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Bac de français 2015 : les sujets probables pour les séries techno Le roman et ses personnages, la poésie, le théâtre, l’argumentation… Quels sujets risquent de tomber au bac 2015 pour les séries techno (STMG, STI2D-STD2A, STL, ST2S, hôtellerie et TMD) ? Voici nos pronostics, basés sur les réflexions de professeurs et les sujets tombés les années passées. Natacha Lefauconnier  —  Publié le 16.12.2014 à 15H11 inPartager Share on email Bac de français 2015 : les sujets probables pour les séries générales

Chanson de novices au retour d'un camp d'initiation des Wagénia du Zaïre ANDRÉ DROOGERS Dangerous Journey (1980) George Sand reprend, dans la Mare au Diable, avec le personnage de Germain, «le fin laboureur», la tradition narrative du héros-voyageur1. Il serait faux, cependant, de réduire le récit de voyage du roman aux simples aventures de son héros central masculin, car l'auteur, délibérément, dédouble les destinations et expériences initiatiques de ses deux acteurs principaux, pour donner une

l’œuvre littéraire permet de laisser place à l’imagination du lecteur. Enfin, nous verrons le statut particulier du lecteur qui est plongé dans l’histoire et est au plus près des personnages. Le lecteur peut se faire sa propre idée du monde décrit dans le livre. Il peut en effet, imaginer ce que décrit l’auteur avec de simples mots, à sa façon en recréant le monde qu’a imaginé l’auteur. Mais c’est avec sa propre conception, sa propre réalité. Le lecteur utilise des réalités déjà vues, des choses qu’il

curé de Cucugnan, …), Alphonse Daudet construit ici un récit parfaitement accessible aux petits comme aux grands. Le vocabulaire est simple pour un lecteur d’aujourd’hui, alors que l’oeuvre a près de 150 ans ! Les phrases sont généralement courtes et bien rythmées : la lecture et la compréhension en sont facilitées. Il écrit ainsi : « Alors on le vit s’en aller dans les rues, l’air égaré, trébuchant comme un homme ivre » (l.102). L’utilisation courante de la comparaison, comme c’est le cas dans

littéraire n’étant pas capable d’écrire quelque chose de si simple que raconté son week end. Mais tout en lisant les rédactions à sa femme, Germain découvre qu’un élève Claude répond a son devoir par le récit de son intrusion frauduleuse au domicile d’un de ses camarade, qu’il termine par un « à suivre » aguicheur. En remarquant son fort talent d’écriture Germain l’encourage à écrire la suite de son histoire. L’interprétation des personnage par les acteurs est très réussie, Fabrice Luchini, comme

dans le livre de M. G. Flaubert. L'intrigue y est toute simple, les événements n'y sont pas extraordinaires ; ils sont ceux de la vie prosaïque et le drame qui s'y joue nous coudoie à chaque instant. ». Cela veut dire qu’il pense que l’œuvre de Flaubert est une œuvre simple qui ne peint pas une vie romanesque et romantique idéalisée mais plutôt une vie quotidienne se rapprochant de celle du lecteur. On peut analyse la polysémie du mot simple, en effet on peut appliquer ce mot tout autant au fond qu’à

|AUTEUR |NOTE / 20 | |Running Man / Il court contre la mort (roman futuriste, genre que ne n’aime pas trop en général, mais super car mettait en scène un personnage contraint de |Stephen King |15 | |participer à un jeu type télé-réalité très hard ! On ne peut s’empêcher de penser que c’est ce qui va finir par arriver !)

lecteur est censé pouvoir s’identifier. Le conte bleu est lui une histoire d’un style plus populaire, hérité d’une tradition orale, que l’on découvre très tôt dans l’enfance. Il y est souvent question d’histoires extraordinaires, mettant en scène des personnages imaginaires,voire des animaux ou des objets personnifiés. Deux mouvements donc a priori très différents. Paul Valéry prétendait lui “ne pas voir de différence entre un roman réaliste et un conte bleu”. Nous pouvons donc nous demander si il y

Juste La Fin Du Monde LOUIS. – Plus tard‚ l’année d’après – j’allais mourir à mon tour – j’ai près de trente-quatre ans maintenant et c’est à cet âge que je mourrai‚ l’année d’après‚ de nombreux mois déjà que j’attendais à ne rien faire‚ à tricher‚ à ne plus savoir‚ de nombreux mois que j’attendais d’en avoir fini‚ l’année d’après‚ comme on ose bouger parfois‚ à peine‚ devant un danger extrême‚ imperceptiblement‚ sans vouloir faire de bruit ou commettre un geste trop violent qui réveillerait

L’homme ordinaire se déplace tout le temps. Pour faire ses courses, pour aller travailler, pour rentrer chez lui, pour partir en vacances... Enfin, pour faire quelque chose. Mais très rarement, juste comme ça, pour se déplacer. Les moments de déplacement sont le plus souvent considérés comme gâchés, nécessaires, inévitables même, mais ne construisant rien de particulier. Il faut simplement attendre, attendre que le temps passe, attendre que le futur advienne, et que l’on soit arrivé à destination