Ulcère de la jambe

Injections d’anticoagulants* : Les anticoagulants servent à éviter que le sang ne durcisse lorsqu’une personne est immobilisée. Par exemple, si une personne a une jambe cassée, les anticoagulants empêchent qu’elle perde sa jambe car si le sang ne circule pas ou s’il circule mal cette personne risque alors de perdre sa jambe. Cette piqure se fait soit sur le ventre soit sur les cuisses. Pansements* : Il y avait plusieurs pansements. Il y avait beaucoup de pansements d’ulcère (=plaie

première fois que j’ai l’opportunité dans faire. L’infirmière me montre un premier pansement d’un patient et me propose de faire le suivant qui est du même protocole. Nous arrivons devant la chambre de Mme D. l’infirmière m’explique qu’elle a un ulcère sur la jambe droite et qu’il faut lui faire un protocole avec lavage au sérum physiologique, séchage, pose de tulle gras, une compresse et on referme le pansement avec une bande. Je frappe à la porte, salut Mme D, referme la porte, je mets la présence,

| |Avoir une bonne hygiène des pieds et les examiner tous les jours. Par exemple, observer la peau entre les orteils : rechercher tout | |changement de couleur ou d’apparence (rougeurs, peau en écailles, vésicules, ulcères, durillons). Informer son médecin des | |changements notés. Le diabète peut causer de l'insensibilité dans les pieds. Tel que mentionné précédemment, de petits problèmes mal | |soignés peuvent dégénérer en graves infections.

l’hypoxie tissulaire. - des lymphatiques Elle stimule le retour lymphatique. III LES INDICATIONS DE LA CONTENTION La contention élastique fait partie du traitement de : 1) L’insuffisance veineuse chronique (de la simple lourdeur de jambe à l’ulcère veineux ) En rapprochant les parois des veines, la contention rend plus fonctionnelles les valvules incompétentes et ainsi diminue le reflux. 2)La maladie thrombo –embolique et sa prévention En cas de thrombose veineuse profonde ou

en lui demandant si elle est d’accord pour que je réalise son pansement et je lui explique ce que je vais pratiquer et cette dernière accepte en m’aidant à lever son pantalon et ses bas de contention car la plaie se situe sur sa jambe gauche. C’est une plaie, type ulcère, qui dure depuis plusieurs semaines, qui lui crée une gêne, il n’y a pas de protocole établi pour le moment pour cette dame, on évalue en fonction de l’état de la plaie. Je procède à la désinfection de mes mains avec un FHA (Friction

souvent observée chez ce type de patients. La persévération est la répétition des mêmes mots, des mêmes phrases pensées ou des mêmes actions. Elle a un érysipèle à la jambe gauche dû généralement à une bactérie de type streptocoque mais il peut aussi être liée à une infection à staphylocoque. L'érysipèle de la jambe se manifeste par une jambe chaude, rouge, augmentée de volume, douloureuse avec, parfois, un ganglion au niveau de l'aine. et une pseudo-polyarthrite rhizomélique (PPR) est un rhumatisme inflammatoire

Thymie : Pas d’émoussement affectif, pas d’idées dépressif.Communication : Répond seulement avec sollicitation, la compréhension est satisfaisante.Toilette : Aide pour le transfert fauteuil-lavabo.Etat cutanée : Psoriasis, début d’escarres sur la verge. Ulcères sur les jambes.Alimentation : Essaie de restriction calorique (pas de collation à 16h).Déplacements : Mr F, se déplace seul en fauteuil roulant, il a besoin d’aide, juste pour les transferts.Habillage : L’aider, a besoin qu’on le stimule.Elimination :

Antécédents médicaux, allergies et régime et traitements associés : -Phlébite : obstruction d’une veine, souvent membres inférieurs suite à la formation d’un caillot de sang. En 2007, depuis traitée par Diovénor et bas de contention jambe droite et bande de contention jambe gauche -Malaises, vertiges entrainants nombreuses chutes -Etat dépressif et anxieux : traitée par Deroxat et Lexomil -Pathologie vertébro-discale et pathologies osseuses : traitée par Fosamax traitement contre ostéoporose

qu’avant. Nous regardons les transmissions de notre collègue, elle a noté qu’elle a mis un antiseptique (Bétadine dermique) sur la plaie. L’infirmière qui m’explique qu’il ne faut pas mettre d‘antiseptique sur un mal perforant ou sur un ulcère de jambe. Elle explique à sa collègue ce qui lui a été transmis lors de sa formation. Elle lui répond « Moi, j’ai 20 ans de métier, toi 2 ! Je sais mieux que toi ce qu’il faut faire !! ». Questionnements  Quel est le cadre légal pour le secret

se situant dans un service de chirurgie orthopédie-traumatologie d’un centre hospitalier. Lors de ce stage, j’ai pu remarquer qu’il y avait des infirmières référentes dans la prise en charge des plaies chroniques (escarre, « pied diabétique » et ulcère veineux). Ce statut d’infirmière référente a été permis suite à une formation au sein de l’hôpital et à l’obtention de trois diplômes universitaire (DU), notamment le DU plaie et cicatrisation 2; ainsi que le DU douleur. Ces derniers lui confèrent