Une Société Matérialiste

autoritaires (qu'ils soient religieux, philosophiques ou politiques). Beaucoup de philosophes hédonistes, ou ayant une conception qui s'en rapprochait, ont tenu des postures athées ou agnostiques (Épicure), matérialistes (Démocrite), voire anarchiste (Michel Onfray, revendiquant la société socialiste libertaire comme la modalité politique de l'hédonisme). D'après Onfray, l'hédonisme se résume par cette maxime de Chamfort : « Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà

classiques ont un dénouement heureux ; ce qui n’est pas le cas dans Dom Juan. Le dénouement ici appartient plus au baroque ; un autre mouvement littéraire. Dans cette comédie on peut observer plusieurs thème comme le libertinage, l’amour, la religion, la société. Dans l’acte III, la scène 2 présente Dom Juan, Sganarelle et le pauvre. Egaré dans une forêt, Dom Juan et son valet Sganarelle font la rencontre d’un pauvre à qui il propose de lui donner un louis en échange d’un blasphème. Le pauvre étant croyant

mouton conforme à son désir. Arrivé à la perfection est chose complexe, le pilote finit par enfermer le mouton dans une boîte afin que le petit prince puisse se faire lui-même l’image parfaite de son mouton mais sans le posséder. Dans notre société matérialiste, nous avons cette soif d’accéder à la perfection. Et ce que nous jugeons de la perfection, nous tentons d’y accéder pour posséder. Le mouton ainsi enfermé aussi parfait soit-il n’a du coup ……plus la même utilité. Le petit prince est satisfait

alternant entre récit autobiographie et fiction. Il a aussi écrit les Choses en 1965 dont nous allons étudier un extrait. Dans cet extrait la vie du Jérôme et Sylvie un jeune couple est décrite. Dans quel mesure le couple présenté est il victime de la société dans laquelle il vit ? Dans une première partie nous allons voir que le couple est en fait réuni par un désir d’argent puis dans une seconde partie, nous verrons que ce récit est le constat d’une vie décevante. Voyons d’abord que ce couple est

l’Encyclopédie, principalement sur la musique), il a néanmoins pris ses distances avec les tendances matérialistes et avec l’optimisme historique des philosophes des Lumières. Quoiqu’il fût, comme la plupart des philosophes de son temps, rationaliste (Derathé, 1948) et très critique à l’égard des pouvoirs politiques et religieux autoritaires, il a élaboré une anthropologie, une théorie politique et une théorie de la société profondément originales, qui l’ont progressivement mis en porte-à-faux avec le courant

Érasme (Desiderius Erasmus Roterodamus), né en 1466 ou 1469 à Rotterdam et mort le 12 juillet 1536 à Bâle, était un humaniste, philosophe présocratique et matérialiste considéré comme l’une des figures majeures de la Renaissance tardive. Il a toute sa vie défendu une conception évangélique de la religion catholique. Il a plusieurs fois critiqué l’attitude du clergé et des papes, dont les comportements lui semblaient en opposition avec les évangiles. Son œuvre est composée de nombreux écrits en

l'éducation que la finance. C'est ainsi qu'il parraine la Haute Ecole de Namur (Haute Ecole Albert Jacquard), en Belgique. Albert Jacquard dénonce dans "J'accuse l'économie triomphante" les méfaits du capitalisme et soulève les problèmes de la société moderne : pollution, gaspillage, insuffisance ou insalubrité des logements, nécessité d'un partage des ressources... Dans son ouvrage "Dieu ?" (2003), il traite des conséquences des découvertes scientifiques sur les croyants en soumettant la Bible

de production et l’autre, comme une « mission » issue d’une inspiration reposant sur l’art et la poësie. La façon de « penser » le design semble alors diverse voire contradictoire selon Alberto Alessi, qui vit le design au quotidien au sein de sa société. Pourtant, la notion de design est connue pour ne pas avoir de définition unique. Cette pensée d’Alessi mérite alors d’être discutée, dans le but de savoir quelle valeur et quelle place détient le design de nos jours. Ainsi, on essaiera de comprendre

nouvelles technologies Nous vivons dans un monde qui ne cesse d’évoluer grâce à internet et aux nouvelles technologies qui varient dans différents domaines tels que la médecine, les réseaux sociaux ou encore la télévision. Mais en réalité, notre société est-elle en danger à cause d’internet et des nouvelles technologies ? Pour commencer, l’internet nous facilite la vie car il nous permet de rester en contact avec nos amis, la famille. Mais aussi découvrir de nouvelles cultures et exprimer son opinion

concilier les intérêts individuels avec les intérêts de l'ensemble de la société (mais le lien entre les deux se fait encore par la morale, alors que dans La richesse des nations, la conciliation entre les deux se fait par la notion de concurrence. La main invisible est ainsi un mécanisme social grâce auquel les intérêts et les passions individuels sont guidés dans la direction la plus favorable aux intérêts de la société tout entière. C’est une métaphore qui signifie simplement que dans une