Tupinamba

Jean de Léry va partager quelques mois la vie des Indiens Tupinambas. À son retour en France, il publie en 1578, l’Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, dans lequel il décrit plusieurs aspects de la vie des Indiens. Nous allons donc voir ci- dessous, comment Jean de Léry rend-il compte dans cet extrait

d’Amérique du Sud et surtout, de compter parmi les grands pays exportateurs, et donc puissants économiquement. Sources : Textuelles : http://fr.wikipedia.org/wiki/Brésil#Colonisation_portugaise http://www.universalis.fr/encyclopedie/tupinamba/ http://fr.wikipedia.org/wiki/Pedro_Álvares_Cabral http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_III_(roi_de_Portugal) http://fr.wikipedia.org/wiki/Capitainerie_(Brésil) http://fr.wikipedia.org/wiki/Br%C3%A9sil#Colonisation_portugaise http://fr.wikipedia.org/wiki/Bourse_des_valeurs

d’un an dans la France Antarctique, dans la Baie de Guanabara. Il dépeint la vie des indiens qui habitaient cette région du monde. Jean de Léry nous informe de leurs lieu de vie «Les sauvages de l’Amérique habitant en la terre du Brésil nommés Tupinambas » (L.2) . Il singularise, il part du général pour aller au particulier. On a ici un récit directement issu de la source, de la main de celui qui a le premier recueilli, car il y a vécu « J'ai démeuré et fréquenté pendant env.1an » (l.3). Ce texte

Les Essais, est un ouvrage de Michel Eyquem de Montaigne, écrivain humaniste né en 1533 et décédé en 1592. Il aborde toute une variété de sujets et nous fait part de ses réflexions sur sa vie et sur la condition de l’homme d’un point de vue philosophique.Les Essais constitue son oeuvre principale divisée en 3 livres, les deux premiers parus en 1580 et le dernier en 1595 à titre posthume dans l’édition de Bordeaux. L’extrait que nous allons étudier est situé dans le premier livre ‘’des Cannibales’’

être exterminé par les Tupinambas. C'est une sorte de dissolution de l'identité, préfigurative de la mort. Les premières images du film nous donnent une vision de la rencontre des blancs et des indiens en insistant sur le contexte de guerre entre groupes indiens différents- Les Tupinimquins (amis des portuguais) contre les tupinambas (amis des français). Après une série d'affrontement, le français d'abord surpris par les Tupinimquins est capturé et emmené par les tupinambas qui le prennent pour un

raisonnement  C’est donc un paradoxe. L’ideé reçue est ici « L’Homme améliore la nature » : elle repose sur un constat initial. Pour Montaigne la nature est bonne et c’est un « doux guide ». Pour lui, toute action humaine est une perversion dela nature. Tupinambas sont naturels  ils sont bons. Le paradoxe vient du fait qu’il joue à rebours sur l’idée reçue en démontrant que l’action de l’homme est un détournement de la nature. c) Glorification du naturel Son enthousiasme est visible dans « vive et

l'esprit critique de Montaigne à travers le témoignage sur les premiers effets du colonialisme européen. En effet, à cette époque, le Portugal, l'Espagne et la France découvrent le nouveau monde et ses populations, dont les Tupinambas de la côte du Brésil. Montaigne consacre un chapitre entier à ce peuple et raconte une discussion réelle avec lui, puisqu'il a eu l'opportunité de rencontrer trois d’entre eux à Rouen, et de discuter avec eux, comme il le rapporte à la fin du chapitre ”Des

rage et du «mal ». Pacifié, il retourne finalement parmi les dieux – et la vie retrouve ses rythmes . (Éliade, Histoire des croyances et des idées religieuses 1, 156-157) 5) TUPINAMBAS (AMÉRIQUE DU SUD) (1) « Un jour, pendant une grande famine, Maire Monan, le créateur et ordonnateur du monde en personne, se métamorphosa en un enfant qui fut battu par d’autres enfants, lesquels, parfaitement affamés, étaient en quête

Certains artistes, comme Jean de Lery, brisent les stéréotypes et nous dévoilent les réelles valeurs des peuples sauvages. Dans Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, Lery brise la fausse image du Sauvage et nous montre le peuple des Tupinambas tels qu’ils sont vraiment. Dans son texte, il nous fait part de leur coutume en évoquant l’acte de la scarification, leur couleur de peau mais aussi leur nudité. Grâce à cela, Jean de Lery montre que les clichés battis par les Européens sont faux

Artisan d’origine modeste et de religion protestante, Jean de Léry participa à une expédition française au Brésil. À cette occasion, il partagea pendant quelque temps la vie des Indiens Tupinambas. Vingt ans après son retour en France, il fit paraître un récit de son voyage. ½¼ ½ Au reste, parce que nos Tupinambas sont fort ébahis de voir les Français et autres des pays lointains prendre tant de peine d’aller quérir ½ leur arabotan, c’est-à-dire bois de Brésil, il y eut une fois un vieillard