Umberto Eco

deviendra un vrai séducteur. Mais tous les laiderons n’ont pas du génie, et sur eux pèse une malédiction. Car la laideur physique est un lourd handicap, sur le marché de l’amour comme sur le marché du travail. Dans L’Histoire de la laideur (1), Umberto Eco rapporte le destin peu enviable de ceux que la nature a défavorisés. L’histoire réserve un sort piteux à ceux qui ont eu le malheur de naître difformes, hideux, sans grâce. Dans la peinture occidentale, la laideur est associée à la souffrance, l’enfer

télévision. Les exemples pullulent: le mythe de l'éternelle jeunesse, le mythe de la performance sexuelle, le mythe de l'amour romantique, le mythe de la puissance automobile et celui de l'harmonie sociale! Les sémiologues, comme Roland Barthes et Umberto Eco, ont étudié ces mythes contemporains véhiculés par des personnages comme James Bond, la voiture de sport et les motos Harley Davidson. Chacun de ces mythes est une composition de récits, de symboles et d'émotions associés à un moi idéal. Comme Hercule

gustatives. Théoriciens : Charles S. Pierce – sémiotique – USA Ferdinand de Saussure – linguiste – sémiologie – Europe « Science qui étudie la vie des signes, à travers la vie sociale ». En communication, il faut des codes communs. Roland Barthes Umberto Eco Le rôle du sémiologue consiste à voir s’il y a des typologies de signes. Vocabulaire : Code = un ensemble de lois ou de convention qui régissent un domaine déterminé. Et les codes sont nombreux comme le code génétique ou le code gestuel.

donne à lire comme un discours nouveau sur le Nègre dans un contexte postmoderne. Pour asseoir son emprise et solliciter une audience contemporaine, Laferrière emprunte la voix de ce qui est désigné, depuis les travaux d’Umberto Eco comme la « fabulae préfabriquée » (U. Eco, 134.), un enchaînement narratif stéréotypé, à savoir celui du récit d’un immigré. En effet, le texte de Laferrière se présente au premier abord comme une narration sur la vie d’immigrés nègres en Occident. L’évocation stéréotypée

intégralité et l’information qui pourrait en être dégagée. 18 Umberto Eco, Lector in Fabula. (Paris : Grasset, 1985, p. 65). Types de liage dans le roman La fiera… 47 Références bibliographiques Adam, Jean-Michel (2005). La linguistique textuelle. Introduction à l’analyse textuelle des discours. Paris : Armand Colin. Blanzani, Jean (1954). « Les romans de la semaine : ”La fiera” de Marie Susini ». Le Figaro littéraire. (11 décembre). Eco, Umberto (1985). Lector in Fabula. Paris : Grasset. Gunnarsson,

Le Point, n° 1156, 12 novembre 1994. Document 2 : Pierre Lévy et Jean-Pierre Balpe, supplément Le Monde, 20 novembre 1997. Propos recueillis par Michel Alberganti. Document 3 : Dominique Monet, Le Multimédia, Flammarion, 1997. Document 4 : Umberto Eco, « Comment ne pas utiliser le téléphone portable » in Comment voyager avec un saumon, Grasset, 1997.   Document 1 - Faut-il craindre le monde virtuel ? |   Avec les images de synthèse, véritables êtres de raison, entièrement calculées sur ordinateur

extrait - Thomas ZUBER, Alexandre DES ISNARDS, Facebook m’a tuer, Foucher p. 26 - Interview de Véronique MAUREY, Social Life n°2 - Comparatif de téléphones mobiles, L’essentiel des mobiles, décembre 2012 « Pourquoi je n’aime pas Facebook », OBION - Umberto ECO, « Comment ne pas utiliser le téléphone portable », Comment voyager avec un saumon - Xavier DE LA PORTE, « Les smartphones ont-ils tué l’ennui », http://www.internetactu.net - Catherine MAILLARD, « Pourquoi s’ennuyer nous fait du bien », www.doctissimo

Umberto Eco : « le texte est une machine paresseuse qui exige du lecteur un travail coopératif acharné pour remplir les espaces de non-dits restés en blanc ». Cette sitation est vrai pour toute la littérateur, mais encore plus pour le théâtre puisqu’il est fait pour petre interprèté, pour être joué. Il est vrai que certrains ont écrit juste pour la lecteure et non pour la représentation, comme Hugo à la fin de sa vie ou Musset et son « théâtre dans un fauteuil ». Mais c’est très minoritaire.

Caribe propose 8000 m2 de plages, des piscines et des lacs qui rappellent le style des Caraïbes, une zone ouverte toute l’année. C’est que, dans la culture américaine, la « chose vraie » est primordiale. C’est « the real thing », comme le montre Umberto Eco, dans La guerre du faux. C’est le règne du carton pâte et de l’imitation. Le souci de véracité est poussé jusqu’à la névrose. Il faut reconstruire du réel à partir du jeu et de l’illusion. Ainsi, par exemple, sur le forum de l’USPA, le parc d’attraction

souvent en recouvre d’autres comme dans un palimpseste » (À la recherche du temps perdu) =) appelle donc à une participation active du lecteur à l’œuvre. Nedjma, par sa structure palimpseste, correspond donc à la définition de l’œuvre ouverte selon Umberto Eco. =) même si le texte se présente comme un objet fini, le lecteur de N doit exercer 1 activité créatrice pr le lire : la « structure en spirale » de l’œuvre l’y oblige 2) Une double signification, une lecture à renouveler sans cesse - récit