Tzvetan Todorov

Collectif ZAHIRI de SAMARKAND ZELLAL Brahim AROM Simha BENVENISTE Emile CALVET Jean-Louis CNRS HAGEGE Claude HAGEGE Claude KRISTEVA Julia MARTINET André MEILLET A.; COHEN M. MESCHONNIC Henri ORTIGUES Edmond THOMAS J.M.C. BOUQUIAUX L. CLOAREC-HEISS F. TODOROV Tzvetan Contes berbères du Maroc t1 et t2 Contes berbères de l'Atlas de Marrakech L'ahellil du Gourara Larose Harmattan Maison des sciences de l'homme 1949 1988 1984 1991 1991 1994 1977 1996 1977 1985 1980 1970 1972 1973 1979 1979 1994 1976 1964

implanté, on ne peut bien sûr plus parler de figure de rhétorique : par exemple, un mot aussi courant que verre (au sens de récipient) a une origine métonymique, mais n'en est plus une, c'est une catachrèse. En résumant, et selon les mots de Tzvetan Todorov, la métonymie consiste à employer : « Un mot pour désigner un objet ou une propriété qui se trouve dans un rapport existentiel avec la référence habituelle de ce même mot[2]. » Cependant, alors que la métaphore opère sur des réalités ressemblantes

plus, le conte merveilleux ne contient pas beaucoup d’éléments venant de la vie réelle, on ne peut pas, à partir des contes, tirer des conclusions immédiates sur la vie.62 Un ibidem, p. 106 V. Propp, Transformations des contes merveilleux, tr. T. Todorov /dans: V. Propp, Morphologie du conte, tr. M. Derrida, Paris, Seuil, 1997, p. 176 62 ibidem, p. 182 61 60 23 autre aspect très important concerne l’interprétation ; selon Propp, l’interprétation merveilleuse est

l’exhumation des civilisations disparues, ainsi que d’autres plus franchement politiques. Naravas Fiche de lecture du livre : Edward W. Said, L’Orientalisme. L’Orient créé par l’Occident, Traduit de l’américain par Catherine Malamoud, Préface de Tzvetan Todorov. Paris, Editions du Seuil, 1980. Première édition : Orientalism, Vintage Books, New York, 1978. Source de la fiche : http://elkorg-projects.blogspot.com/2007/01/edward-w-said-lorientalisme-notede.html Introduction I. Thèse: « L’Orient a presque

2005 * Europe des cultures et cultures européennes de Julia Kristeva, Hachette, 2008. * L’unité politique de l’Europe, histoire d’une idée de Patrice Rolland, Bruylant 2006 * La peur des barbares au-delà du choc des civilisations, Tzvetan Todorov 1ère partie : Concrètement à partir du 15ème siècle, par l’apparition d’armées permanentes, d’ad organisées se substituant à la simple Cour et aux simples serviteurs des rois. Enormément de libertés locales, de coutumes, l’Etat se sur ajoute

réelle qui les préserve contre les atteintes de la mort définitive, ils n’ont de cesse qu’ils ne se soient gaussés de cette dernière. Il semble qu’il faille appliquer tant au théâtre d’Aimé Césaire qu’à celui de Wole Soyinka cette assertion de Todorov selon laquelle « chaque œuvre écrite dans une langue pourvue de sens possède un thème ».70 De fait, chez Césaire comme chez Soyinka, la mort plurielle demeure le thème central autour duquel tout l’univers dramatique des deux auteurs gravite. Mais

feindra d'adopter ce que l'on nomme couramment la "vision" ou "le point de vue", semblant alors prendre à l'égard de l'histoire telle ou telle perspective."2. Une typologie narrative3 à trois termes revenant tour à tour chez Jean Pouillon, Tzvetan Todorov et Gérard Genette, sous des termes parfois différents, dont voici l'exposé : Les Anglos- Saxons emploient volentiers « point de vue » qu’on ne confondra plus avec le sens de « donner son opinion ». Ici il s’agit d’une technique narrative qui

une conception discriminatoire de la guerre qui fait de la « guerre juste » l’équivalent d’une croisade. Sur ce vaste sujet, cf. Carl Schmitt, Le Nomos de la Terre dans le droit des gens du « jus publicum europaeum », PUF, Paris 2000. 12. Cf. Tzvetan Todorov, « Les illusions d’une justice universelle », in Le Monde des débats, Paris, mai 2001, p. 27. Le plus révélateur est que, lorsque les grandes puissances jugent qu’elles pourraient un jour devoir se soumettre elles aussi à la loi générale, elles

• CUSIMANO Christophe, 2008, La polysémie : essai de sémantique générale. Paris : L’Harmattan, pp. 33 – 93. • DUBOIS Jean, 1994, Dictionnaire de linguistique et des sciences du langage. Paris : Larousse, 514 pages. • DUCROT Oswald, Tzvetan TODOROV, 1979, Dictionnaire encyclopédique des sciences du langage. Paris : Éditions du Seuil, 470 pages. • FRAWLEY William, 1992, Linguistic semantics. Hillsdale, NJ: Lawrence Erlbaum, 533 pages. • GREIMAS Algirdas-Julien, 1966, Sémantique

Josiane à la passerelle d’un avion en partance pour la France dans le roman monénembien, ou encore les réflexions acerbes du révérend père Weldyck dans le roman de S. Labou Tansi. L’Autre n’appartient donc pas au groupe « des autres » au sens où Tzvetan Todorov l’utilise dans son livre intitulé : Nous et les autres1; il ne se définit pas par son appartenance à un groupe culturel et social différent, il est celui qui n’est pas « Moi », celui auquel ma conscience m’oppose. 3.1.1. L’Autre familier