Un Homme Avare

notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro. -résumé : « Il était une fois un homme qui avait une cervelle d’or. » Enfant, il ignorait la composition de son étrange cerveau ; il apprit la vérité de la bouche de ses parents à dix-huit ans seulement. Il décida alors de quitter la maison familiale et s’employa à dilapider son or. Se rendant compte des ravages que provoquent ses dépenses sur son corps, il devint avare et misanthrope. Mais un jour, l’homme tomba amoureux et ce fut là son malheur. Durant

éléments nouveaux : le sujet n’est pas exactement le même. Le personnage principal de la comédie de Plaute, Euclion, est un homme pauvre qui a trouvé un trésor enfermé dans une marmite (de là vient le titre de la pièce). Depuis qu’il a découvert ce trésor, il craint de le perdre et d’être volé, aussi ne vit-il plus que dans une angoisse continuelle. Euclion n’est pas un avare par constitution, il l’est devenu par opportunité, avec cette fortune qui lui est échue par hasard. Le trouble qui l’agite

pensées. Toutes les mimiques de Charles « Les manières de Charles, ses gestes, la façon dont il prenait son lorgnon » sont interprétés comme étant des gestes extraordinaires. * Eugénie transportée par la violence du coup de foudre, idéalise le jeune homme comme une créature descendue de quelque région séraphique, un être intermédiaire entre Dieu et l’Homme. Eugénie voit Charles comme un Ange. De plus celui-ci représente pour Eugénie elle le compare à un phénix, une personne exceptionnel. Elle fait référence

Ecrivain français. Né à Grenoble, fils d'un avocat au Parlement, Henri Beyle a une forte antipathie pour son père qu'il trouve tyrannique et avare. Inconsolable à la mort de sa mère alors qu'il est âgé de 7 ans, il reporte son affection sur son grand-père maternel, le docteur Henri Gagnon. Après avoir renoncé au concours de l'Ecole Polytechnique, Henri Beyle s'engage dans l'armée de Napoléon. Il participe à la campagne d'Italie dont il reviendra ébloui par la musique, les beaux-arts et l'amour-passion

de faux cheveux mal mis» (l7), «pantoufles grimacées» (l8) donc usées, «son jupon de laine tricotée» (l24) donc fait main, « première jupe faite avec une vieille robe» (24-25), «dont la ouate s'échappe par les fentes» (l25). Balzac peint une femme avare et qui se laisse aller. On trouve aussi dans le texte des comparaisons animales qui accentuent son ridicule: «le bec de perroquet» (l16) ; «dodue comme un rat d'église» (l10-11) qui fait allusion aux hommes d'église que l'on décrit ici comme plutôt

Jules Vallès né au Puy-en-Velay (Haute-Loire) le 11 juin 1832 et décédé à Paris le 14 février 1885, est un journaliste, écrivain et homme politique communiste français. Il mène une vie de révolte contre l’injustisme. Il a une enfance malheureuse, douloureuse. Sa mère est possessive et violente. Adolescent il participe à des révolutions et des manifestations. Jules Vallès débute vers 1875 une trilogie romanesque appelé : Mémoires d'un révolté qui tourne autour d'un personnage nommé Jacques Vingtras

Picard 1ère 08LukaDevoir de français sur la comédie et le comiqueActivité 1 :Argan est le barbon, un vieil homme colérique, ridicule et avare qui se fait souvent piéger par les plus jeunes.Les Diafoirus sont les pédant, prétentieux, étalant leur savoirToinette est un personnage typique de servante bonne rusée et drôle, elle prenant plaisir à tromper son maître, héritier du bouffon, c'est-à-dire le personnage de la comédie c’est la version féminine du valet.Angélique est l’ingénue, douce, innocente

irraisonnable – elles vivaient comme dans la paradis, elle se sont habituées au luxe. Les pages 178-179 son emblématiques pour l’aveuglement et naïveté du papa. Il pense que ses filles l’aiment, il se trompe lui-même. Il ne voit pas la vérité. Cet homme vit à travers ses filles, si elles vont bien, il est content même dans les conditions misérables, ce dernier fait est démontre à la p 193-194, son monologue. Il donne le dernier argent pour que Delphine soit heureuse avec son amant, c’est une procuration

Tout de suite on constate son attitude méprisante et sarcastique envers Robert ce qui peut être prouvé par l’emploi de l’épithète « chétif » et la métaphore « serf ». En parlant de Robert Louis le nomme « une créature » comme si ce n’était pas un homme pour lui mais juste un être vivant, une créature apparue sur terre de faute de qqn. Par la métaphore « serf » le personnage principal nous montre son évaluation du caractère de son fils naturel. Il le méprise car son fils a un caractère faible. Cette

par là même découvert le caravagisme. D’autres historiens dénient cette hypothèse. Par mariage, il entre dans la petite noblesse.Il s’enrichit et sera un homme prospère. Mais le personnage semble d’une rapacité inhabituelle (plainte du personnel de maison sur leur manque de nourriture). Il est décrit comme un homme antipathique, hautain, avare, sûr de lui, d’une suffisance incroyable. Ce qui le rapproche de Le Caravage. Ces peintres ont représenté la sacralité et la beauté de la sacralité du message