Un Homme Avare

concevoir : La comédie humaine. • Eugénie Grandet est un roman qui parait en 1833. Eugénie Grandet, jeune héritière, est prisonnière d’un père avare et despotique capable de sacrifier sa vie, et celle de sa fille, à la soif de l’or. Les illusions se heurtent ici à un mode féroce où l’argent ruine tout. Récit de l’obsession d’un homme et de la fidélité d’une femme, ce roman est aussi le portrait d’une petite ville de province où les puissants règnent en maîtres. Eugénie et son père, décrits

selon elles entre valeur morale et valeur physique, entre intérieur et extérieur (ex : « ajustons un peu nos cheveux au moins, et soutenons notre réputation » l. 14), prétention (l. 9, pense qu'un « bel esprit » aura entendu parler d'elles). Un homme avare : incompréhension de Mascarille quand on lui demande de l'argent, puis réponse de mauvaise foi (« demander de l'argent à une personne de ma qualité » l. 31-32 = on retrouve là la même confusion entre valeur matérielle et valeur morale). Deux

enseignement et ces énoncés gnomiques sont didactiques. Elle est donc souvent liée à une vérité générale, ou bien à un énoncé conclusif qui résume une situation. À père avare, fils prodigue Noël au balcon, Pâques aux tisons Noël au scanner, Pâques au cimetière (Desproges) Et monté sur le faîte, il aspire à descendre (Corneille) Cet homme dont j'admire le génie et dont j'abhorre le despotisme (Chateaubriand) Tel qui rit vendredi, pleurera dimanche Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras Mieux vaut

Je te suis obligé. SCAPIN. – J’ai donc été trouver le frère de cette fille qui a été épousée. C’est un de ces braves de profession, de ces gens qui sont tous coups d’épée, qui ne parlent que d’échiner, et ne font non plus de conscience de tuer un homme que d’avaler un verre de vin. Je l’ai mis sur ce mariage, lui ai fait voir vos prérogatives du nom de père, et l’appui que vous donneraient, auprès de la justice, et votre droit, et votre argent, et vos amis. Enfin, je l’ai tant tourné de tous les

chaque comédie, un prologue est narré par un personnage : Prologus. Le senex (le vieillard) : on le reconnaît car il a un bâton à la main, il marche et s'exprime lentement, il a les cheveux gris et une longue barbe touffue. -L'adulescentes (le jeune homme) : il est alerte, son ton est plaintif, il a une chevelure abondante et pas de barbe. -Le servus (l'esclave) : il a des cheveux roux, son front est plissé, ses sourcils froncés, il est vêtu d'une tunique courte et donc il est mobile. -La virgo

Dans la lettre XXIV, il parle de l'influence du roi (Louis XIV) et du pape sur les français. En effet, le roi et le pape sont qualifiés de « magiciens » car ils endoctrinent, trompent le peuple. De plus, il dresse le portrait du roi comme un homme avare, dépensier et absolu car il possède tous les pouvoirs. Il critique aussi l'intolérance religieuse du christiannisme et la trop grande puissance du pape. Ensuite apparaît Voltaire, qui avec Lettres philosophiques et Traité sur la tolérance, nous

tout le monde et coûter de l'argent. " Cette phrase résume à elle seule l'attitude du père qui considère qu'un enfant est un obstacle qui dérange, qui prend du temps et qui demande des soins et de l'affection. julien étant un homme foncièrement égoïste et avare, on comprend sans peine qu'il y a incompatibilité notoire entre la paternité et lui. Se que pence guy de maupassant sur julien

d’Eugénie. Il a été élevé par ses parents à Paris dans le luxe et l’affection. Arrivé dans la maison de Felix Grandet, il enchante (verzaubert) sa cousine avec son charme et son caractère qui est sans défauts. Il paraît avec la supériorité d’un jeune homme à la mode. Il est impréssionant, il a une bonne âme, il ne se moque jamais des autres et il sait faire des compliments aux femmes. Mais ce que Eugénie aime le plus c’est qu’il montre ses sentiments sans avoir honte et c’est une chose qui n’est pas

longtemps théodecte et ceux qui le soufre”. Cette phrase conclusive met aussi en avant la modération et le fait qu’il ne faut pas s'énerver, la modération elle aussi est reprise dans tous les autres fragments étudiés, c’est une qualité de l'honnête homme. Dans le fragment 55 (VI) il utilise “Dieu” comme une grandeur permettant de montrer le côté inévitable de son sort qu’il accepte, à l'époque utiliser le “Dieu” permet d’avantage de montrer son intelligence et laisse percevoir le moraliste aussi plus

persanes  roman épistolaire qui rassemble la correspondance ficitive échangée entre 2 persans, Usbek et Rica à leurs amis restés en Perse séjour dure 8ans publié en 1721 à Amsterdam anonymement pour éviter la censure Montesquieu est un homme cultivé, qui a beaucoup voyagé en Europe. Cette ouverture d'esprit lui permet de percevoir la société d'un regard différent aucun schéma narratif, si on excepte la fin de l'œuvre et les intrigues dans le sérail d'Usbek. C'est en fait un journal de