Umberto Eco

" Qui de vous n'a pas regretté cet âge où le rire est toujours sur les lèvres. "Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) -« Nous savons que nous allons vers la mort et, face à cette occurrence inéluctable, nous n'avons qu'un instrument : le rire ». Umberto Eco -« Rire c’est se réjouir d’un préjudice mais avoir bonne conscience » Nietzsche -« Celui qui ne sait pas rire ne doit pas être pris au sérieux » Philippe Sollers -« On se fait rarement rire seul parce qu’on on se surprend difficilement soi-même »

littéraire doit être lu. C’est l’effort conjugué de l’auteur et du lecteur qui fera surgir cet objet concret et imaginaire qui est l’ouvrage de l’esprit. Il n’y a pas d’art que par et pour autrui. L’objet ainsi que le sujet sont essentiels. Umberto Eco (lecteur in Fabula) parle de problèmes de la réception de l’homme. Il y a un contrat entre l’auteur et le lecteur. Sartre introduit le mot liberté : liberté de l’auteur d’écrire ce qu’il veut et liberté du lecteur d’interpréter ce qu’il lit

fait que le sport est un phénomène qui stagne du point de vu social. Cependant dans un second temps nous verrons que du côté de la codification des sports les frontières s'élargissent. Comme il est dit sur le texte, « De Saint Augustin à Umberto Eco, en passant par Blaise Pascal, une longue tradition philosophique ne nous rappelle-t-elle pas de façon insistante, que les activités ludiques ont pour fonction première de divertir de l'essentiel, non pas de l'exprimer, encore moins de le révéler 

poétique de la rêverie, introduction », écrit en 1960, c’est un texte philosophique qui définit le rêve. Le texte de Daniel Boorstin « Les découvreurs » écrit en 1986 montre le lien entre rêve et la découverte. Le document 3 est un texte d’Umberto Eco, « De superman au surhomme, Le Mythe de superman » publié en 1993, évoque le mythe de superman et l’image qu’il renvoie. Le document 4 est un texte de Line Andries « Contes du loup » de la lycanthropie, transformation et extase des sorciers », édité

les effets qu'ils provoquent. Dans son livre «Fiori la rosa», Umberto Eco parle de deux périodes distinctes depuis l'apparition de la télévision. La paléo télévision, allant du début de la télévision des années 50 jusqu'à la fin des années 70, et la néo télévision qui commence avec l'introduction de la télévision commerciale. Une autre linguiste, proche de la théorie d’Umberto Eco, est la sociologue Milly Buonanno. Contrairement à Eco, qui parle de deux périodes, Milly Buonanno divise l'histoire

hommes : celui de voyager dans les étoiles. Goethe aborde le sujet du rêve à travers son Faust. Dans son ouvrage, La Nuit, il laisse le rêve se mêler à la connaissance, comme le fait également Daniel Boorstin dans son roman Les Découvreurs. Umberto Eco, quant à lui, redéfinit le rêve comme une revanche sur une existence ingrate. C'est le point de vue qu'il défend dans son œuvre Le mythe de Superman. Tous ces auteurs ci-dessus abordent le thème du rêve, de la rêverie, d'une façon qui leur est

mercantilisation généralisée, pourvu que soient préservés le chavirement des sens, l'ivresse, l'extase, la ferveur et l'obnubilation des « on a gagné ». (*) Umberto Eco, la Guerre du faux, Paris Le Livre de Poche, "Biblio Essais", 1987, p. 242 ; (**) Elias Canetti, la Conscience des mots, le Livre de Poche, "Biblio Essais", 1989, p. 214-215 ; (***) Umberto Eco, la Guerre du faux, op. cit. p. 241. (3) Circense : jeux Document 3. Baron Pierre de Coubertin, "Les assises philosophiques de l'olympisme moderne"

croyances musulmanes, Mahomet reçut en arabe les p... Suite "En France, les gens viennent pour la musique et restent pour les textes." Alain Bashung "L'auteur devrait mourir après avoir écrit - Pour ne pas gêner le cheminement du texte." Umberto Eco "Le comédien digne de ce nom ne s'impose pas au texte. Il le sert. Et servilement." Jean Vilar "Le monotone débit des acteurs égalise le texte et le ponce pour ainsi dire." André Gide "Les bons orateurs n'improvisent bien que les textes qu'ils

les bienfaits, en particulier pour la littérature comparée. Texte 1 : Introduction de Dire presque la même chose, d’Umberto Eco. Dès les premières pages, l’auteur s’interroge sur la signification de la traduction. Il propose une réponse facile mais impossible, dont la réfutation pose les bases du défi qu’est traduire : «dire la même chose dans une autre langue.» (Eco 2006, p. 7) Tout d’abord, l’essence de cette chose est difficile à déterminer. Le propos à traduire, en effet, est composé de

le fictionnel et l’historique) par Zidane et d’une perspective presque entièrement fictive sur un fond historique par Eco constitue une variation assez capitale. Ce choix a donné au sème de la séduction plusieurs fonctions et une richesse prouvant ainsi que c’est sème valable à plusieurs utilisations. Bibliographie Œuvres littéraires Umberto Eco, Le Nom de la Rose, traduit de l’italien par Jean-Noël Schifano, éditions Grasset & Fasquelle, 1982, pour la traduction