Typologie Textuelle

types et genres de texte, car il a été dit que "l'apprenant en tant que lecteur devrait savoir 'agir à propos' face à divers textes et 'naviguer' librement dans un espace inter-textuel" et que pour cela "il faudrait avant tout la maîtrise du genre et des types de textes en tant que règles de navigation dans l'espace textuel." Fr. Chatelain En ce qui concerne les types de texte, leur maîtrise aurait une conséquence sur le stockage des informations traitées en aidant à la compréhension et à la production

valeurs, accordé aux activités et aux savoirs par le sujet, « l’individu valorise ou dévalorise les savoirs en fonction du sens qu’il leur confère » (Bauthier, Rochex, 1998). La première partie de l’étude, à l’issue de laquelle nous avons élaboré une typologie de cinq rapports au savoir, est de nature quantitative. Ces résultats ont soulevé de nouvelles interrogations, notamment sur les relations entre le rapport au savoir et les logiques de professionnalisation. Nous avons, pour ce second temps, choisi

détournerait inutilement de notre objectif (7). Bornons-nous à remarquer la parenté des relations hypotaxiques de [3] et des exemples [10]-[12], qui explique que les énoncé en italiques puissent légiti mement être interprétés, selon les données co-textuelles (en gras), comme un compte rendu direct de perception, ou, du fait de l'absence de données contex(5) (6) L'IMP rapproche conventionnellement le PDV du DIL et le présent du discours direct libre. Une telle distinction repose sur la survalorisation

banque commerciale et de la banque d’investissement4 . Cependant deux formulations sortent de ce 3 Le logiciel LEXICO a été utilisé pour le traitement des données textuelles. Les requêtes permettent d’identifier les formes textuelles associées au mot métier et leur fréquence d’apparition. 4 Deux définitions sont absentes de cette typologie : la gestion de patrimoine et le corporate banking. Ces métiers combinent des éléments de la banque 141 Éric Lamarque cadre. Les banquiers se définissent, parfois

MATIÈRES 5.3.4 La partie identifiant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.3.5 La partie processus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.3.6 La partie ressource . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.3.7 Typologie des services " méthode " . . . . . . . . . . . . . . . . . Les règles de spécification des services " méthode " . . . . . . . . . . . . Illustrations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.5.1 Exemple de service " méthode

tout texte est lacunaire, aucun ne peut fonctionner sans une part importante d'implicite, de non-dit. La compréhension de l'implicite est, de ce fait, déterminée par la capacité des élèves à inférer, c'est-à-dire à mettre en relation des éléments textuels pour élaborer et construire du sens. Mais qu'est-ce qu'une inférence ? Quels peuvent être les différents types d'inférences ? De nombreux travaux ont été conduits sur ce sujet. Le problème est assez complexe, dans la mesure où les dimensions qui

l’énonciation chaque fois que quelqu’un parle. Cette définition de Benveniste semble entretenir un lien avec celle que Jean-Michel Adam (1989) énonce de la manière suivante : “(…) un discours est un énoncé caractérisable certes par des propriétés textuelles mais surtout comme un acte de discours accompli dans une situation (participants, institutions, lieu, temps)”. 2. Discours et texte Si dans un passé récent, le terme de discours ne référait qu’à une production orale, de nos jours, celuici recouvre

chronologiques) de la langue principale1 ». Tandis que les notions de « bilinguisme » et de « diglossie » sont liées respectivement au répertoire de l’individu et au contexte sociolinguistique, « hétérolinguisme » désigne donc un phénomène strictement textuel. Le recours à la métaphore de la traduction est systématique dès qu’il est question d’hétérolinguisme. De nombreux écri- vains qui ont fait d’une langue seconde leur langue d’écriture affirment que leur création touche à la traduction2. Les critiques

esthétiques (et la connaissance approfondie d’œuvres représentatives) nécessaires à l’élargissement d’une culture qui porte principalement sur les champs d’expression qui utilisent les images et les sons, mais qui ne peut a priori exclure aucun domaine (textuel, visuel, sonore et musical, audiovisuel). Les différentes méthodes d’approche permettant d’appréhender les relations synchroniques et diachroniques, les rapports entre l’art, l’histoire des idées et des moyens de communication de masse, les sciences

3. La sémantique interprétative de Rastier....................................................... 14 1.3.1. L’isotopie chez Rastier............................................................................. 16 1.3.1.1. Typologie d’isotopie........................................................................... 18 1.3.1.1.1 Isotopie spécifique et générique.............................................................. 18 1.3.1.1.2.