Tupinamba

Cependant Montaigne grand humaniste de la rennaissance considérait lui, que Chaque homme porte en lui la forme de l'humaine condition. Et pour cause en 1562, lorsqu'il était alors conseillé du roi, il fit la rencontre de trois indiens de la tribut des tupinambas venu à Rouen. Dans le passage qui clot le chap. 31 du livre 1 "Des Cannibales", Montaigne y décrit cette rencontre en confrontant deux mondes et deux regards. Il fait l'éloge de ces derniers, mais expose cependant une critique très sombre de leur

Écriture d'invention Il y a quelques années nous avons eu la chance de rencontrer un homme français qui portait un nom fort amusant : Jean Grosse Huître. En tant que chef des Tupinambas je pus avec d'autres hommes du village avoir une conversation avec l'étranger. Nous l'avons reçus le plus amicalement possible pour le mettre à l'aise. Le fait que ne nous parlions pas la même langue ne l'a pas empêché de parler avec nous grâce à l'aide d'un traducteur nous nous entretenions durant de longues

traversées vers des territoires inconnus. La Renaissance est une époque de voyages lointains qui permettent de découvrir des mondes très différents, d’autres civilisations et coutumes jusqu’alors inconnues (exemples : peuples amérindiens, comme les Tupinambas, premier texte de Jean de Léry ; Le Nouveau Monde découvert par Cristobal Colon, de Lope de Vega). Ces nouveaux mondes suscitent l’étonnement et la curiosité (exemples : deuxième texte de Jean de Léry : « merveilleusement étonnés ». « Le voyager

d'un voyage fait en la terre de Brésil-1578 Dans ce tableau du monde sauvage, l’auteur dépeint la nature brésilienne et les coutumes de l’ethnie « Tupinamba ». En premier lieu donc (afin que commençant par le principal je poursuive par ordre) les Sauvages de l’Amérique habitant en la terre du Brésil nommés Tupinambas, avec lesquels j’ai demeuré et fréquenté environ un an, n’étant point plus grands, plus gros, ou plus petits de stature que nous sommes en l’Europe, n’ont le corps

En premier lieu donc1 (à fin que commençant par le principal, je poursuive par ordre) les Sauvages de l’Amérique habitant en la terre du Brésil, nommés Tupinambas, avec lesquels j’ai demeuré et fréquenté familièrement environ un an, n’étant point plus grands, plus gros, ou plus petits de stature que nous sommes en l’Europe, n’ont le corps ni monstrueux ni prodigieux à notre égard : bien2 sont-ils plus forts, plus robustes et replets, plus dispos, moins sujets à maladie : et même il n’y a presque

est et dit donc : « la nature et les sauvages ne sont ni bon ni mauvais. Montaigne pense que la culture « civilisée  » ne connait pas toujours la vérité. et il compare les Tupinamba « naturel » et « pur » aux fruits sauvages qui sont menacés par le goût corrompu des Européens. Selon Montaigne, l’innocence des Tupinamba est plus pure que l’état social. Claude Levi-Strauss pense qu'Il n'y a pas de civilisation « primitive » ni de civilisation « évoluée » ; il n'y a que des réponses différentes

Européens se trompent en appelant les Amérindiens anthropophages des « barbares. » En comparant les Européens au peuple Tupinamba de Brésil dans Des Cannibales, Montaigne essaie de montrer la « barbarie » de l’action destructrice des Européens. Ses descriptions des Tupinamba soulignent pour les lecteurs la perfection de leur harmonie avec la nature. Selon Montaigne, l’innocence des Tupinamba est plus pure que l’état social. Extraits des questions sur l'Encyclopédie, Article " Homme", de Voltaire ( 1770)

pasteur genevois qui a voyager au Brésil et qui a parle avec un chef de la tribu Tupinambas, une tribu native de l´Amazonie, la où les européens cherchaient a accumuler de biens. Léry était surpris de l´incroyable sagesse que le chef Tupinamba avait, puisque le chef se demandait pourquoi les européens travaillaient pour accumuler du capital bien que de toutes manières ils allaient bientôt mourir. Donc à la fin, les tupinamba étaient plus sages que les européens car eux profitent au moins de la plénitude

nouveau, un autre monde, un monde dont on sait peu de choses. Par exemple, pour mieux connaitre ces populations, Jean De Léry, qui est considéré comme l'un des premiers ethnologue de son époque, ira partager plusieurs mois avec la tribu des Tupinambas au Brésil. En effet les Humanistes s'appuient désormais sur l'expérience et le raisonnement scientifique afin de regarder sous un autre angle le choses. L'éducation, ne passe plus forcément que par les livres, comme nous l'illustre

Européens au peuple Tupinamba de Brésil dans Des Cannibales, Montaigne essaie de montrer la « barbarie » de l’action destructrice des Européens. Ses descriptions des Tupinambasoulignent pour les lecteurs la perfection de leur harmonie avec la nature. Leur mode de vie surpasse toutes les imaginations de « l’âge d’or » et il compare ce peuple « naturel » et « pur » aux fruits sauvages qui sont menacés par le goût corrompu des Européens. Selon Montaigne, l’innocence des Tupinamba est plus pure que l’état