerre. Les mots sont également détournés de leur propre sens : le terme

qu’est la mort vient de l’intérieur. Puis pour Émile Nelligan, la mort vient de l’extérieur. Nous pouvons remarquer des mots tels que « vols funèbres » (v.2), « montagnes » (v.3), « clair de lune » (v.4), « des tombeaux » (v.5). On peut voir un champ lexical de paysage dans la nature où les corbeaux font leur vol. On peut voir que les oiseaux se promènent à l’extérieur, donc la vision de la mort diffère de celle de Garneau. Dans ce poème l’entité envahissante qui représente la mort c’est-à-dire les

imposent ds cette scène l'image de la mort : le linge blanc évoque un linceul, les persiennes tjs fermées renvoient l'image de ces pièces que l'on ferme après un décès, symboliquement la pendule (le tps) et les candélabres (la vie) sont cachés + un champ lexical (" moisi ", " glacé ", " humide ") du froid donne à cette pièce l'aspect d'un tombeau. Au paragraphe 2, la sonnette qui tinte peut évoquer une cloche. - Remarque : dans cette atmosphère sépulcrale, les visiteurs sont nettement différenciés des

naturaliste d￩crit la ruelle et la boutique de Th￩r￨se tr￨s pr￩cis￩ment. Premi￨rement il d￩taille le lieu, le passage du pont-neuf pour ensuite se focaliser sur la boutique. A la lecture de la description, gr￢ce ￠ la pr￩cision math￩matique et aux champs lexicaux de la salet￩ et de l'urbanisme employ￩s, " jaun￢tre ", " suante ", " humidit￩ ￢cre ", " noir de crasse " ; " rue ", " passage " " corridor ", " large ", " vitrage ", une atmosph￨re morbide s'impose ￠ nous. Le passage du pont-neuf est d￩crit comme

II- La nature 1) Une nature omniprésente 2) Une nature immuable 3) Une nature ayant 2 visages 1) La nature est un des grands thèmes du romantisme. Dans ce poème, on retrouve très souvent le champs lexical de la nature: «  Soleil, eaux, nuées… » La nature est omniprésente car on voit les 3 constituant d’une planète  : la terre  « forets », l’eau « mers » et l’air « les nuées ». Le poème commence par « le soleil » ce qui nous montre la grandeur ainsi que la présence de la nature

français filer (au sens de poursuivre une œuvre, un processus) est une figure de style constituée d'une suite de métaphores sur le même thème. La première métaphore en engendre d'autres, construites à partir du même comparant, et développant un champ lexical dans la suite du texte. Bien que distincte, on rapproche la métaphore filée de l’allégorie. Sommaire 1 Exemples 2 Définition 2.1 Définition linguistique 2.2 Définition stylistique 2.3 Genres concernés

-présence de l’imparfait /le point de vue adopté est externe /termes péjoratifs c’est un texte polémique qui cherche faire réagir le lecteur/ texte en vers/ il n’y a pas de dialogue dans ce passage mais seulement de la description B :le lexique Le champ lexical de pauvreté (objets et tissus anciens), de la saleté/ on y retrouve le vocabulaire des différents sens/ emploi de nombreux indicateurs spatiaux temporels/ C : les phrases Phrases longues et majoritairement déclaratives, en général ce sont des

beaux souvenirs, parce que c’est une période de découverte et de légèreté. C’est dans cette optique que le locuteur parle de son enfance et de celle de sa fille pour montrer l’amour qu’il a pour son enfant. Ce sujet est surtout reflété dans le champ lexical du poème. Des mots représentatifs de l’enfance tels que « tes petits doigts », « rires des enfants », « mino », « mistral gagnant » et « caramel à un franc » sont employés. Renaud a réussi à refléter l’amour d’un père pour sa fille dans ses propos

metamorphose qui accentu l'effet surnturel et qui est etabli par la mise en place d'une atmosphere angoissante c) la peur, l'angoisse ressenti par le lecteur face a la situation d'epouvante ou se trouve Alvare Nous avons ici la presence tres marqué du champ lexical de l'epouvante et de l'angoisse (hyperbole et gradation a analyser. On a aussi un melange de registre lyrique (expression des sentiments et usage du "je") et pathetique ( expression de la soufrance, peur) qui provoque la pitié du lecteur , le lecteur