Trois Champs Lexicaux

consciente de l'origine de cette épouvante : elle subit là le poids de son hérédité. 1c) L'emprise de la machine: Mes Bottes incarne parfaitement la soumission à cet objet qu'il admire et qu'il affectionne .Dans le passage qui le concerne , le champ lexical dominant est celui de l'évasion , d'un univers contraignant pas dérangé...ce roussin , du bien-être gosier frais...encore chaud; quant à la reprise de l'adverbe toujours,elle inscrit cette soumission dans la durée, l'éternité rêvée. 2b) le procédé

personajes ont une complicité extreme. Le lexique pathétique révele aussi les sentiments des personajes : « tendresse » « baisers ardents » « chaleur de mes soupirs » « chére maîtresse » « tendres consolations de l’amour ». Le passage est semmé d’un champ lexical qui exprime les passions des personajes. D’autre part Manon a été presentée dans tout le roman comme une jeune fille perdue, avaricieuse, prête a tout pour se couvrir de richesses et qui entraîne avec elle aux enfers DesGrieux mais ce dernier

I – La fuite du temp - Champ lexical du temps (spécialement dans le 1er quatrain) - Utilisation du présent dans tout le poème = le temps est omniprésent (thème principal) - Titre faisant référence à la journée qui se termine, au temps qui passe. Dans le texte, on trouve également : « le soleil s’est couché ce soir ». - « soirs, nuits, aubes, jours » = temps envisagé dans sa suite comme l’indique le mouvement du premier quatrain = énumération des différents moments de la journée avec les articulations

artistique (...) les splendeurs des Vénitiens, la vie grasse et belle des lumieres de Hollandais (...) . ++ enumeration renforcement vaste = submerge De plus il utilise un vocabulaire mélioratif pour décrire les oeuvres, nous pouvons en relever le champ lexical “ fine, splendeurs, grasse, belle ” Nous pouvons voir à travers ces différents procédés l'admiration que Zola porte à l'art. Par ailleurs avec les mots la propreté nue et recueillie des salles l'auteur compare indirectement le musée à un temple

Citer le souhait du personnage qui est insensé et expliquer pourquoi il est réalisé. Je dois citer le souhait du personnage qui est décris dans le texte. (Champs lexical insensé) et expliquer comment a-t-il fait pour le réaliser. 2) Quelle personnalité a le personnage. Montrer en quoi l’auteur insiste sur celle-ci en relevant le chant lexical associé à sa personnalité. 3) En m’appuyant du point de vue et du lexique utilisés, et en m’aidant du premier paragraphe, comment l’auteur si prend t-il

torrent allitération en"r" et "c" v1 qui traduit la brutalité des "trombes d'eau" (harmonie imitative) + répétition de "grand", champ lexical de la peur "horreur" (allégorie), "trembler", "menacante", "tout" + "nul voyageur" = caractère d'universalité, tt le monde en a peur... 2) Tranquilité de la Rivière image du "sommeil", accumulation de termes mélioratifs (champ lexical de la tranquillité), image de facilité à la traverser ("fort facile" , "pur et net")... II ) Une apparence trompeuse qui permet

Ces sermons sont codifiés. Ils s’adressent à la Cour et au roi. I) Les calamités qui s’abattent sur les pauvres - champ lexical de la misère - évocation des misérables (images fortes avec des accumulations et des questions oratoires) - abondance de phrases exclamatives, interrogatives - accumulation, hyperboles II) Le luxe chez les riches 2.1. Champ lexical du luxe - évocation des péchés continuels (allusion aux plaisirs des sens - le luxe est omniprésent(relation étroite

son intégralité : Une critique de la société parisienne Plan I Un récit anecdotique 1. Un Persan selon les apparences 2. Transition 3. Un vrai Persan II Le jeu de l’apparence et de la réalité 1. Double aspect mis en valeur par le champ lexical de la vue 2. Mise en évidence de l’apparence 3. Mise en évidence de la réalité III L’enseignement de la lettre 1. La Critique des Parisiens 2. La Critique d’un comportement peu réfléchi 3. Réflexions philosophique et sociologique

cette nuit, gardez belle nature au moins le souvenir! » (v. 50-51-52)  Ordre de l’aimée à la nature d’immortaliser le souvenir d’un moment de bonheur. C.A. : La nature a la capacité de déjouer le temps. B. La nature est omniprésente. 1. Champ lexical de la nature a) « rivages » (v. 1), « flots » (v. 6), « roches » (v. 9), « vent » (v. 11), « écume » (v. 11), « onde » (v. 14), « grottes » (v. 49), « forêt » (v. 49), « lac » (v. 49), « roseau » (v. 61)  Confirme l’importance de la nature.

retrouvé anéanti par « l’amour » que porte George à sa fille. George Duroy était également un homme sensuel, on l’avait remarqué lors du deuxième extrait étudié avec sa double comparaison entre la femme et la nourriture, et avec son utilisation du champ lexical du plaisir. On le retrouve à la fin lorsqu’il repense à sa maitresse, il repense aux « baisers qu’il lui avait donnés, qu’elle lui avait rendus », « au gout de ses lèvres », et à celle-ci se rajustant en face de la glace ses petits cheveux de ses