Un enfant dans la foule

se protéger des tirs des allemands. A l'arrière-plan sont visibles des barges de débarquement. Description de la deuxième photographie : La photographie de Chartres après la Libération montre une femme qui est rasée et conspuée par la foule pour avoir eu un enfant avec un Allemand. Elle est accusée d'avoir collaborer avec l'occupant. C'est l'épuration sauvage. Description de la troisième photographie : La photographie sur la libération de Paris montre un combat de rue , des résistants parisiens

hyperboles induisent que la joie de la foule semble exagérée : besoin important d'oublier • Les accumulations marque l'idée d'une dépense extraordinaire (progression éclatée (baraques => foule, hercules, danseuses, escamoteurs) appuie l'idée de frénésie) b. L'immoralité de la fête : • Le comportement bestial de la foule et l'abandon à l'instinct, aux pulsions primaires et basses (métaphores associant élément à animal ; baraques : animaux, danseuses : chèvres, enfants : singes) • Le caractère artificiel

Le dictateur de Charlie ChaplinI- Repérer l’époque et le lieu 1.1 Indiquer le titre, le réalisateur, les dates de tournage et de sortie. Dans ce film le titre est le dictateur Charlie Chaplin, le réalisateur est Charlie Chaplin. Les débuts de tournage sont entre 1938 et 1940, le film a était sorti en usa le 15 octobre 1940 et en France en avril 1945. 1.2 Quel est le contexte historique de l’œuvre ? Le film est tourné juste avant la deuxième

femme raciste de 22 ans 16. Toi. Sur qui se porte ton choix ? Pourquoi ? 1. 2 . 3. 4. 5. 6. 7. Réponds sérieusement, selon tes convictions, aux deux questions suivantes : Q1. Si tu connaissais une femme enceinte, qui a déjà eu 8 enfants (3 sont morts, 2 sont aveugles, 1 est attardé mentalement). En plus, tu sais qu’elle a la syphilis, vas-tu lui recommander d’avorter ? Pourquoi ? Q2. Supposons qu’il soit temps d’élire un candidat pour gouverner le monde. Ton vote aura une influence

Nous assistons ici au Grand Prix de Paris du 8 juin 1879. Le romancier naturaliste qui s'était essayé à ce genre de chronique journalistique en 1876, veille à utiliser le vocabulaire des courses : le jockey de petite taille (" vieil enfant desséché ", pourvu d' "étriers" et d'une "cravache", " jet[te] Nana au poteau, battant Spirit d'une longueur de tête ". Le cadre est bien celui d'un champ de courses : on retrouve " la piste, l'enceinte du pesage " et " les tribunes " Les noms propres (le "

mi-carême. Six jours donc, mis à profit pour manger et s’amuser, jouer à la soule (ancêtre du rugby et du football) et à la crosse (hockey), à la paume (tennis), au pot renversé, au jet de trognons ou à colin-maillard, organiser des corsos, envoyer les enfants guetter la mythique mi-carême. On s’empiffre de crêpes, de beignets, de gaufres ou autres oreillettes, bugnes, kiachli ou flognardes. Les manger ensemble, c’est resserrer les liens familiaux et amicaux, c’est manifester des liens d’allégeance ou de

et mime le pas de la foule. * Mouvement repris par de nombreux verbes d'actions « soulevaient », « agitaient », « brandissaient » = epaisseur à la description, foule qui s'anime devant nos yeux. * Passé simple « déboulèrent » evoque une certaine rapidité, temps qui rompt avec l'imparfait = on rentre de plus belle dans l'action. * Allitération en [l] : « déboulérent, mille, seul, roulait, laine, loques, culottes... » = roulement, déboulement des hommes. c. La foule, personnage epique *

province et décida de faire un rappel des troupes a Versailles, où une délégation fut reçue par le roi. Louis XVI promit de reconnaitre l’abolition de la féodalité et la Déclaration des droits de l’homme et d’assurer un ravitaillement à Paris. Une foule, composée majoritairement de femmes, se dirigea de Paris à Versailles, officiellement pour réclamer du pain à sa majesté .Elle demandaient que les gardes du corps du roi soient remplacés par la Garde nationale commandée par La Fayette. L'Assemblée

déictique « là », donne à la voix poétique l'aspect d'une tribune sociale. Elle ne fait, du reste, pas que utiliser son chant pour dénoncer la misère sociale, elle lui prête également ses colonnes. En effet, le discours de la femme mendiant devant la foule n'est pas accompagné de verbe de parole, ni de guillemets. Il s'agit d'un discours indirect libre : l'absence des marques habituelles du discours direct permet de faire fusionner sa voix à celle du poète, et ainsi de faire entrer un parler pauvre et

avons terminé. Lui + toi = vous-Lui et toi devriez dormir Vous + nous = nous-Vous et nous sommes revenue B) Le sujet est un nom collectif (voir feuille) -Si le sujet est un nom collectif (foule, bande, nuée, troupe, meute, etc.) et qu’il n’est pas suivi d’un complément, le verbe s’écrit au singulier. Ex. : La foule se rassemble -Si le sujet est un nom collectif suivi d’un complément (Gprep), le verbe s’écrit au singulier si le déterminant qui le précède est défini, possessif ou démonstratif. Ex. :