Umberto Eco

constitution-même de l’environnement urbain (c’est là la visée des paysagistes) jusqu’à imprégner l’air (voir l’ouvrage d’Yves Michaud L’art à l’état gazeux). Faut-il croire pour autant que l’art a pour fonction essentielle de créer du Beau ? L’œuvre d’Umberto Eco, Histoire de la laideur, répondrait par la négative. L’œuvre d’art peut se fixer d’autres buts que celui de représenter le Beau. Art et Esthétique « La rose est sans pourquoi, fleurit parce qu’elle fleurit, n’a d’autre raison qu’elle-même.

consistance dans l’esprit de lecteur. Alors, nous pouvons valider l’idée selon laquelle le génie du roman fait vivre le possible par l’entremise de ses personnages, mais non revivre le réel.Cette conception se vérifie d’autant que dans Lector in fabula, Umberto Eco explique que l’univers induit par le roman se caractérise par le fait que le texte ne peut pas décrire exhaustivement un monde, il est donc inimaginable de prétendre décrire complètement le réel dans un univers narratif. Toutefois ces mondes n’en

frontières, À la découverte des langues d’Europe de Georges Kersaudy, éditions Autrement Que vive la langue française et que vive l’espéranto de Yvonne Lassagne-Sicard, éditions Arcam. A la recherche de la langue parfaite dans la culture européenne de Umberto Eco, éditions du Seuil. Communication linguistique À la recherche d’une dimension mondiale de Claude Piron, éditions Sat-Amikaro. L’espéranto de Pierre Janton, collection Que sais-je-? P.U.F. Parlons espéranto de Jacques Joguin, éditions l’Harmattan

colère . . . . . . . . .54 Duhem, Pierre . . . . . . . . . . . . . . . . . 147 Durand, Gilbert . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 Durkheim . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155 Ecclésiaste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 Eco, Umberto . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167 Électre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .175 Émile ou De l’éducation . . . . . . . . 185238 INDEX Encyclopédie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192 Enquête sur l’entendement humain

de l'homme sur l'univers, une merveilleuse trouvaille qui réduit les choses à leurs justes proportions. Cioran 7. Nous savons que nous allons vers la mort et, face à cette occurrence inéluctable, nous n'avons qu'un instrument : le rire. Umberto Eco 8. Rire c'est se réjouir d'un préjudice mais avoir bonne conscience Nietzsche Celui qui ne sait pas rire ne doit pas être pris au sérieux. Sollers Philippe 9. On se fait rarement rire seul parce qu'on on se surprend difficilement

colère . . . . . . . . .54 Duhem, Pierre . . . . . . . . . . . . . . . . . 147 Durand, Gilbert . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 Durkheim . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155 Ecclésiaste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 Eco, Umberto . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167 Électre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .175 Émile ou De l’éducation . . . . . . . . 185238 INDEX Encyclopédie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192 Enquête sur l’entendement humain

présentation sémiologique du personnage et il met en avant la notion d’ « effet-personnage » (Poétique du récit) : il s’agissait de ne pas oublier que cette notion de personnage est autant une reconstruction du lecteur qu’une construction du texte. ► Umberto Eco met en avant de la même manière, une « interaction coopérative » entre le lecteur et le texte : le personnage devient l’objet d’une fabrication duelle : les propriétés inscrites dans le texte d’une part, et de l’autre part, leur complémentation

Fayette, Mme de Coulange, Mme de Thianges, Pomponne → mise en abyme => 17 avril « je fais mon paquet... » => lettre de la fille est aussi pour Mme de La Fayette, 3 avril : il est question de « lettres à distribuer » 3) « Lector in fabula »,Umberto Eco → nous sommes inclus dans la lecture d'une histoire réelle qui ne nous est pas adressée, notre investissement = investigation. On doit recréer une histoire à partir de cette histoire qui ne nous est pas adressée. => par ex : effets

de l’intellect. Que le rire soit le propre de l’homme est le signe de nos limites de pécheurs. Mais combien d’esprits corrompus comme le tien tireraient de ce livre l’extrême syllogisme, selon quoi le rire est le but de l’homme ! “ Umberto Eco, Le Nom de la rose ((1980), “Septième jour”, traduction de Jean-Noël Schifan Partie 2 : Le théâtre du XVIIe au XXIe siècleMolière, Le Malade imaginaire (1673)16LL 6 : Extrait 1 : I 5 ARGAN.- Je lui commande absolument

organisation. 4 Les modèles externes. Ceux qui expliquent le texte par des facteurs extérieurs à lœuvre, la sociocritique, la psychocritique, qui mettent en correspondance la structure littéraire et des structures économiques ou psychologiques. Pour Umberto Eco (Limites de linterprétation), il y a deux formes extrêmes dinterprétation : 1. dun côté, interpréter signifie mettre en lumière la signification voulue par lauteur ou, en tout cas, sa nature objective, son essence qui, en tant que telle, st indépendante