Un Personnage Absurde

essentiels de ce roman. 1. Presenter un monde absurde 1.1 L’insensibilité de la vie La annonce de l’asile ni la cause morte ni le temps mort, une allure officielle du directeur de l’asile, une decision de l’enterrement religieux et la couverture du cercueil cloué, le mécontentement de patron pour un congé du deuil témoignent de l’insensibilité de la vie disparue. 1.2 Les personnages absurdes Le voisin avait un lien affectif avec son chien mais il grondait son chien ;

de ses personnages et de nous montrer sa vision de la vie. Dans cette scène d'ouverture, il y a deux personnages. Mais, de la première à la dernière ligne, c'est Mme Smith qui monopolise la parole, M. Smith se contente de faire "claquer sa langue" sans vraiment l'écouter. En fait, on peut dire que c'est une sorte de monologue. Il faut dire qu'elle parle mais que c'est pour ne rien dire, et elle semble pouvoir continuer des heures comme ça. Il est assez amusant de voir ce personnage raconter

définies). Le décor et les personnages sont dressés de manière stylisée, pour mettre en valeur le message et le rapport de force (qui est mis à nu). Les qualificatifs associés au Loup (« plein de rage » et « bête cruelle ») semblent aussi stéréotypés. Sa faim, par exemple sur laquelle on insiste (« à jeun », « que la faim en ces lieux attirait ») est typique, comme un attribut indissociable du loup. Enfin, la majuscule accordée aux mots « Loup » et « Agneau » en fait des personnages, des types… b) Une

Lecture analytique 1 : Ubu-Roi, A. Jarry, acte III, scènes 3 et 4. Drame en cinq actes et en prose d’Alfred Jarry créé à Paris au théâtre en 1896, Ubu Roi fit date dans l’histoire du théâtre français par l’aspect scandaleux de son personnage éponyme grotesque. Cette pièce est issue d’un ensemble de textes récoltés au lycée de Rennes où le jeune Jarry se moque par la caricature de la figure d’un professeur de physique tyrannique, M. Hébert, également surnommé le père Ebé. Ubu Roi s’ouvre

Marie le trouve «bizarre». >> Malgré la présence d'un narrateur personnage, on n'observe pas de précisions sur les pensées ou sentiments, pas d'explications: impression de récit sans conscience. On constate un personnage secret, solitaire, asocial. Pas d'analyse psycho. poussée = typique du personnage du XXè. Il est« étranger» à sa vie, à tout ce qui l'entoure. Personnage médiocre. B. Le ton employé: Narrateur personnage donc le ton est révélateur de sa personnalité. - simplicité de la

acteurs L'arbre sert ici de point de rendez-vous avec Godot. Les deux personnages font pour la première fois attention à cet arbre et restent hésitants quant à sa nature. A ce moment de la pièce, il n'a pas de feuilles, « est-il mort? » Vladimir pense que c'est un saule et tout deux remettent en question sa nature : « Ce serait plutôt un arbrisseau? - Un arbuste. » p.20 : L'arbre comme potence. Les deux personnages ne savent pas quoi faire pour s'occuper et Estragon propose d'utiliser

long du passage comme on le note généralement dans les contes. * On retrouve tout les personnages typiques du conte : * Candide le jeune héros dont « la physionomie annonçait l’âme » * Cunégonde la jeune femme dont est épris le héros « belle » * Ainsi que d’autres personnage moins important comme Le baron et son fils, la baronne et Pangloss. b) Cependant les personnages sont détournés offrant ainsi une parodie du conte de fée * Candide au lieu d’être le

pouvoir vendre ! ». Ralentir le rythme de travail afin de rétablir la norme semblerait être une réaction logique, mais Novarina se moque ici davantage de l’incohérence patronale puisque la décision finalement prise est le licenciement pour un motif absurde, un vol de clou. De ce fait, les ouvriers sont en stresse permanent, devant travailler toujours plus vite, à l’image des Temps Modernes3 de Charlie Chaplin où l’entreprise se personnifie presque et devient bourreau. La productivité est telle, qu’à

révèle ensuite de l’absurde car elle en vient à prouver que la vie est absurde, faisant passer nos vies et nos actes comme inutiles, il met en avant Meursault, qui celui-ci tout au long du roman profite de la vie et continue sa vie sans relâches. Laissant penser que celui-ci a une vie bien remplie à l’aide de choses banales, nous fait rendre compte que notre vie est similaire. 5. En quoi le personnage de Meursault est-il troublant ? Pourquoi peut-on le qualifier d’anti-héros 

du destin ? L’homme a du mal à accepter le côté absurde de sa condition humaine mais il est possible de le dépasser dans la quête du destin et l’engagement dans l’histoire ; c’est ce qui fait de ce roman, à travers cet extrait, une œuvre singulière qui aborde moins le problème politique que le problème métaphysique. Dans ce roman de la Condition Humaine, l’action et les problèmes de la condition de l’homme sont vus à travers les yeux des personnages ; il y a une alternance entre des scènes d’action