Tumeur bénigne

cyanose des extrémités. Acroérythrose : coloration rouge des extrémités. Acromégalie : hypertrophie des extrémités souvent en rapport avec une tumeur hypophysaire. Acropathie : affection d'une extrémité. Addition : type de mutation dans laquelle un ou plusieurs nucléotides s'ajoutent à l'ADN. Adénite : inflammation d'un ganglion lymphatique. Adénome : tumeur bénigne d'un tissu glandulaire. Adénomégalie : augmentation de volume de ganglions lymphatiques. Adénopathie : affection ou lésion des ganglions.

PREMIER LIEU LA LOMBALGIE SYMPTOMATIQUE  Arguments en faveur :  Dl lombaire persistante, progressivement croissante, nocturne = horaire inflammatoire, AEG, fièvre et VS élevé  Lombalgie aigue horaire inflammatoire  TV sur ostéopathie bénigne (VS N, Mur post intact) par ostéoporose, ostéomalacie, hyperparathyroïdie primaire  TV sur ostéopathie maligne (VS élevée,hypercalcémie,AEG,lésion du mur postérieur) : méta, MMO  Spondylodicite infectieuse  Fissuration anévrysme Ao, Dissection

inférieurs. Paralysie membres inférieurs. Troubles génitosphinctériens avec anesthésie périanale Il faut distinguer les compressions lentes et aigues Examens IRM et/ou TDM du rachis Etiologies et traitements LESIONS OSSEUSES DU RACHIS Tumeurs vertébrales : primitives ou métastases. Primitives : rares, se voient surtout chez l’enfant (exemple : osteosarcome). Métastases : compression de la moelle par effondrement du corps vertébral Ttt chirurgical : stabilisation du rachis avec reconstruction

un tissus unistratifié (une seule couche de cellules). Chaque type de virus n’a pas le même pouvoir cancérigène c’est-à-dire que chacun a plus ou moins de chance d’évoluer en dyplasie (lésion précancéreuse). Le plus souvent, ces infections restent bénignes, verruqueuses et ne se développent pas en lésions précancéreuses, ce sont des condylomes*, d’autres peuvent provoquer des lésions précancéreuses puis ultérieurement cancéreuses (oncogènes). Les types d’HPV les plus nocifs sont les HPV de type 16

Néphroblastome ou Tumeur de Wilms (144c) Professeur Dominique PLANTAZ Janvier 2004 (Mise à jour mai 2005) Pré-Requis : • Embryogenèse du rein • Epidémiologie de cancers de l’enfant • Tumeurs de blastème embryonnaire Résumé : Le néphroblastome est la tumeur maligne du rein la plus fréquente chez l’enfant. Il s’agit d’une tumeur embryonnaire qui touche le plus souvent l’enfant de moins de 6 ans. Il peut se révéler de manière fortuite par la découverte d’une masse abdominale, ou par les signes

Laetitia Kouoto Sommaire Introduction ………………………………………………………………….Page 3 I. Acteurs de l’immunité et de l’activité tumorale ……………………… Page 3-4 1) Définition de tumeur et cancer 2) Comment agir : Acteurs de l’immunité 3) Pourquoi on n’a pas de réponse immunitaire ? II. Les traitements : immunothérapies ……………………………………..Page 4-6 1) L’immunothérapie passive 2) L’immunothérapie active III. Avantages

Généralités sur le cancer et la carcinogénèse Définition  Terme générique qui désigne plus d’une centaine de maladies différentes,  Synonyme : tumeur maligne, néoplasie, néoplasme.  La cancérisation résulte d’altérations génétiques qui conduisent à la prolifération incontrôlée, anarchique et autonome des cellules,  Ces modifications du génome vont leur conférer des propriétés que n’ont pas les cellules normales:    Envahissement du tissus avoisinant, Migration à distance pour former

kyste rénal (tumeurs bénignes). Examen complémentaire : échographie pour voir le kyste (anéchogène, arrondi avec renflement post). Image 19 : Scanner avec injection centré sur les reins. Clinique : asymptomatique Au n° du rein droit : formation importante, arrondie, hypo dense, bien limitée, homogène. Diagnostic : kyste du rein droit (toujours image limitée, arrondie, homogène) Image 20 : Scanner sans injection Urographie intra veineuse localisée sur le rein gauche, tumeurs malignes. Le pôle

 sur notre coupe non    Si type diffus : cellules en bagues à chaton = cellules avec vacuole contenant de la mucine et  noyau en périphérie    3. Rappel théorique    Tumeurs bénignes de l’estomac  - carcinome gastrique (90‐95%)  - lymphome type MALT cellules B(5%)  - GIST  - Tumeur carcinoïde  - Métastases originaires de CA sein    Tumeurs bénignes de l’estomac  - adénome (risque de transformation maligne)  - polype    Carcinome gastrique  2 sous‐types :   Intestinal : adénocarcinome bien différencié (structures glandulaires) 

Sigmoïdectomie Ablation chirurgicale du sigmoïde (dernière partie du côlon). Une sigmoïdectomie est indiquée en cas de sigmoïdite (inflammation du sigmoïde) à répétition, de volvulus (variété d'occlusion intestinale) ou de tumeur bénigne ou maligne du sigmoïde. DÉROULEMENT L'opération se déroule sous anesthésie générale, par incision de la paroi abdominale ou, dans certains cas, par cœlioscopie (à l'aide d'un tube muni d'un système optique et d'instruments chirurgicaux, introduit à travers la paroi