Un acte d'amour

Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime son fils Astyanax et son mari Hector qui est mort. L’arrivée d’Oreste à la cour de Pyrrhus marque le déclenchement d’une réaction qui va faire exploser la chaîne. 4. Andromaque est découpée en 5 actes. Acte I (4 scènes) Oreste, ambassadeur des Grecs, parvenu en Épire au palais de Pyrrhus, y retrouve un ami, Pylade. Oreste exige de Pyrrhus qu'il lui livre Astyanax, le fils d’Hector et d'Andromaque. Il doit mourir ; ce n'est encore qu'un enfant mais les

Giraudoux, Electre Acte II, scène 8 CLYTEMNESTRE:"Oui, je le haïssais...à...voilà le plus beau !" Electre pousse Clytemnestre dans ces derniers retranchements afin de lui extorquer des aveux. On note auparavant, une scène similaire dans laquelle, sur le mode parodique, Agathe révélait à son mari le président qu’elle le trompait avec Egisthe. Il y a une parallèle entre les scènes qui développeront, sur le mode « vaudeville » le même thème de trahison. Electre de Giraudoux ne représente pas

École des femmes, Molière contenu : - faites principaux de l’acte - mise en situation de la scène/ des scènes - thèmes - personnages (attitude, rôle) - style - justifier votre contenu Résumé des Actes : Acte I - Arnolphe, aussi appelé « M. de La Souche », est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal ; mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de

Montfleury compose un Impromptu de l’Hôtel de Condé, où, en voulant méchamment croquer une caricature de Molière, il décrivit à merveille son incontestable talent d’acteur comique, qui fit, pour une bonne part, le succès de ses comédies : Résumé • Acte I - Arnolphe, aussi appelé « M. de La Souche », est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal ; mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse

peut nous aider à créer notre propre opinion, c’est pourquoi les œuvres choisies sont différentes mais complémentaires. Quand l’un parle d’amour passionnel, l’autre évoque l’amour de la nature ; de même lorsque l’on lit une des œuvres, on se rend compte que plusieurs sentiments s’entremêlent. Ce corpus est, de cette façon, riche en matière de sentiments et d’amour, car tout les auteurs ne voient pas ce thème du même oeil. Organisation du recueil : Vous avez pu constater dans la table des matières

d'échos, de reprises, de duos d'amour. Les deux niveaux de l'intrigue (maîtres, valets) sont imbriqués étroitement jusqu'à la fin de la pièce.   En quoi réside le plaisir du spectateur ? En quoi est-il dépendant de la relation entre maîtres et valets ? Quels sont les procédés du spectacle ? En quoi le théâtre peut-il voiler et indiquer en même temps ? Le corpus   1- L'entrée dans la pièce Acte I, scène 1 (en entier) : Silvia, Lisette. 2- La rencontre des maîtres : Acte I, scène 7 , Silvia, Dorante

En quoi la mise en abyme permet-elle le renouvellement de la déclaration d’amour ? STRUCTURE : Acte III, scène 7 - milieu de la pièce. Scène et trois parties avec la première et la troisième en échos : C’est le même « jeu » entre les personnages. La seconde partie est une déclaration d’amour de Cyrano (qui parle au nom de Christian) à Roxane. CONTEXTE : Œuvre romantique

Songe d’une nuit d’été – William Shakespeare ACTE I Personnages: * Thésée (homme) * Hypolite (femme) * Philostrate (servant ?) * Égée (père de Hermia) * Hermia (fille de Égée) * Lysandre (amant de Hermia) * Démétrius * Héléna (fille de Nédar, amoureuse de Démétrius) * Nédar (père de Héléna) Scène 1: Thésée et Hypolite s’apprêtent à vivre leur nuit de noces, à se marier. Thésée à gagner l’amour d’Hypolite en lui infligeant des blessures et il l’a séduite avec

d'intrigues et de complots. - à Rodogune, de Corneille. Pour le personnage de la mère, Cléopâtre, esclave du pouvoir qui souhaite continuer à régner à travers l'un de ses fils. - Aux Mains sales, de Sartre. Pour la tragédie mêlant histoire d'amour et politique. - à Caligula, d'Albert Camus. Pour le petits fils d'Auguste, qui est une autre version de l'empereur fou. L'argument qui tue sur Britannicus : "La pièce nous présente un monde cruel, peuplé de personnages assoiffés de pouvoir."

I - La religion est-elle vraiment un facteur de communion ? I°) A) La contribution des religions à l’élargissement des vues humaines sur la communion est-elle œuvre d’amour ? La religion répond au désir de communion humaine, de fraternité. Les grandes religions ont été les premières à considérer l’universalisme, à dépasser races, peuples, ethnies, familles en élargissant le regard humain. On peut aisément mettre en valeur le lien entre morale et espérance religieuse. Cependant dans ce mouvement