Ulysse Héros épique

genres, autant sinon plus que des auteurs, qui ont modélisé les productions postérieures : par exemple, la tragédie grecque, la comédie, en associant Aristophane à Plaute et Térence. On peut penser encore à un personnage devenu modèle de référence : Ulysse, par exemple, comme figure de la quête. On peut enfin penser qu’un texte qu’on lirait plus volontiers aujourd’hui en cours de philosophie ou d’histoire qu’en cours de littérature, un dialogue philosophique de Platon ou un discours de Cicéron, fait

sincèrement mais l'amour de la déesse de l'amour ne peut se comparer à aucune autre. Ainsi Aphrodite quitta l'Olympe pour regagner Chypre et rejoindre un mortel, Adonis. Elle donnera naissance à Eros (dieu de l'amour et du désir, fils d'Arès), à Enée (héros Troyen, fondateur de la culture Romaine, fils d'Anchise)... L'arbre d'Aphrodite est le myrte, et de toute les créatures animales, sa préférence allait aux colombes qui s'unissaient dès la naissance et s'aimaient jusqu'a la mort. Les fleurs qui étaient

comme le Pseudo-Apollodore [2] et Athénée [3] y voient une punition pour Laïos, qui aurait enlevé et violé Chrysippe, le fils de Pélops ; le problème est que les textes qui semblent consacrés à cette histoire ont été perdus, et qu'aucun des textes épiques, lyriques ou tragiques que nous ayons gardés en intégralité ne le dit clairement. Toujours est-il que Laïos et Jocaste ont un fils, Œdipe. De peur que l’oracle ne s’accomplisse, ils font exposer le nouveau-né sur le mont Cithéron, après lui avoir

particulier appelé burlesque ou le héroï-comique. Exemples : Scarron est aussi connu pour son Virgile travesti, drôle que pour ceux qui connaissent l’Eneide (et encore). L’octosyllabe révèle que l’on n’est plus dans le style noble, dans l’alexandrin épique, il y a aussi glose, bavardages, il brode sur un certain nombre de passages de l’Eneide. Il donne sa source tout de suite. Le style héroïque est rabaissé. Les travestissements de Georges Fourest, la négresse blonde, le dernier vers est particulièrement

Polyphème (littéralement « qui parle beaucoup »), le plus sauvage et le plus célèbre d'entre eux, est le fils de Poséidon et de la nymphe Thoosa. Il habite dans une caverne en Sicile. Ulysse, jeté en Sicile par une tempête, se réfugia avec une douzaine de compagnons dans sa caverne. Le Cyclope dévora plusieurs Grecs. Ulysse l'enivra et profitant de son profond sommeil, il lui enfonça dans son œil unique un pieu acéré. Furieux de l'acte d'Ulysse, Poséidon fera couler son navire. 2 LES TITANS Nés de

place». Il n’y a pas de récit sans histoire à raconter, mais non plus si personne pour la raconter. ex : Enéide «Je chante», représentation inscrite de celui qui prend la parole pour raconter une partie de l’histoire (voir de sa propre histoire). Ulysse raconte aussi sa propre histoire, mais personnage fictif et la description de toute la situation est présentée avant qu’il commence à raconter son histoire. La narration distingue la représentation narrative et la représentation théâtrale. Dans le

duces. (Naples garde mon corps. J'ai chanté les pâturages, les campagnes, les héros.) » — Épitaphe de Virgile • Ses œuvres : Bucoliques, Géorgiques, Enéide.. ____________________________________INTRODUCTION_____________________________________ • L’Énéide (en latin : Aeneis, mot de forme grecque, génitif : Aeneidos) est une épopée (un long poème d’envergure nationale narrant les exploits historiques ou mythiques d’un héros ou d’un peuple) de Virgile, le plus célèbre exemple de ce genre littéraire en

écrit le 1er. Il signale bien entendu d'où il tire cela. L'allusion est une relation implicite et sous-entendue avec le texte-source, qui joue elle aussi sur une relation de complicité avec le lecteur. Exemple : le roman Ulysse de l'Irlandais James Joyce, qui a pour héros un nommé Léopold Blum, de Dublin, fait de nombreuses allusions aux personnages et aux situations de L'Odyssée d'Homère. La continuation est un texte qui prétend être la suite d'un autre (écrit par un autre auteur). C'est

donne raison. Œdipe-roi : (-421 ?). Titre grec : Oedipos-tyrannos. Il se croyait un « tyrannos » (roi élu par acclamations), il était un « basileus » (fils d’un roi de droit divin). Il se croyait un époux, il était un fils. Il se croyait le héros sauveur d’une cité, il était sa honte et la cause de sa perte. Et c’est après s’être crevé les yeux qu’enfin il voit clair. 3. Euripide (-480/-406, 74 ans). Le grand classique des –4ème et –3ème siècles. On joue encore un peu Sophocle, mais

catégorie non définie (semble relever du narratif bas). Querelle Platon/Aristote porte sur le statut de la mimèsis. Platon pense que tt poème est récit (diègègsis), à côté du narratif pur il pose le récit mimétique (théâtre) et le récit mixte (poème épique). La mimèsis est la reproduction de la praxis, l’action humaine, c’est l’objet de la poésie. La mimèsis est plus une rprstation qu’une imitation, elle a un aspect dramatique. D’où la supériorité de la tragédie sur l’épopée. La mimèsis aristotélicienne