Un Jour Qu Il Faisait Nuit

"Une maison-forte, songeait-il, qu’est-ce que cela peut être ?" (B.F., page 15) La ’maison forte des Hautes Falizes’ "n’était pas une maison comme les autres. Quand on s’était chaussé et qu’on marchait sur le béton nu, le choc des talons ferrés faisait un bruit mat, sans vibration et sans résonance, comme si on avait marché sur une route neuve ou sur une culée de pont" (B.F., page 25). Il s’agit d’un bâtiment en deux parties : le rez-de-chaussée "était un bloc de béton assez bas où on accédait vers

Emile ZOLA (1885) Première Partie CHAPITRE 1 Etienne Lantier recherchait depuis huit jours, un poste de machineur. Il avait été licencié des chemins de fer de Lille, après avoir giflé son supérieur. Tandis qu’il marchait dans le froid, la nuit et la désolation, entre Machiennes et Montsou, il arriva auprès d’une mine. Il y rencontra le vieux Bonnemort - charretier - avec qui il discuta du taux de chômage important dans cette région du nord de la France. Ce vieil homme travaillait depuis

1 - Germinal Chapitre 1 de Germinal Etienne Lantier recherchait depuis huit jours, un poste de machineur. Il avait été licencié des chemins de fer de Lille, après avoir giflé son supérieur. Tandis qu'il marchait dans le froid, la nuit et la désolation, entre Machiennes et Montsou, il arriva auprès d'une mine. Il y rencontra le vieux Bonnemort - charretier - avec qui il discuta du taux de chômage important dans cette région du nord de la France. Ce vieil homme travaillait depuis

mange mixé, elle n'a pas d'appareil dentaire, elle mange bien et seule. Madame D à une IMC de 22,2 ; elle a donc une corpulence normale. Madame D présente une incontinence fécale et urinaire, elle porte des changes complets (taille M) le jour et la nuit. Depuis son AVC, Madame D est hémiplégique du côté gauche, elle a donc besoin d'une aide complète pour sa toilette. Celle-ci se fait au lit. Le degré de dépendance, évalué par le GIR (Groupe Iso Ressources, de Madame D est 2. Ce qui correspond

suis assis dans mon canapé, sans attendre quoi que se soit, et je ne comprends pas ce qu'il se passe dans ma tête. Tout est embrouillé. Je me lève, prends ma veste, et descends en ville en me demandant ce qu'il se passe. Tout est calme dans cette nuit, mais les quelques personnes que je croise ont toutes des têtes inexpressives. Comme si j'étais invisible, comme si elles ne me voyaient pas. Que se passe t-il? Je ne comprends pas. Tout le monde à l'air si bizarre que je remonte vite me réfugier chez

 Des yeux rouges comme la braise Ce soir-là, la nuit était tombée depuis déjà quelques heures. Les loups hurlaient dehors, Les clients de l'auberge du Lion Noir étaient nombreux et festoyaient dans une chaude ambiance. Des hommes et des femmes du monde entier s’y étaient rassemblés pour le grand tournoi des sept flammes. Cette année-là, il fêtait le centenaire de ce tournoi. Le prix de cette année était très convoité par de nombreuses personnes. C'était le collier du

jours d'été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d'hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie et ignoble. A gauche, se creusent des boutiques obscures, basses, écrasées, laissant échapper des souffles froids de caveau. Il y a là des bouquinistes, des marchands de jouets d'enfants, des cartonniers, dont les étalages gris

l’aide de Muriel. Je lui précise aussi toutes mes expériences, découvertes, voyages. Personnellement, je trouve que ces quelques instants sont très ennuyeux, certes mon personnage parait intelligent mais il ne passionne pas les lecteurs comme il le faisait au début du roman. Seulement, l’autre individu arrive et s’étonne encore une fois de ma présence. « Mais j’en ai marre de sortir mon passeport chaque fois que je tombe sur ce malade ! Ça sera où, la prochaine fois ? Au supermarché, au tennis, chez

sonnent dans l’air bleu des belles matinées, jetant jusqu’à moi leur doux et lointain bourdonnement de fer, leur chant d’airain que la brise m’apporte, tantôt plus fort et tantôt plus affaibli, suivant qu’elle s’éveille ou s’assoupit. Comme il faisait bon ce matin ! 1 Texte publié pour la première fois dans le recueil auquel il donne son nom, Le Horla, aux Édition Ollendorff, recueil annoncé à la Bibliographie de la France le 25 mai 1887. –4– Vers onze heures, un long convoi de navires

Chapitre 1 : Deux hommes partent dans une forêt avec 6 chiens qui tirent le traineau. Ils entendent des loups crier. À la nuit tombée, ils s’arrêtent pour faire un feu, nourrir les loups, manger et dormir. Pendant que son ami faisait le feu, il nourrissait les 6 chiens avec du poisson. Il s’aperçoit qu’il lui manque un poisson. Il se demande pourquoi il manque un poisson alors qu’il en avait pris 6. Il conclut qu’il y avait un loup de plus. Il se rappela qu’il avait vu un autre loup et il raconta