Un Homme Avare

Voltaire retrace les mésaventures d’un jeune homme victime d'injustice nommé Zadig qui fait l’expérience du monde dans un Orient de fantaisie. Tour à tour favorable et cruelle, toujours changeante, la fortune du héros passe par des hauts et des bas qui rythment le texte : Zadig échappe de nombreuses fois à la prison et aux amendes car il a été accusé à tort. En fin de compte, Zadig est nommé Premier ministre du roi de Babylone, il s’avère être un très bon homme, finalement très apprécié du roi, jugeant

touche les cordes sensibles d'Harpagon car celui-ci va lui proposer de faire graver sa phrase en or. Le fait qu'Harpagon veut faire graver sa phrase en or prouve que Valère joue bien son jeu, car ceci est absolument insensé car Harpagon est un homme très avare qui ne dépenserait même pas un seul écu pour avoir un luxe. Ceci est d'ailleurs une bonne antithèse qui fait ressortir l'aspect comique de la pièce de théâtre. En second lieu, le portrait social est aussi un sujet qui est présent dans l'avare

deuil. Adieu les courlis et les cigales ! Je n’ai plus le cœur à rien de gai… Voilà pourquoi, madame, au lieu du joli conte badin6 que je m’étais promis de vous faire, vous n’aurez encore aujourd’hui qu’une légende mélancolique. Il était une fois un homme qui avait une cervelle d’or ; oui, madame, une cervelle toute en or. Lorsqu’il vint au monde, les médecins pensaient que cet enfant ne vivrait pas, tant sa tête était lourde et son crâne démesuré. Il vécut cependant et grandit au soleil comme un beau

supercherie est remarquée, et un Conseil de guerre condamne le jeune homme à mort pour mutilation volontaire. Après le procès, Manech est plongé dans un véritable délire. Il survit miraculeusement à la guerre et il prend l’identité de Jean Desrochelles bien malgré lui, étant devenu amnésique. Ange Bassignano et Tina Lombardi Fils d’émigrés italiens de Marseille, Ange possède de nombreux défauts : il est égoïste, malhonnête, avare, tricheur, peureux et hypocrite (« jamais prénom n’avait été plus

d'amant. Elle s'exhibe seulement avec un grand nombre de jeunes gens titrés à l'Opéra de Paris. Elle est très riche mais l'origine de sa fortune reste inconnue. Elle est l’incarnation allégorique de la Société ; froide, fausse et égoïste (voire avare), ingrate et dédaigneuse. Mais Foedora est dotée d’une grande beauté et enveloppée d’une aura de mystère qui va faire tomber Raphaël amoureux d’elle. Elle représente donc aussi la femme fatale. Foedora n’apparaît dans aucun autre roman de la Comédie

c'est le père Goriot, mais qui comme récompense a obtenu une relation froide de la part d’elles. De l’autre côté, on découvre une autre type de relation, où le père est un tyran, manqué d’amour envers sa fille. Ce personnage est M. Grandet- un homme qui aime plus l’argent que son propre enfant. Le père Goriot est un roman qui aborde le thème de l’amour paternel pour ses filles qui est mené jusqu'à la déraison. De même on parle du sacrifice d’un père dirigé par une passion folle pour ses filles

qui doit lui revenir sa «famille aux aguets, qui attend le moment de la curée». «Si je l'avais voulu, vous seriez aujourd'hui dépouillés de tout, sauf de la maison et des terres. Vous avez eu la chance que je survive à ma haine... Oui, j'ai été un homme capable de tels calculs. Comment y fus-je amené, moi qui n'étais pas un monstre?» (1, 1). C'est surtout Isabelle qu'il espère ainsi atteindre : à celle qui «s'enlèverait le pain de la bouche» pour ses enfants, nulle douleur ne sera plus cruelle que

famille aux aguets, qui attend le moment de la curée ». « Si je l'avais voulu, vous seriez aujourd'hui dépouillés de tout, sauf de la maison et des terres. Vous avez eu la chance que je survive à ma haine... Oui, j'ai été un homme capable de tels calculs. Comment y fus-je amené, moi qui n'étais pas un monstre? » (1, 1). C'est surtout Isabelle qu'il espère ainsi atteindre : à celle qui « s'enlèverait le pain de la bouche » pour ses enfants

moustaches très brunes, peau blanche | Trait d’une personne malade. Face jaunie, jambes envahie par l’enflure | Imposant, robuste, | Robuste, petit homme, figure creusée et jaune, barbe, cheveux rares | Grande fille, 18 ans, blonde , forte, bouche épaisse, grands yeux verdâtres, front bas, lourd cheveux, points jolis, hanches solides, bras durs. | Jeune homme d’une trentaine d’année. | | Tempérament : trait moraux | Bonne employé, discret, fait bien son travail ; il a un désir de mort qu’il exercera

leurs fils avec la fille du père Grandet. À l’improviste, pendant la fête Charles Grandet arrive, le cousin de Paris dont le charme et l'élégance ne tardent pas à prendre effet sur Eugénie. Celle-là tome amoureuse de son cousin, et peu à peu le jeune homme partage ses tendres sentiments. Cependant, Charles se trouve surpris face à l'aspect misérable de la maison de son oncle. Charles est arrivé avec une lettre rédigée par son père et qui est destinée à son oncle, le père Grandet. On y apprend que