Un ennemi du peuple

demande à cette date à Claude Rouget de Lisle d’écrire un chant de guerre. En effet, en pleine révolution la France déclare la guerre à l’Autriche et à la Prusse, les révolutionnaires français veulent libérer les peuples européens des monarchies absolues ; ils veulent permettre à leurs peuples d’obtenir comme eux des libertés. C’est dans ce contexte qu’on a besoin d’un chant entraînant pour unir les soldats, les encourager. Elle les accompagne sur les champs de bataille et crée une cohésion entre les

Convention ils sont situés sur les bancs les plus hauts. Puis ce sont des députés révolutionnaire favorable à une alliance avec le peuple de Paris. Ce sont les plus modérés et les plus nombreux dans l'assemblé, ils sont appelés de la sorte car une bonne partie de leurs leader viennent de Bordeaux (la région de la Gironde). Eux au contraire des Montagnards se méfie du peuple parisien.Dans la première phase de la Convention ce sont les Girondins qui domine et impose leurs politique en imposant leurs

ça il utilise la première personne du singulier, qui montre une prise de décision et une prise d´action, ça montre qu´il se prend comme exemple. Il utilise ensuite le futur qui engage le peuple à une éternité de reconnaissance. Il se prend pour un Dieu, un souverain immortel. Il cherche donc à convaincre le peuple d´une vie parfaite. Il y a un lien de cause à effet entre le présent qui montre l´action et le futur qui devient la victoire. En plus en voit le passé qui se présente sous forme de souvenir

elle-même, qui a connu un grand nombre de conceptions différentes à travers les âges, et d’acceptions revêtant dans chaque aire géo-politique une signification différente. Car la stratégie, en tant qu’art militaire de la guerre, a varié selon les peuples, relativement à leur conception du Soi, du Nous et de l’Autre, comme le disent si bien les sociologues de la connaissance. Si bien qu’il n’y a jamais eu, au niveau de la vie pratique, d’application uniforme et unifiée de la stratégie pour que ce dernier

du Parti, des prises de déc° de l’Etat (pop° persuadées du rôle minime de Staline ds les purges, la famine de 32-33, etc). 3. Allemagne Fev 1933, incendie du Reichstag qui met hors la loi le PC « Decret de protection du peuple et de l’Etat » : lib indiv supprimées, gvt du Reich dispose des pleins pvrs ds les Länder (=négation fédéralisme) Mars 1933 Hitler obtient les pleins pvrs de légiférer pdt 4a. Instauration du ppe totalitaire « Ein Reich, ein Volk, ein Führer ».

totalement indépendante. C’est donc dans ce contexte qu’une partie de l’opinion publique française qui se revendique de l’Action française définit les ennemis de la nation : les juifs, l’Allemagne, les républicains et les protestants. III- Présentation des idées générales du texte L’Action française œuvre depuis des années pour le bien du « Peuple français tout entier ». Cela s’est manifesté aussi bien dans la petite revue grise que dans l’Institut de l’Action française. C’est donc dans cette

(…) fera descendre de leur siège les ennemis du savoir (…), entrera dans le conseil des rois (…), administrera les affaires de l’Etat (…) fait fuir le vice et engendre l’amour de la vertu ». L’instruction est donc le moyen de faire évoluer la société à l’instar de la guerre, de la violence d’après les humanistes. Cette instruction permettrait à la société de quitter l’obscurantisme dans lequel elle est plongée par l’Eglise et la scolastique (les termes « ennemis du savoir » semblent désigner l’Eglise)

elles. Elle peut exister sans elles, elles sans elle. L'ennemi peut être bon, il peut être beau, il peut être économiquement utile, commercer avec lui peut être profitable -- mais si son activité relative au pouvoir concurrence la mienne, il est mon ennemi. Il est celui avec qui des conflits existentiels sont possibles. Mais l'esthétique, l'économie, la morale ne se préoccupent pas de l'existence, mais seulement de normes d'activité et de pensée une fois que l'existence est assurée. Alors qu'en

« Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » Saint Just. Un gouvernement révolutionnaire s’établit à partir du 2 octobre 1793. Il est légitimé par le fait qu’une dictature du Salut public se fait pour combattre les contre-révolutionnaires. La Convention est un nouveau régime qui a pour mission d’assurer les affaires courantes de la France et la doter d’une nouvelle Constitution. Les travaux relatifs à la nouvelle Constitution commencent après l’exécution du roi le 21 janvier 1793. Ils sont

extérieurs à la Révolution : « Notre sévérité effraiera-t-elle, irritera-t-elle les rois ennemis et les dévots de la royauté ? ». Pour le second, au contraire, la question de la culpabilité et du procès ne devrait pas se poser : « vous n’avez point une sentence à rendre pour ou contre un homme, mais une mesure de salut public à prendre ». En fuyant, en soutenant secrètement les ennemis intérieurs (prêtres réfractaires) et extérieurs (émigrés, monarques étrangers) de