Une Parodie Du Procès

chapitre 6 de la première partie. La partie 2 du roman est consacrée au procès de Meursault. L’extrait du chapitre 4 de cette partie nous montre la fin du procès, c’est la phase finale du procès où l’avocat fait une plaidoirie (plaider). - Nous verrons dans cet extrait dans un premier temps la parodie, caricature de la justice, et dans un second temps le sentiment ressenti par Meursault et l’explication du titre. I. Parodie/caricature de la justice ? - Décors, atmosphère général(e) : o Ambiance

Camus L' Étranger – le procès Au cours du réquisitoire le procureur à accusé Meursault d'avoir prémédité son acte après avoir moralement tué sa mère. Le procureur a assimilé son crime à un parricide jugé le lendemain. C'est au tour de l' avocat de commencer sa plaidoirie. Meursault écoute en spectateur le portrait brossé de lui. En quoi la distance ironique du narrateur fait elle apparaître l'absurdité du cérémonial et transforme-t'-elle son conte rendu en parodie de chronique judiciaire

en 1547 : la Confession de l’Asne, du Renard et du Loup. Dans quelle mesure cette fable peut-elle se lire comme une dénonciation habile de la justice royale ? Nous verrons comment La Fontaine use des ressources du tragique pour critiquer une parodie de procès et faire une satire de la cour fondée sur l’ironie. La composition de la fable met en évidence une situation initiale qui dresse un tableau sombre des ravages de la peste vers 1 à 14 ; La Fontaine donne ensuite la parole au lion

laquelle il vit. Dans « Les Animaux malades de la Peste », il raconte une scène tragique durant laquelle se déroule une parodie de procès et il emploie l’ironie satirique pour dénoncer l’influence que crée le pouvoir face à la justice. I. Un récit tragique 1) La situation initiale : les ravages de la Peste 2) Un châtiment divin 3) Un dénouement tragique II. Une parodie de procès 1) La structure de la fable : critique de la cour 2) Le discours des courtisans III. L’ironie au service de la

que contenait le fameux papier un peu plus loin dans le passage: «  une parodie janséniste » = les janséniste etaient synonyme de piété et morale austères, parfois pédante.= très parodié à l’époque. Cette parodie, rousseau la qualifie « Assez plate » = elle ne le fait donc pas rire, de plus la qualifiant ainsi on sait qu’il en a tout de même lus quelque vers, assez pour la qualifier ainsi, pour savoir que c’est une parodie janséniste de la belle scène du mithridate de racine. Rousseau pourtant dis

insister sur la petitesse de son offense dont « la largeur de ma langue »Introduction du ch lex du « droit »Confession de l’âneInsiste sur la tentation et l’impossibilité de la part de l’âne de résister = souligne sa faiblesseParole retenue pour le « procès »Différence entre les deux confessions > âne du côté de la nécessité / Lion du côté du plaisir, du viceAspect minimal / ridicule de l’offenseÂne donne une dimension légale, juridique à sa confessionv.55-62Interjection « haro »Accumulation de termes

visée didactique, la visée est satirique. Le thème touche à l’injustice. Nous nous demanderons alors en quoi peut-on dire que cet extrait est représentatif d’une scène de tribunal. Pour cela nous verrons la hiérarchisation des animaux et la parodie d’un procès. I/ La hiérarchisation des animaux La fontaine reproche aux hommes de penser qu’ils ont le pouvoir sur les animaux (« Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire »), c’est pour cela qu’il écrit cette Fable, pour

UNE PARODIE DES MOEURS CAMPAGNARDES ? a guerre picrocholine elle-même a pu sembler travestir, comme on l'a parfois trop marqué, une banale affaire de navigation sur la Loire. Le seigneur de Lerné, Gaucher de Sainte-Marthe, avait installé sur les rives du fleuve des pêcheries qui entravaient la circulation, il se trouvait en procès avec la communauté des marchands et les propriétaires voisins. Rabelais se serait ingénié à faire reconnaître les parties dans les comparses du Gargantua : le

animaux malades de la peste il dénonce les puissants et la justice de son époque. Nous verrons comment LaFontaine mène sa critique en voulant à la fois plaire et instruire. Nous cerneront l’art du conteur puis nous montreront qu’il y a une parodie de procès et nous cerneront la dimension critique de la fable. I. L’art du conteur A. La composition du récit 1ère étape : situation initiale (v.1 à 14) Elle contient l’élément perturbateur puisque la situation initiale évoque la peste qui

médecin ; c’est celui de mon fils, assure D. Templemore, non sans préciser que la mère de l’enfant réside au jardin zoologique et que le cadavre est celui d’un « tropi ». Le policier, « désarçonné », procède à l’arrestation. Tableau 2 : Un premier procès a eu lieu, ajourné. Un second doit s’ouvrir et le ministre de la Justice fait comprendre au juge Draper que l’intérêt de l’Angleterre est en jeu : si les tropis sont des hommes, ils échapperont à la domestication des Australiens, concurrents économiques