Un enfant dans la foule

(« réveillée », « se donne entière » : hyperbole). La Fontaine désigne la foule peu intéressée par « l’animal aux têtes frivoles » (défaut) dans une périphrase. Il reprend encore le registre antique car l’exemple est plus convaincant, et utilise le discours direct en ouvrant des guillemets, ce qui implique le lecteur dans l’œuvre. La Fontaine répète le mot « enfants » (« des combats d’enfants », « de contes d’enfants », « comme un enfant ») afin d’insister sur son importance. Il multiple les octosyllabes

La poésie engagée Dissertation Le poète est-il conteur, rapporteur de faits ou bien meneur de foule ? I. Le poète, spectateur et rapporteur de faits 1) Un spectateur passif qui commente l’action a) Le poète, l’observateur J’explique certaines choses, de Pablo Neruda Nous fait part de la situation, il nous fait part de ce qu’il peut observer, nous décrit avec précision ce qui le bouleverse. « Je vais vous raconter ce qui m’arrive. » b) … mais également victime qui raconte son histoire Un

carcasse de chien perdu?” II Zola quitte pour un petit moment la figure d’Etienne Lantier pour présenter les Maheu, qui travaillent depuis cinq générations dans la mine et qui représentent la famille type des mineurs: Maheu et Maheude avec leurs sept enfants: Zacharie, Catherine, Jeanlin, Alzire, Lénore, Henri et Estelle qui vivaient tous dans une petite maison du coron. Zola surprend les Maheu en train de se réveiller à quatre heures du matin pour aller travailler. III Etienne Lantier réussit à se

licenciés. J’ai effectué mon stage avec comme entraîneur des athlètes, Sophiane KHALIKI ainsi qu’un autre stagiaire tout les mercredi soir et samedi matin. Le club de Saint Mathieu Athlétic encadre tout les mercredi après midi et samedi soir des enfants de 6 à 15 ans répartis en cinq catégories d’âges différentes. L’encadrement s’est fait dans les premières semaines en tant qu’observateur, puis j’ai eu la chance d’encadrer seul un groupe d’athlètes. Le travail était alors réparti entre Sophiane

d’un enfant ne doit pas laisser le lecteur indifférent. Il fait apparaître sa vivacité et son enthousiasme par des énumérations et des métaphores (« tourbillonnement », « mouche ») et montre en utilisant le discours direct que son action incessante s’accompagne d’une réflexion et d’une vivacité d’esprit. A travers lui, il fait partager le point de vue et les émotions du peuple qui se bat pour sa liberté (il s’agit ici de renverser la monarchie de juillet). Il donne à voir également la foule dans

le profil d'une statue : elle est très différente du reste de la scène. Au premier plan, on peut voir les corps des blessés et des morts. Au second plan, on voit cette femme qui entraîne la foule armée qui se trouve au troisième plan. Sur ce même plan, on voit différentes catégories de personnages : des enfants, des gens plutôt pauvres, des gens plutôt riches. A l'arrière plan, on voit des tours, et de la fumée. Le tableau est en contre-plongée, et la lumière vient du haut du tableau, et éclaire la

applaudissaient. Un écolier qui s’appelle Robin Poussepain rit trop près de Quasimodo, alors il le prit par la ceinture et le lance à travers la foule. Une vieille femme dit à Coppenole que Quasimodo est sourd. VI La Esmeralda p.43 : Gringoire est un poète. Il y a une pièce de théâtre qui jouait. Quasimodo, Coppenole et le cortège quittent la salle et toute la foule le suivait. Il restait juste quelques spectateurs. Par la suite, tous les spectateurs qui restaient se précipitaient vers les fenêtres pour

mineurs on avait les haveurs, les herscheurs, les galibots.Les haveurs avaient pour rôle d’abattre la houille (40), les herscheurs avaient eux comme rôle de remplir les berlines et de les pousser(43-44).Il se trouvaient dans cette mines des galibots ( enfants, ex : jeanlin,Bébert, Lydie) qui roulaient les berlines(37-39,45-57).On avait le receveur qui donnait le signal d’emballer les berlines et le freineur qui s’occupait des freins(45).Il y avait la présence du charretier (bonnemort) qui transportait

l'opposent à l'humanité ordinaire. Le poète partage le même sort que la foule, dont il est le « compagnon[s] de voyage » puisqu'il est mortel et survole « sur les gouffres amers », selon Baudelaire. Le poète imaginé par Daumal lie leur sort : « Faites que je vive, et moi je vous ferai retrouver la parole ! » Pour Éluard aussi « ils ont maintenant l'assurance de parler pour tous ». Néanmoins, les trois auteurs isolent le poète de la foule, soit dans le ciel, soit dans les sommets, soit en prison. Ce dernier

(répétit° «mon amour»), évocat° désir. Attitude amoureuse («caressa», «sourit», «près d'elle», «embrassé»). Scène de bonheur, tranquilité. Homme étrange. Seule femme compte («l'appelait», «souriant»). Express° «inversée du W.», regard abst, ne voit pas foule. Baiser sanglant ouvre W. excés: scène proche indécence, «vautrait»: péj., évoq. Posture bestiale. Paradoxalmt, certaine sensualité, allus° posture amour physiq. Indécence d'autant + flagrante q. scène intimité exposée, photographiée. 2)Scène de