Un Homme Juste Peut Il être Immoral

Sujet : (retrouvez le corrigé juste en dessous) Expliquez le texte suivant : Quant à savoir s’il existe le moindre principe moral qui fasse l’accord de tous, j’en appelle à toute personne un tant soit peu versée dans l’histoire de l’humanité, qui ait jeté un regard plus loin que le bout de son nez. Où trouve-t-on cette vérité pratique universellement acceptée sans doute ni problème aucun, comme devrait l’être une vérité innée ? La justice et le respect des contrats semblent faire l’accord du

exercer un pouvoir politique ? On ne peut dès à présent pas donner une définition de ce qu'est le politique car il semble que cela fasse partie intégrante du problème puisque pour cuisiner il faut savoir ce qu'est la cuisine, de même pour exercer un pouvoir politique, il faut savoir ce qu'est que le politique. De plus, ce terme recouvre un ensemble très vaste de conceptions et prônée une conception particulière c'est déjà faire de la politique. Néanmoins, on peut réduire ce terme et se concentrer sur

ne pas reculer devant les moyens nécessaires à son obtention, qui pourraient être pénibles, ou coupables: il faut être prêt à tt, il faut se donner les moyens Tu veux réussir? Fin amoral Impose-toi, écrase les autres, sers toi des autres (moyen immoral) La fin justifie-elle les moyens? Cette fin n’est ni moral (il ne s’agit que d’un seul individu qui cherche son intérêt propre) ni immorale (parce qu’il n’est pas immoral de chercher son propre intérêt) Tu veux la réussite de la société et de ses 200000

 dix  commandements  «  Tu  ne  porteras  point  de   faux   témoignage   contre   ton   prochain  ».   mais   ce   procédé   immoral   (à   l’encontre   de   la   bonne  conduite  à  tenir)  utilisé  à  une  fin  qui  semble  juste.           A. À  priori  un  procédé  qui  va  à  l’encontre  de  la  morale.         •   mentir

et obéissent à une morale qui est intérieure à chacun. Mais ces obligations morales e nvers notre personnes ne sont pas innées, de par la nature du sujet, ses dispositions, et le monde dans lequel il vit. On peut donc se demander quelles sont les prémices nécessaires pour devenir un être moral ? Dans notre monde, à quoi servirait cette moralité que nous tenons envers nous même? Nous verrons que la liberté du sujet est nécessaire pour avoir des devoirs envers soi-même, puis nous étudierons que

légale qu’on est juste ou / et moral ? Suffit-il d’agir « justement » pour être juste ?     Thèse de l’auteur :   La justice et la vérité sont des «  pièces élémentaires de toute société ». La où il y a homme, vie en groupe, il y a des règles à respecter (même chez les hors-la-loi il y a des lois).     Axe critique :   Locke reste dans une optique déontologique exigeant que l’on fasse son devoir par principe, parce que c’est juste et par reconnaissance de ce principe. MAIS ne peut-on pas adopter

Livre « la République », le philosophe grec  Platon  (428-427 av. J.-C. -  348-347 av. J.-C.) dit que : « entre un homme juste et un  Etat  juste, il n’y aura aucune différence par-rapport à la forme elle-même de la justice … », c'est-à-dire qu’il y a une relation directe entre « le gouverneur » et le peuple dans un Etat où il y a un conflit des forces. D’après ce qu’on a vu on peut constater de cette citation que la sagesse et l’honnêteté  du chef de l’Etat sont les deux principaux garants de la

un effet néfaste dans leur vie. Sachant cela, on peut donc se demander si la liberté, ou le relâchement des hommes dans leur vie est néfaste pour leur existence. Si tel est le cas, quelles conséquences auraient un relâchement trop important pour les hommes ? L'un des principaux enjeux de ce texte est donc de savoir s'il est judicieux ou non qu'un homme soit trop relâché dans sa vie, si le relâchement n'inclue pas trop de conséquences pour pouvoir être associé à l'existence. Nous étudierons cette question

quelques hommes « méchants » profite de l’humanité de certain pour faire le « mal », en profitant pleinement de la situation, car il sait que le mal qu’il peut causé, ne se retournera pas contre lui devant l’honnêteté des autres. Parfois, nous sommes naturellement bons envers une personne simplement parce que l’on pense qu’elle le mérite. On peut ressentir de la pitié envers elle, on s’identifie à elle. Tout naturellement nous nous contentons de la respecter, sans se poser la question du bien et du

''interdit'', ce qui impliquera que les gens seront dotés de droit exemple (Droit de réclamation, droit d'expression etc...). Tandis que l'institution peut se définir comme étant un ensemble de lois adoptés par un État qui permet de définir les actions des hommes dans une société. Ce qui nous Ramène a notre principale Question, '' La justice peut elle se passer d'institution'' ??? Pour répondre a cette question , nous devons nous imaginer un monde Sans justice car nous savons que la justice c'est