Ténèbres Desnos

de Michel Butor -p14 Les enfants qui s’aiment de Jacques Prévert -p14 L’amour et la folie de Jean de la Fontaine -p15 Le pont Mirabeau de Guillaume Apollinaire -p16 -le temps qui passe p17 à p24 Le lac de Lamartine -p18-19 Demain de Robert Desnos-p20 Poème de Samuel Beckett-p20 Le temps de vivre de Boris Vian-p21 J’ai bien le temps de vivre de Claude Roy-p22 Pourquoy m’as-tu vendu, jeunesse de Charles d’ORLEANS-p22 Le temps perdu de René-François Sully Prudhomme-p23 La montre de Théophile

personnification. | |8 |2h |- Ce coeur qui haïssait la guerre... |Analyser deux poèmes, leurs formes et |- Le poème en vers libres / le poème en vers | | | |et Demain... de Robert Desnos. |les images poétiques. |réguliers. | | | | | |- La métonymie, la métaphore, l’hyperbole

floue et la façon dont l’opinion publique la traite : « Que s’est-il donc passé, comment ton peuple, France, ton peuple de bon cœur et de bon sens, a-t-il pu en venir à cette férocité de la peur, à ces ténèbres de l’intolérance ? » lignes 18 à 20 ; « Songes-tu que le danger est justement dans ces ténèbres têtues de l’opinion publique ? » lignes 35 – 36 et « Et sens-tu à quel point tu serais la coupable, si l’on s’autorisait d’un tel sophisme, en haut lieu, pour étouffer la vérité ? » (Notons que les

aux astres d’or : Versez le ciel sur elle ! Et j’ai dit à vos yeux : Versez l’amour sur nous ! « Les ténèbres », Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857 Dans les caveaux d’insondable tristesse Où le Destin m’a déjà relégué ; Où jamais n’entre un rayon rose et gai ; Où, seul avec la Nuit, maussade hôtesse, Je suis comme un peintre qu’un Dieu moqueur Condamne à peindre, hélas ! sur les ténèbres ; Où, cuisinier aux appétits funèbres, Je fais bouillir et mange mon cœur. Par instants brille, et

mon bâton En chantant: digue, digue! La rivière, la colline, Les grands bois, digue, digue ! Digue, digue, les beaux yeux, Et digue, digue les livres !   André Spire, Poème de Loire, 1929 Le bonbon Dans ce poème surréaliste, Robert Desnos parle du corps humain de façon logique. Je je suis suis le le roi roi        des montagnes j’ai de de beaux bobos beaux beaux yeux yeux        il fait une chaleur chaleur j’ai nez j’ai doigt doigt doigt doigt à à        chaque main main

LES LUMIERES Ce mouvement d’idées s’exprime depuis fin XVIIème mais prend toute son ampleur avec l’entreprise de l’Encyclopédie. Les écrivains des Lumières s’engagent afin de répandre le savoir et de favoriser l’exercice de la raison, contre les ténèbres de l’ignorance et du despotisme (l’Obscurantisme). Ils refusent toute vérité imposée par l’autorité religieuse et politique. XIX LE ROMANTISME Mouvement littéraire et artistique en rupture avec les règles, le goût et le Beau classiques.

Améliorer sa méthode de travail, la syntaxe et l’orthographe. Analyser le poème. - L’allégorie. - La répétition, procédé musical. - La métonymie et la personnification. 8 2h - Ce coeur qui haïssait la guerre... et Demain... de Robert Desnos. Analyser deux poèmes, leurs formes et les images poétiques. - Le poème en vers libres / le poème en vers réguliers. - La métonymie, la métaphore, l’hyperbole. - Les champs lexicaux. 9 2h + 1h - L’Affiche rouge, chanson de Léo Ferré,

plomb d'un vieux toit. D'étranges syllabes Nous viennent encor ; Ainsi, des arabes Quand sonne le cor, Un chant sur la grève Par instants s'élève, Et l'enfant qui rêve Fait des rêves d'or. Les Djinns funèbres, Fils du trépas, Dans les ténèbres Pressent leurs pas ; Leur essaim gronde : Ainsi, profonde, Murmure une onde Qu'on ne voit pas. Ce bruit vague Qui s'endort, C'est la vague Sur le bord ; C'est la plainte, Presque éteinte, D'une sainte Pour un mort. On doute La

appuyé sur de grands seigneurs poétiques pour vous faire découvrir en quoi les mots, tournés de manières imagés, vous feront chavirer aux portes de l’olympe. I. : La Poésie Amoureuse. Mes fils de lecture, je vous connais comme les ténèbres connaissent l’enfer. Oui, je sais, infertiles que vous êtes, n’aimez que les poésies amoureuses ! Plus d’un d’entre vous ne connait que ce genre de poésie, normale de détester ou d’aimer ce genre- ci ! Alors bonhomme comme je suis, ai décidé de

d’opium »L’écriture : un délire à l’état pur Octave Mirbeau, [Un éleveur de bigorneaux] L’humour noir enrichit le fantastique Villiers de l’Isle-Adam, « Fleurs de ténèbres ».PEU DE MOTS / BEAUCOUP DE SENSQUELQUES GENRES BREFS Le poème HaÏkus - Paul Claudel, Cent phrases pour éventails Robert Desnos, Corps et biensL’aphorisme, le dicton, le proverb e Flaubert, Dictionnaire des idées reçuesChapitre 7 :